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VOLUME 73 • NO. 22 • 16 PAGES • HAWKESBURY, ON • JEUDI 6 JUIN 2019
AGRICULTURE ET MINER AQUAGREEN FOODS PAGES 7-10 À VOIR PROMO
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FANTÔMES DU GLISSEMENT DE TERRAIN DE LEMIEUX
Un arrêt sans issue, avec une chute soudaine, marque la fin de la route de comté près du site de la ville fantôme de Lemieux. —archives
GREGG CHAMBERLAIN gregg.chamberlain@eap.on.ca
L’église a été le dernier édifice démoli lorsque le village de Lemieux est devenu une ville fantôme. Un petit chemin de terre conduit au cimetière de la paroisse de Saint- Joseph-de-Lemieux. L’église paroissiale avait un siècle lorsqu’elle a été démolie en 1991. Tout le monde dans le petit village le long de la rivière Nation avait quitté les lieux, sur ordre du gouverne- ment ontarien. Deux ans plus tard, un glissement de terrain a jeté 17 hectares de terres agricoles dans la rivière, lais- sant derrière lui un immense cratère à l’entrée du village. « Jeme souviens d’avoir vu des images du glissement de terrain de Lemieux à la télévision quand j’étais jeune, se sou- vient un blogueur anonyme. Commema famille vivait à proximité, mes parents parlaient beaucoup de la disparition du village. » L’origine de lamalédiction de Lemieux remonte loin dans le passé, à l’époque de la mer de Champlain. MER PRÉHISTORIQUE Il y a plus de 10 000 ans, la majeure partie de l’est de l’Ontario et de l’ouest du Québec, ainsi que la partie nord des États de New York et du Vermont étaient au fond de lamer de Champlain. La fonte
des glaciers a créé un bras demer tempo- raire dans l’océan Atlantique. Les fossiles montrent que la mer de Champlain abritait les grandes baleines de l’époque : bélugas, nageoires et baleines boréales. Une personne qui fouille dans certaines parties d’Ottawa, de Gatineau, de Montréal et de l’arrière-pays rural peut encore trouver des morceaux de roche avec les minuscules empreintes fossiles de mollusques marins oumême les contours osseux d’un petit capelan. Au fil des siècles, la mer de Champlain s’est rétrécie, ses rives se soulevant et devenant de basses collines. L’eau de mer, toujours alimentée par les glaciers en recul, est devenue saumâtre, et les grandes baleines et autres espèces ma- rines ont abandonné lamer de Champlain, qui se rétrécissait, pour trouver unmilieu salin qui leur convenait mieux dans l’océan Atlantique. Finalement, la mer a disparu. Ce que
l’on appellera à l’avenir la rivière des Outaouais, le fleuve Saint-Laurent et le Lac Champlain ont été laissés pour compte, de même que les grandes plaines d’argile qui ont donné naissance aux grands habitats des terres humides et aux forêts de l’est de l’Ontario et du Québec. Dans ce qui était autrefois les parties les plus profondes des anciens fonds marins se trouve de l’argile Leda. ORIGINE DE LA VILLE DUMOULIN L’établissement de ce qui allait devenir le village de Lemieux a commencé en 1850 avec la création d’un certain nombre de petites scieries, qui faisaient partie des vastes exploitations forestières de l’Est ontarien et de l’Ouest québécois. Au cours des décennies suivantes, des fermes ont vu le jour dans la région et le village lui- même a commencé à se développer, avec l’ouverture de son propre bureau de poste en 1875, puis l’érection d’une véritable église en 1891. Au plus fort de sa propre existence, le village de Lemieux avait une population maximale de 75 habitants, pour la plu- part Franco-ontariens, dont un hôtel de village, une forge, une menuiserie, un
magasin général et d’autres établisse- ments. L’économie du village est deve- nue en grande partie agricole, bien que certaines scieries locales soient toujours actives. Un village rural typique de l’est de l’Onta- rio. Avec une faille cachée. GLISSEMENT DE TERRAIN Les registres du village local indiquent qu’en 1910, un petit glissement de terrain s’est produit juste à l’ouest de Lemieux, le long de la rive de la rivière Nation. À l’époque, ce n’était pas très préoccupant, car il n’y a pas eu de pertes de vie. Il n’y avait pas eu de peuplement le long de cette partie de la rivière. Les années passèrent. Puis, au début de mai 1971, un glissement de terrainmortel s’est produit près du village de Saint-Jean- Vianney, au Québec et des vies ont été perdues. L’inquiétude, quant à la cause de la catastrophe de Saint-Jean-Vianney, a incité l’Office de protection de la nature de la Nation Sud (OSCN) à entreprendre un programme d’analyse du sol le long de la rivière Nation Sud, pour identifier tout site à risque dans le bassin versant. Les résultats des études ont indiqué que le village de Lemieux représentait
UN DON POUR S.F.O.A AUTISME
Les Chevaliers de Colomb conseil 2183 de Hawkesbury sont fiers de remettre un chèque dumontant de 1000$ à l’association S.F.O.A (Autisme). Une soirée spéciale avec souper spaghetti et musique (jamboree) était organisée le 25 mai à la salle des Chevaliers de Colomb. Le grand chevalier André Chamaillard tient à remercier tous les bénévoles qui ont participé à cet évènement.
