Pas assez de données sur la santé mentale
Santé mentale en chiffres 24% des 9 à 19 ans sont touchés 70% des adultes atteints souffrent depuis l'adolescence 6 types de troubles attention, anxiété, dépression, alimentation, dépendances, insécurité 3 obstacles majeurs pauvreté, discrimination et stigmatisation (Canada, 2011)
JEAN-PIERRE DUBÉ FRANCOPRESSE
Rabies prevention program The Ministry of Natural Resources is doing a “bait drop” project during the late summer season to help eliminate the risk of rabies in the Eastern Ontario region. MNR has contracted for an air drop of 30,000 pieces of bait containing the rabies vaccine over an area in the southern part of the region, including Wolfe Island, the Thousand Islands Bridge district, and around near Cornwall. The baits will help immunize most skunks, foxes, and raccoons within the designated area, who may have wandered up from the upper New York state region into Ontario, where there are confirmed reports of rabid raccoons. The bait drop will help to eliminate both the risk of a full rabies condition developing in any of these animals, and also prevent them from carrying the virus into other parts of Eastern Ontario and Southern Ontario during their wanderings. – Gregg Chamberlain La travailleuse sociale a participé en juillet à un panel sur la santé mentale dans le cadre d’un forum de la Fédération cana- dienne des enseignantes et des enseignants. « De plus en plus, note Caroline Vézina, on démystifie, on peut diagnostiquer et soi- gner de façon appropriée. Mais onmanque de personnel, de ressources conçues pour le milieu minoritaire et on n’a pas encore Le phénomène est répandu : des enfants en retrait ou agressifs qui dérangent. On ne sait pas comment les aider, on les écarte, on les stigmatise et les relations se détériorent. La santé mentale n’est pas perçue comme un problème de santé ordinaire. « On s’exprime facilement sur des pro- blèmes concrets, mais quand on souffre de trouble mental, on entre dans une zone plus fragile », explique Caroline Vézina, la directrice de la programmation à la Société santé en français. « Contrairement aux autres maladies, il n’y a pas de plateau technique (examens et technologies). C’est particu- lier. L’outil essentiel du diagnostic et du traitement est la communication entre les personnes. « Accepter de partager ses états d’âme est difficile quand on souffre. Si on ajoute la dimension de la langue, c’est encore pire », croit-elle, évoquant les défis du 1,2 million de francophones enmilieuminoritaire, dont 160 ȹ 000 écoliers. « Trouver des ressources d’aide en fran- çais, c’est le grand défi. Quand un enseignant identifie un enfant (en détresse), à qui le réfère-t-il ȹ ? Ce n’est pas facile de trouver quelqu’un pour évaluer et apporter l’inter- prétation appropriée. »
La directrice des programmes à la SSF, Caroline Vézina : « On n’ose pas demander en français, de peur de déranger ou qu’on nous fasse attendre. » Photo fournie par la FCE
2 e cause de suicide chez les 16 à 24 ans
assez de données. » L’évidence viendra. L’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques (Université de Moncton) a lancé en mai un appel de textes sur l’état des lieux en santé mentale, incluant les jeunes francophones, en vue d’un numéro spécial de sa revue Minorités linguistiques et société .
Selon l’appel, les études à date « ont donné des résultats équivoques » sans révé- ler de défis distinctifs, sauf pour un accès problématique aux services. Une recherche de janvier 2016 du Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick a révélé que lamajorité des adolescents ne dorment pas assez. L’étude s’est intéressée à la capacité des
jeunes de surmonter les problèmes de santé mentale, notamment en obtenant de l’aide. La résilience des francophones serait plus forte (74 %) que celle des anglophones (65 %).
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