L’église paroissiale a été le dernier bâtiment à être démoli à Lemieux, durant l’été 1991. Le village autrefois tranquille, près de la rivière Nation Sud, est devenu une ville fantôme tranquille pendant deux ans, jusqu’à ce que le glissement de terrain de Lemieux jette dans la rivière des millions de mètres cubes de terres agricoles abandonnées à proximité. —archives
un risque possible de glissement de terrain en raison de la présence d’argile Leda. L’argile Leda est instable et peut devenir liquide très rapidement sous l’effet du stress. Les importants gisements autour de Lemieux représentaient un risque de glissement de terrain. LEMIEUX DISPARAÎT En 1989, le village de Lemieux a été re- connu officiellement comme site à risque et leministère des Richesses naturelles de l’Ontario est intervenu. Des consultations avec les représentants du canton et les résidents de la région ont mené à une entente pour que le gouvernement provin- cial rachète les diverses propriétés et aide les résidents à déménager dans d’autres collectivités voisines, situées dans des zones sécuritaires loin de Lemieux. Une fois tous les résidents du village éva- cués, les bâtiments ont tous été démolis. Le dernier était l’église du village, qui est tombée sous le pic des démolisseurs le 4 août 1991. Le village de Lemieux n’existait plus. Pendant deux ans, après le départ du dernier propriétaire de Lemieux, il ne s’est rien passé dans la nouvelle ville fantôme, jusqu’en 1993. LA GRANDE GLISSADE La ferme familiale de John et Eleanor Bradley était située près du village de Lemieux. La famille Bradley exploitait une ferme dans la région depuis un siècle et John Bradley a siégé pendant plus de deux décennies aux conseils municipaux locaux. Lorsque le gouvernement pro- vincial a décidé d’évacuer le village, M. Bradley, qui avait environ 90 ans, était réticent à quitter la terre que sa famille avait cultivée pendant plusieurs généra- tions. Mais à la fin, il l’a fait. Il est décédé à l’âge de 93 ans, peu de temps après sa réinstallation. Il n’a jamais vu ce qui est arrivé aux terres agricoles sur lesquelles sa famille travaillait depuis des générations. Pendant des années, de nombreux résidents de la région avaient remarqué qu’une partie des terres de la ferme Bradley ne semblait jamais s’assécher pendant les périodes chaudes de l’été, contrairement aux autres fermes de la
s’étendait sur 320mètres de large et plon- geait de 18 mètres jusqu’à la rivière. Une partie de la route de comté 16 est tombée dans le cratère. Un homme du coin et sa camionnette étaient sur cette route lorsqu’elle s’est effondrée, l’emportant avec son véhicule. Il a souffert de plusieurs fractures, mais il a survécu jusqu’à ce que les sauveteurs le retrouvent plus tard, pour raconter l’histoire. Personne n’est mort dans le glissement de terrain de Lemieux, en 1993, qui s’est produit à l’extérieur de l’endroit où se trouvait le village. Mais le fait que le glis- sement lui-même ait eu lieu a prouvé la valeur de l’étude de sol de la SNC, puisque d’autres glissements de terrain plus petits se sont produits dans la région depuis cette grande glissade. VILLE FANTÔME Personne n’est jamais revenu à Lemieux. Le cimetière du village est toujours ouvert aux visiteurs. Le gouvernement provincial a installé une plaque commémorative près du cimetière, sur ce qui était autrefois la rue principale du village, expliquant brièvement l’histoire de Lemieux et les raisons de sa disparition. Le coût du glissement de terrain de Lemieux est estimé à 12,5 millions de dollars, incluant à la fois le coût pour le gouvernement de racheter le village et de relocaliser ses habitants, et plus tard les coûts du nettoyage après le glissement lui-même. Un an après le glissement de terrain de Lemieux, la SNC a lancé un programme de revégétalisation en ensemençant le site avec de l’herbe ou d’autres végétaux, ainsi que 7600 semis d’arbres, pour aider à stabiliser le sol et commencer à restaurer la zone comme habitat faunique. Mais plus personne ne vit à Lemieux. Il y a encore des gisements d’argile Leda dans la région et un autre glissement pourrait se produire, quelque part le long de la rivière, dans l’avenir. La SNCmène une campagne d’information continue, pour informer les propriétaires fonciers à proximité des risques potentiels.
Un chemin de terre conduit au cimetière paroissial, tout ce qui reste aujourd’hui du village de Lemieux. —archives
Le gouvernement de l’Ontario a installé une plaque près du centre de l’ancien site du village de Lemieux. —archives
région. La raison en est devenue évidente en 1993, lorsque les dépôts d’argile Leda sous la partie centrale de la ferme Bradley se sont soudainement liquéfiés, à la suite de fortes et constantes pluies en juin de la même année. Il n’y a presque pas eu d’avertissement.
En l’espace d’une heure, des millions de mètres cubes de sable, de limon et d’argile liquide se sont effondrés dans la rivière Nation Sud, créant un barrage soudain qui a retenu la rivière sur plus de trois kilomètres pendant plusieurs jours. Le cratère laissé par le glissement
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Le cimetière du village est tout ce qui reste aujourd’hui de Lemieux, une des villes fantômes de l’Ontario. Les résidents du petit village situé sur la rivière Nation Sud ont tous été évacués entre 1989 et 1991, parce que le gouvernement provincial avait déterminé que le village présentait un risque potentiel de glissement de terrain. Deux ans après le départ de la dernière personne de Lemieux, un glissement dévastateur s’est produit le long de la rive de la rivière près de la limite du village. —archives
LES ÉCRANS, NUISIBLES À LA SANTÉ DES ADOLESCENTS
LUCAS PILLERI FRANCOPRESSE
l’échantillon utilisé est représentatif de la population canadienne, avec plus de 40 000 adolescents sondés, de la 7e à la 12e année. Les données ont été obtenues en exploitant les chiffres de la grande Enquête canadienne sur le tabac, l’alcool et les drogues chez les jeunes de 2012- 2013 . « On peut s’attendre à des niveaux encore plus élevés aujourd’hui », suspecte la chercheuse. En moyenne, les adolescents canadiens passent un peumoins de cinq heures par jour sur les écrans, alors que les recom- mandations canadiennes sont de moins de deux heures. Aussi, avec cette étude, Caroline Fitzpatrick espère sensibiliser le public sur les conséquences d’un usage excessif. « Les corrélations deviennent plus importantes avec les groupes de jeunes qui utilisent les médias plus de quatre heures par jour », souligne-t-elle. L’enjeu n’est pas mince selon la cher-
C’est la conclusion d’une étude publiée en avril 2019 par des chercheurs de l’Université Sainte- Anne. Leur analyse établit une corrélation entre télévision, jeux vidéo et Internet et baisse de la réussite scolaire, de l’activité physique, de l’estime de soi et d’une mauvaise alimentation. L’étude, publiée en anglais dans l’édi- tion de juin 2019 de la revue scientifique Preventive Medicine Report s, examine l’impact des écrans sur le bien-être des ados. « Le temps passé devant les écrans n’est pas un passe-temps inoffensif, sans conséquence », met en garde la cher- cheuse principale, Caroline Fitzpatrick, professeure en psychologie à l’Université Sainte-Anne, en Nouvelle-Écosse. Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont établi des corrélations entre le nombre d’heures passées sur différents types demédias —ordinateurs, téléphones portables ou tablettes — et des indicateurs de bien-être, à savoir la réussite scolaire, l’estime de soi, le niveau d’attachement envers l’école, la victimi- sation des pairs, l’activité physique et les habitudes alimentaires. Résultats : « On a trouvé des associations dans l’ensemble négatives. » ADOS ET ÉCRANS NE FONT PAS BONMÉNAGE Les résultats de cette étude corréla- tionnelle semblent fiables puisque
—photo Igor Starkov sur UnSplash
les relations amicales et familiales via les applications de chat telles que Skype, voire même briser l’isolement. « Internet est un outil qui peut créer des connexions et des communautés virtuelles qui peuvent venir en aide à certains jeunes, comme les jeunes LGBTQ enmilieu rural. » Bien que l’étude ne se penche pas sur le type de contenus consultés, les cher- cheurs émettent l’hypothèse « que cer- tains contenus sont plus dommageables que d’autres ». En outre, les causes des corrélations observées restent à élucider : « On ne sait pas toujours si A cause B, ou si B cause A. Il est possible que les jeunes avec moins d’estime, qui font moins d’exercice et qui ont demoins bons résultats scolaires se tournent vers les écrans », concède Caroline Fitzpatrick, qui tentera désormais de répliquer les résultats de cette étude avec des données québécoises.
même trajectoire, ce sont des risques qui s’accumulent. » D’après elle, l’usage des médias devrait se concevoir comme un régime : « Il faut les doser et les utiliser avec modération. Il faut aider les personnes à faire des choix plus sains et plus équilibrés. » Au- delà de la simple restriction du temps d’utilisation, la chercheuse encourage une diversification des activités chez les jeunes. « Il faut s’assurer qu’il y a d’autres activités enrichissantes dans la vie des jeunes », avise-t-elle. Malgré tout, la chercheuse n’exclut pas les effets positifs des médias. Le temps passé pour accomplir des travaux scolaires ne compte d’ailleurs pas dans les effets négatifs. De même, leur usage peut ali- menter la curiosité des jeunes, entretenir QUE DUMAUVAIS DANS LES ÉCRANS?
« LES CORRÉLATIONS DEVIENNENT PLUS IMPORTANTES AVEC LES JEUNES QUI UTILISENT LES MÉDIAS PLUS DE QUATREHEURES PAR JOUR ».
cheuse. « Ça peut représenter un pro- blème de santé publique. Commencer par fairemoins d’exercice physique quand on est adolescent, plus tard quand on est adulte et que l›on continue sur la
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CAPRAC LANCE UNE GALERIE VIRTUELLE
sur www.capracgallery.ca, a été offi- ciellement lancée le mercredi 29 mai, à l’Ancienne Prison de L’Orignal. Ce projet a été rendu possible grâce à une subvention de la Société de développement commu- nautaire de Prescott-Russell, en plus du financement habituel accordé au CAPRAC par les Comtés unis. « Pour la première cohorte, 15 artistes de diverses disciplines ont été choisis pour exposer dans la galerie et un comité de sélection sera mis en place pour exami- ner les soumissions reçues et assurer le contrôle de la variété et de la qualité », a expliqué Mme Steals.
L’idée est de promouvoir le plus grand nombre d’artistes et le plus grand nombre possible de médiums artistiques, ce qui permettra aux artistes d’élargir plus faci- lement leur portée. « Pourquoi une galerie virtuelle ? Parce que le temps est propice et nous voulons moderniser nos services, a expliqué Mme Steals. La commodité est de plus en plus recherchée. En créant une plateforme d’achat en ligne, nous élargissons la portée de nos offres et nous augmentons la visibilité des œuvres aux collectionneurs et aux acheteurs poten- tiels. En bref, la galerie permet aux artistes de faire ce qu’ils font le mieux : créer. »
Shanna Steals, la directrice générale de CAPRAC avec le président de la Société de développement communautaire de Prescott-Russell, Eric Drouin, lors du lancement officiel de la galerie virtuelle, le 29 mai. —photo Alexia Marsillo
à l’extérieur de notre région », a déclaré Shanna Steals, directrice générale du CAPRAC. La galerie virtuelle permet aux artistes d’exposer et de vendre leurs œuvres direc- tement sur le site Web. Une multitude d’œuvres d’art seront incluses dans la galerie,comme les arts visuels, les métiers d’art, la littérature et lamusique. Cela peut aller de la peinture à la photographie, en passant par la poésie, les bijoux et même les billets pour les concerts et les pièces de théâtre. La galerie en ligne, que l’on peut trouver
ALEXIA MARSILLO alexia.marsillo@eap.on.ca
Osez. Cliquez. Acquérez. Tel est le slogan de la nouvelle galerie virtuelle du Conseil des arts de Prescott- Russell Arts Council (CAPRAC). « Notre vision est que cette plateforme aide à la fois à établir des artistes émergents dans la région et au-delà et qu’elle favorise de nouvelles occasions de mise en valeur, dans des lieux physiques à l’intérieur et
Shanna Steals, la directrice générale du CAPRAC, lors du lancement officiel de la galerie virtuelle, le 29 mai. —photo Alexia Marsillo
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LES BIBLIOTHÈQUES LOCALES SUBISSENT DES COMPRESSIONS BUDGÉTAIRES
GREGG CHAMBERLAIN gregg.chamberlain@eap.on.ca
Les services de bibliothèques locales sont maintenant en difficulté à cause d’une réduction considérable des montants versés par le gouvernement ontarien aux deux organismes de soutien des bibliothèques publiques de la province. Le premier budget complet du gouver- nement Ford pour l’Ontario avait comme priorité principale la réduction des coûts. Dans ce budget, on annonçait notamment que le financement des services de sou- tien des bibliothèques provinciales serait réduit de moitié. Aujourd’hui, les biblio- thèques publiques des centres urbains et ruraux se démènent pour réviser leurs opérations et leurs budgets. « Ce sont les petites bibliothèques qui seront les plus touchées, a expliqué Cynthia Martin, bibliothécaire en chef de la Bibliothèque publique du canton de Champlain à Vankleek Hill. Ça veut dire qu’on aura moins de livres pour nos clients. » La Bibliothèque publique du canton de Champlain et la Bibliothèque publique de Hawkesbury sont toutes deux desser- vies par les Services des bibliothèques de l’Ontario-Sud (SBOS). Le soutien financier du SBOS est passé de 3millions de dollars à 1,5million de dollars après être demeuré inchangé pendant 20 ans, selon les cri- tiques du Parti de l’opposition. Le SBOS offre des services et des pro- grammes de soutien aux bibliothèques municipales et rurales, allant du pro- gramme de prêt entre bibliothèques aux webinaires, sur divers sujets à l’intention des usagers des bibliothèques, ainsi qu’une formation en bibliothéconomie et des compétences en gestion pour le personnel des bibliothèques. Le SBOS revoit actuellement ses priorités
Cynthia Martin, bibliothécaire en chef à la Bibliothèque publique du canton de Champlain, présente une pile de livres emballés et prêts à être retournés à leurs succursales d’origine, grâce au programme de prêts entre bibliothèques de l’Ontario. Ce programme est maintenant menacé par la réduction des services de soutien des bibliothèques provinciales par le gouvernement progressiste conservateur de Doug Ford. —photo Gregg Chamberlain
budgétaires, mais la bibliothécaire en chef de Champlain, Mme Martin et celle de Hawkesbury, Lynn Belle-Isle, savent déjà qu’un service manquera à leurs clients, grâce à la réduction du financement. « Jusqu’à présent, ce que nous savons, c’est que notre prêt entre bibliothèques est terminé », a dit Mme Martin. « Le ser- vice de livraison (de livres) est annulé, a ajouté Mme Belle-Isle. C’est une grosse coupure ». Publié le jeudi par : La Compagnie d’édition André Paquette Inc. Imprimé par : Imprimerie Prescott et Russell, Hawkesbury, ON # convention : 0040012398
Toutes deux ont souligné que le pro- gramme de prêt entre bibliothèques est un service important pour les petites bibliothèques rurales de l’Ontario, qui peuvent échanger des livres entre elles et avec leurs homologues des grandes villes. Le programme de prêt signifie qu’un plus grand nombre de livres sont disponibles pour les clients des petites bibliothèques, où l’espace sur les étagères est limité. La Bibliothèque publique du canton de Champlain a envoyé et reçu en retour en moyenne 1500 livres par année par prêt entre bibliothèques. Ce service est une ressource précieuse pour les six clubs de lecture et leurs 40 membres, qui uti- lisent la bibliothèque pour leurs réunions. « Maintenant, nous ne pouvons plus les soutenir (les clubs de lecture) avec des livres (nouveaux) pour l’année à venir », a dit Mme Martin. La Bibliothèque publique de Hawkesbury a envoyé et reçu environ 60 livres chaque mois, par prêt entre bibliothèques, dont un grand nombre de livres en français pour ses usagers. Mme Belle-Isle a noté que la Bibliothèque publique de Hawkesbury est aussi une source importante de livres en français pour les lecteurs francophones des petites bibliothèques du Nord de l’Ontario. « Environ 85 % de notre collection (de livres) est en français », a avancé Mme Belle-Isle. PÉTITION AUGOUVERNEMENT Le SBOS pourrait fournir une version réduite du programme de prêts entre
bibliothèques en juin. Mais au lieu de la livraison gratuite des livres, les biblio- thèques devront payer les frais d’expé- dition pour envoyer et/ou recevoir des livres et d’autres documents, ce qui peut ne pas fonctionner pour de nombreuses petites bibliothèques rurales. « La différence, c’est que les frais d’expédi- tion seraient absorbés par la bibliothèque, a expliqué Mme Belle-Isle. Nous n’avons pas l’argent dans notre budget pour ça. » « Nous devrions retourner les livres par Postes Canada », a ajouté Mme Martin. Une pétition est en place, tant en ligne que dans les succursales des bibliothèques locales, demandant au gouvernement provincial de rétablir le financement des services de bibliothèque à leur niveau initial. Le conseil du canton de Champlain a voté en faveur d’une résolution deman- dant au gouvernement provincial de réta- blir le financement initial du SBOS et de « soutenir le financement durable à long terme » des bibliothèques provinciales. Entre-temps, le personnel de la biblio- thèque locale examine les options et les idées pour répondre aux souhaits de lecture de ses usagers. « Nous allons être créatifs, a dit Mme Martin. Les bibliothé- caires ont l’habitude de travailler avec un budget restreint. On va trouver un moyen de garder les clubs de lecture et tout ça ensemble. Mais il semble qu’on doive toujours défendre les services de la bibliothèque. »
BERTRAND CASTONGUAY Président bertrand@eap.on.ca
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YVAN JOLY Directeur des ventes yvan@eap.on.ca
FRANÇOIS LEGAULT Directeur de l’information francois.legault@eap.on.ca
Nous invitons les lecteurs à nous faire parvenir leurs lettres qui ne doivent pas dépasser 300mots. Nous nous réservons le droit de les modifier ou de refuser de les publier. L’expéditeur doit inclure son nom, prénom, adresse et numéro de téléphone.
GILLES NORMAND Directeur de Production et Distribution gilles.normand@eap.on.ca MARCO BLAIS, CARL LALONDE Infographie et prépresse pub@eap.on.ca
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L’agriculture biologique, c’est quoi exactement?
Quand on pense aux aliments bio, des expressions comme « respect de l’environnement », « absence d’OGM» ou « non-usage de pesticides chimiques » nous viennent en tête... Mais, concrètement, que signifie « biologique »? Un aliment biologique — qu’il soit végétal ou animal — a été produit ou transformé dans un souci de protéger l’environnement, de maintenir la biodiversité, de respecter les cycles naturels et de privilégier la santé et le bien-être des animaux. Ainsi, les techniques employées en agriculture bio excluent, par exemple, l’utilisation de pesticides et d’engrais chimiques de synthèse, d’antibiotiques et d’hormones de croissance, d’agents de conservation chimiques, d’OGM et d’irradiation. Au contraire, les agriculteurs recourent notamment au recyclage, à la rotation des cultures, aux ressources renouvelables, à la
nourriture biologique (pour le régime des animaux d’élevage) et aux cultures-abris (plantations de végétaux qui fertilisent les terres). De telles pratiques permettent, entre autres, de préserver la richesse des sols à long terme et d’en réduire au minimum l’érosion, de favoriser la santé des animaux d’élevage et de diminuer les risques de contamination du sol et de l’eau. l’économie locale, notamment parce qu’elle crée de nombreux emplois. Les méthodes de production nécessitent en effet plus demain-d’œuvre (pour la gestion des mauvaises herbes et des insectes nuisibles, par exemple). Enfin, l’agriculture bio offre aux consommateurs des aliments — produits laitiers ou de l’érable, fruits et légumes, viandes, céréales — sains, nutritifs et goûteux à souhait! Que demander de mieux? Par ailleurs, l’agriculture biologique contribue au développement de
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« ON RÉUTILISE TOUT » MINER AQUAGREEN FOODS
Aqua Miner Green Foods founder and CEO Frédérick Miner stands next to some of his latest crops. The man’s pilot project utilizes Aquaponics, an innovative system that uses water and fish waste as organic food for the plants and then the water is recycled for the plants, which has naturally been filtered for the fish. —photo Francis Racine
FRANCIS RACINE francis.racine@eap.on.ca
On utilise les poissons afin de faire pousser nos légumes. Notre méthode est biologique. » Une cinquantaine de tilapias habitent un aquarium de grande taille. « Ce sont des poissons asiatiques très sociables, a expliqué M. Miner. Je travaille avec eux chaque jour. Ce sont aussi des poissons qui grandissent très vite. » L’eau dans laquelle nagent les poissons est filtrée à travers plusieurs tuyaux, afin d’être utilisée pour nourrir plusieurs légumes flottant à la surface. Selon M. Miner, cette même eau serait riche en nutriments. Celui-ci soulève la surface flottante afin de révéler plusieurs longues racines. « Parce que les racines n’ont pas à se frayer un chemin dans la terre, ils poussent beaucoup plus rapidement », a-t- il démontré.
avec fierté comment ses poissons lui permettent d’avoir une récolte à chaque mois. L’intérieur de la grande bâtisse est rempli de légumes frais : laitue, tomates, fines herbes et concombres. On retrouve même des fraises ! Tous ces aliments sont nourris par l’eau d’élevage des poissons. Sa température est hautement contrôlée, entre 16 et 21 C°. Une salade romaine, de taille géante, ne prend donc que 26 jours à pousser. La germination des graines ne prend que quatre jours. Gérer un tel projet ne se fait pas seul. M. Miner est entouré de son épouse Guylaine, responsable des opérations, ainsi que leur
fille Kassandra, responsable de la vente, du marketing et des relations médiatiques.
Bien que le temps soit encore froid, les légumes de FrédérickMiner sont bien en santé et poussent très rapidement. « Nos poissons sont nos moteurs, a expliqué M. Miner lorsque nous l’avons rencontré à son commerce Aqua Miner Green Foods situé près de Curran. Sans eux, ça ne fonctionnerait pas. Ils sont nos héros. Ses installations comprennent un bureau, un laboratoire et une serre de 40 pieds de large, 80 pieds de long et 19 pieds de haut. Le projet pilote de M. Miner a commencé en 2017, à la suite de complications reliées à la maladie de Lyme. « Je devais manger mieux, a expliqué M. Miner. J’ai commencé avec des petits plants. » C’est dans son laboratoire que M. Miner explique comment fonctionne sa méthode, unique dans Prescott-Russell. « C’est de l’aquaponie, a-t-il expliqué en souriant.
L’homme espère entreprendre la construction d’une méga serre, mais pour y arriver, il a non seulement besoin de financement, mais aussi de quatre acres. « Si tout va bien, tout ça se passera dans cinq ans », a-t-il déclaré, sourire aux lèvres. Il entend ouvrir un petit magasin organique MAGSTORE ORGANIC à Bourget. Le tout se situe entre L’église et Home Hardware« On a commencé une boule de neige qui ne fait que grossir », a-t-il affirmé.
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C’est avec 16 poissons que M. Miner à amorcé son projet. Il en possède
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C’est très simple : L’aquaponique est un écosystème qui fournit des nutri- ments aux plantes à l’aide de l’eau mi- néralisée fournie par la fertilisation des poissons - lorsque l’eau atteint les plantes, elle revient pour nourrir les poissons. L’aquaponique crée un écosystème de microbiomes naturels Pour certains, cette réponse est satisfai- sante par sa simplicité, mais pour d’autres, il y a beaucoup plus de questions qui la sui- vent. Voici quelques questions et réponses qui, à notre avis, seront utiles pour mieux comprendre l’aquaponique. Comment Aquaponics est-il biologique ? Aquaponics crée un écosystème micro- biologique qui permet la fabrication de microbes naturels, ce qui favorise l’absorption des nutriments et la résistance aux maladies dans notre système grâce à la recirculation de l’eau minéralisée. Toute utilisation de fertilisation ou de pesticides pourrait non seulement nuire au système lui-même, mais aussi réduire le nombre de microbes sains qui fournissent
de la nourriture aux poissons et aux verts. L’environnement microbiologique qu’offre Aquaponics est considéré comme orga- nique en raison de son écosystème naturel et de l’absence de maladies possibles dans le sol. Aquaponics utilise un poisson à sang froid tel que le tilapia du Nil comme engrais pour les plantes qui fournit les nutriments nécessaires à une conversion plus rapide que l’engrais animal à sang chaud. Pois- son ; s’il est élevé dans un environnement sûr et propre, ne contient pas d’hormones de croissance, pas de mercure ou d’antibiotiques et est à sang froid ; exempt de maladies telles que E. coli.
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Comment cultiver l’intérêt de vos enfants pour l’agriculture?
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Vous caressez le rêve qu’un jour vos en- fants reprennent la ferme familiale? Voici quelques conseils pour développer leur in- térêt pour l’agriculture, et ce, dès leur plus jeune âge — après tout, c’est une condition préalable essentielle pour préparer votre relève! D’abord et avant tout, il est important que vos enfants sentent qu’ils font partie inté- grante de la ferme. Ainsi, impliquez-les dans l’exploitation et pensez à leur confier des projets — sécuritaires et adaptés à leur âge, cela va sans dire — qu’ils seront en mesure de mener à bien sans aide (ou presque). Par exemple, nommez-les responsables d’une parcelle de terre, puis guidez-les dans la bonne direction, sans toutefois leur montrer tout ce qu’ils doivent faire dans les moindres détails. Ex- pliquez-leur plutôt ce que vous attendez d’eux, et aidez-les à trouver les étapes qui leur permettront d’atteindre les objectifs visés. Bref, ne faites pas tout le travail à la place de vos enfants, même si ce qu’ils font n’est pas toujours parfait : montrez-leur que vous les soutenez tout en leur don- nant assez de liberté pour qu’ils puissent apprendre par l’action. Évidemment, vos encouragements et vos félicitations sont primordiaux!
Par ailleurs, retenez que ce qui vous pas- sionne le plus dans votre travail n’est pas forcément ce que vos enfants préfèrent de la vie à la ferme. Soyez donc à leur écoute, misez sur leurs forces et, surtout, intéres- sez-vous…à ce qui les intéresse! Enfin, veil- lez à mettre l’accent sur les aspects positifs de votre métier d’agriculteur — vous ne voulez pas les décourager d’emblée en fai- sant le bilan de vos difficultés chaque soir au souper!
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TOURNOI DE GOLF Le Club Optimiste deWendover organise son 13e tournoi de golf pour le CHEO, le samedi 8 juin, au Club de golf Nation. Information: Frédéric au 613-859-2135 ou visiter notre page Facebook. PIQUE-NIQUE Un pique-nique communautaire aura lieu le dimanche 23 juin après la messe au parc de L’Orignal dans le cadre de la Saint-Jean-Baptiste. La messe à 9h30 à L’Orignal sera animée par la famille Tardif. En cas de pluie, l’événement sera annulé.
NEUVIÈME SAISON POUR LA DERNIÈRE PENDAISON
Raoul Sanschagrin (Guy Rouleau, à droite et à gauche) invite son partenaire réticent, Roméo Ledoux (Gilles Bélanger), à s’associer à lui dans un complot mortel de fraude sur une assurance-vie, pendant l’une des premières scènes de La Dernière Pendaison, le 2 juin. La pièce est une reconstitution spectaculaire des circonstances entourant la dernière exécution, qui a eu lieu en 1932 à la prison de L’Orignal. La Troupe des Non-coupables célèbre sa neuvième saison de représentation de la pièce de théâtre, écrite et produite localement. Tous les revenus du spectacle sont versés à des organismes de bienfaisance locaux. —photo Gregg Chamberlain
44 ANS de promotion et diffusion des arts, de la culture et de votre héritage culturel
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GALERIE OUVERTE SEPT JOURS Le Café du Chenail est WIFI… Boutique cadeaux, artistes locaux Maintenant ouvert 7 jours, 8h30 – 18h / Le CCC offre les informations touristiques de la région ainsi que la vente des vignettes pour la mise à l’eau des bateaux et la location des embarcations nautiques du O’Shack. qui habitaient l’Île du Chenail… EN VENTE MAINTENANT ! SOIRÉE CASABLANCA GALA Le dimanche 22 septembre – 18h Événement bénéfice au profit de votre centre culturel sous la présidence d’honneur de monsieur Nicolas Malaket. Billets sur notre site Internet. Venez en groupe, choisissez votre salon, dégustez l’art culinaire et dansez au son du Big Band avec Kim Richardson et ses sept musiciens… Breen Leboeuf, Roger Mann, Blair Mackay, Pedro Belisle, Christopher Smith, Cameron Wallis et Dominic Léveillé Horaire de juin: Le CCC offre une tribune à la relève en arts visuels par des expositions d’étudiants de la région du niveau secondaire. Venez découvrir les talents artistiques et encourager les prochains Picasso en herbe ! VERNISSAGE - jeudi 6 juin à 17h EXPOSITION – Inspirations polymorphes Une fois de plus, les élèves de 9e à la 12e année en arts visuels de l’École secondaire publique Le Sommet partageront les fruits de leurs travaux de l’année 2018-2019. Dessin - peinture – imprimerie et sculpture. Venez rencontrer les artistes lors du vernissage! EXPOSITION DU PATRIMOINE– Fierté & Gloire Une époque où l’art se portrait – 1860 Robes d’époques du 22 juin au 2 septembre Tout l’été à l’intérieur de la Maison de l’île, site historique de Hawkesbury. Pendant la moitié du 19e siècle, la plus grande scierie en production de l’Empire britannique était située sur l’Île du Chenail et l’Île Hamilton….140 photos de familles
Raoul Sanschagrin Junior (Xavier Desjardins, à gauche) et son ami Roméo Ledoux junior (Jérémy Rozon) assistent, de l’autre côté des murs de la Prison de L’Orignal, à la mort de leur père, lors de la dernière exécution en 1932 à la prison régionale. —photo Gregg Chamberlain
Ci-dessus, Raoul Sanschagrin Junior (Xavier Desjardins, à gauche) défend la réputation de son père contre les insultes de Roméo Ledoux Junior (Jérémy Rozon). Les deux garçons viennent d’assister à l’exécution de leur père pour meurtre dans La Dernière Pendaison. À droite, Félix Desroches interprète Le journaliste. —photos Gregg Chamberlain
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SEMAINE DU 2 AU 8 JUIN 2019
SIGNES CHANCEUX DE LA SEMAINE : VIERGE, BALANCE ET SCORPION BÉLIER (21 MARS - 20 AVRIL) Si vous prévoyez un déménagement bientôt, vous aurez besoin de refaire la décoration à votre image. On pourrait aussi vous annoncer une naissance dans la famille. Une formation estivale serait profitable pour votre carrière. TAUREAU (21 AVRIL - 20 MAI) Vous recevrez de grandes confidences simplement parce que vous êtes une per- sonne de confiance et, surtout, très discrète. Vous aurez droit à des révélations assez particulières qui pourraient vous laisser perplexe. GÉMEAUX (21 MAI - 21 JUIN) Les déplacements seront beaucoup plus longs que prévu. Vous pourriez devoir jouer au taxi à quelques reprises avec vos pro- ches. Tâchez de vous munir d’une carte ou d’un GPS ou, du moins, des bonnes indications routières. CANCER (22 JUIN - 23 JUILLET) Si vous devez faire des acquisitions import- antes, prenez le temps de réfléchir pendant plus d’une journée avant de procéder à une transaction. Cette attente vous permettra sûrement d’obtenir un meilleur prix. LION (24 JUILLET - 23 AOÛT) Un peu de repos s’impose. Au bureau, un deuxième café sera nécessaire pour vous éclaircir l’esprit et pour retrouver votre effi- cacité. Vous serez passablement créatif et vos intuitions seront d’une grande précision. VIERGE (24 AOÛT - 23 SEPTEMBRE) Vos plans pourraient changer à la dernière minute. Vos amis se décommanderont d’une activité que vous aviez organisée, par exemple. Heureusement, vous apprécierez le calme et la détente en remplacement. BALANCE (24 SEPTEMBRE - 23 OCTOBRE) Vous préparerez sûrement un évènement qui rassemblera beaucoup de monde. Vous obtiendrez un immense succès avec une pendaison de crémaillère ou un anniver- saire, par exemple. Vous serez en quelque sorte populaire. SCORPION (24 OCTOBRE - 22 NOVEMBRE) Vous tomberez sur des informations pertin- entes concernant un cours ou une formation qui entraînerait des développements spec- taculaires sur le plan professionnel. Vous aurez besoin d’élargir vos horizons. SAGITTAIRE (23 NOVEMBRE - 21 DÉCEMBRE) Si vous avez de jeunes enfants, les vacances arrivent à grands pas et vous pourriez com- mencer à vous sentir inquiet au sujet de leurs activités estivales. Prenez le temps de bien choisir leur camp de jour, par exemple. CAPRICORNE (22 DÉCEMBRE - 20 JANVIER) Au travail, vous connaîtrez passablement de succès en prenant le temps de négocier, de poser des questions et de conclure des ententes. Une fois l’ordre rétabli, les choses s’amélioreront parmi les gens qui vivent sous votre toit. VERSEAU (21 JANVIER - 18 FÉVRIER) Quel que soit le projet, vous devrez impéra- tivement prendre le temps de régler tous les petits détails et de faire les préparatifs qui s’imposent pour réussir un exploit remar- quable dont tous auront écho. POISSONS (19 FÉVRIER - 20 MARS) Vous parviendrez à vous démarquer et peut-être même à vous faire admirer d’une manière ou d’une autre. Avec un nouveau look pour l’été, par exemple, vous vous ferez remarquer comme jamais auparavant.
MOTS CROISÉS
JEU NO 611
HORIZONTALEMENT 1. Supériorité. 2. Consentement. 3. Démonstratif – Dérivé hydrogéné du silicium – Radon. 4. Pour enfouir les semences – Permis. 5. De cette façon – Objet. 6. Édredon – Transpire – Condition. 7. Allonger – Excessivement. 8. Épile – Surface. 9. Lieu où se réunissent les officiers – Pesa – Dévêtu. 10.Métal blanc grisâtre – Plantation de pins. 11.Substance qui peut engendrer des anticorps – Petit cours d’eau. 12.Table où l’on célèbre la messe – Demeurer. VERTICALEMENT 1. Éléphant. 2. Mouvement impétueux – Vieux do – Presse formée de deux tiges de fer. 3. Conjonction – Qui plaît beaucoup. 4. Répertoire – Paysage. 5. Diriger – Fleuve d’Afrique. 6. Céréale à petits grains – Rongeur. 7. Renard polaire – Ébranler. 8. Élément divisant une unité par un milliard – Demi- sœur. 9. Boutique – Onagres. 10.Nickel – Sert à lier – Fémur. 11.Communiquer. 12.Rival – Lumière faible.
RÉPONSE DU NO 611
JEU NO 611
RÈGLES DU JEU : Vous devez remplir toutes les cases vides en plaçant les chiffres 1 à 9 une seule fois par ligne, une seule fois par colonne et une seule fois par boîte de 9 cases. Chaque boîte de 9 cases est marquée d’un trait plus foncé. Vous avez déjà quelques chiffres par boîte pour vous aider. Ne pas oublier : vous ne devez jamais répéter les chiffres 1 à 9 dans la même ligne, la même colonne et la même boîte de 9 cases.
NAISSANCES WOODBURY, Ludovick, né le 4 mai 2019, à l’Hôpital Général de Hawkesbury. Mère : Mélina Woodbury, de Grenville. Grands-parents : Josée Daoust et Stephen Woodbury, de Grenville. Arrière-grands-parents : Pauline et Jean-Paul Daoust ainsi que Denise Woodbury. Parrain et marraine : Annie-Pier et Laurie-Anne Woodbury, de Grenville. Merci à Dre Milena Garofalo. BERNIER, Jake, né le 8 mai 2019, à l’Hôpital Général de Hawkesbury. Parents : Lisa Paquette et Claude Bernier, de Hawkesbury. Un petit frère pour Océanne et Rafaël. Parrain : Alain Paquette de Lachute. Les parents remercient Dre Paquette et tout le personnel du département de l’obstétrique de l’HGH. BOCKING, Coraline, Jacques-Lynn, Bridget-Joyce, née le 9 mai 2019, à l’Hôpital Général de Hawkesbury. Parents : Julie et Andrew Bocking, de Hawkesbury. Une petite sœur pour Abigail. Grands-parents : Joanne Presseault et Michel Sauvé ainsi que Bridget Chatelois et Michael Bocking, de Hawkesbury. Arrière-grand-mère : Dolores Sauvé. Les parents remercient toute la famille pour leur soutien. BOUFFARD, Léa, né le 9 mai 2019, à l’Hôpital Général de Hawkesbury. Parents : Julie Paquette et Denis Bouffard, de Saint-André-d’Argenteuil. Une petite sœur pour Emerick, Lorie et Florence. Grands-parents : Danielle et Sylvain Paquette, de Saint- André-d’Argenteuil ainsi que Hélène et Rénald Bouffard, de Grenville. Arrière-grand- père, Fernand Langevin. Parrain et marraine : Benoit Paquette et Stéphanie Girard, de Saint-Canut. Les parents remercient toute l’équipe du département de l’obstétrique. RAVARY, Liam, né le 10 mai 2019, à l’Hôpital Général de Hawkesbury. Parents : Sarah et Derek Ravary, de Vankleek Hill. Un petit frère pour Lexie. Grands-parents : Manon et Tom Wharry ainsi que Sheila et Yves Ravary, de Vankleek Hill. Les parents remercient toute l’équipe du département de l’obstétrique. FARAND-LÓPEZ, Alexandre Manuel, né le 20 mai 2019, à l’Hôpital Général de Hawkesbury. Parents : Renée Farand Mendez et Jesús Manuel López Velázquez, de Rigaud. Grands-parents : Milagros Mendez et Jean-Renée Farand, de Rigaud ainsi que Maria A. Velázquez Meléndez et Victor M. López Paulus, de Caquas, Puerto Rico. Arrière-grand-mère, Annette Masse. Les parents remercient toute l’équipe du département de l’obstétrique. JUSKA, Rémi, né le 21 mai 2019, à l’Hôpital Général de Hawkesbury. Parents : Daira Nielson et Aistis Juska, de Mississauga. Grands-parents : Neris et Paul Nielson, de Mississauga ainsi que Rasa et Juozas Juska, de Manasquan (N-J – É-U). CADIEUX, Zackary, né le 29 mai 2019, à l’Hôpital Général de Hawkesbury. Parents : April Macdonald et Martin Cadieux, de Lefaivre. Un petit frère pour Nadaige et Jérémy. Grands-parents : Linda et Allan MacDonald, de Lefaivre ainsi que Micheline et Michel Cadieux, d’Alfred. Les parents remercient Dr Michel Quenneville et toute l’équipe du département de l’obstétrique.
Né d’une race FIÈRE RIEL DIT L’IRLANDE
Les familles Riel dit L’Irlande sont à l’honneur cette semaine. Denis Riel, membre de La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, a préparé cette chronique généalogique pour rendre hommage aux ancêtres de son père Adrien Adélard Riel. Jean Baptiste Réel est venu en Nouvelle-France avec les Compagnies franches de la Marine qui ont été dissoutes à partir de 1683. « La municipalité établie en 1845 portait le nom L'Isle-du-Pads. Abolie en 1847, elle devenait partie de la municipalité du comté de Berthier et était rétablie en 1855 sous le nom La Visitation-de-la-Sainte-Vierge- de-l'Isle-du-Pads, appellation-fleuve qui compte parmi les dénominations les plus longues de l'histoire québécoise. Ce dernier nom, qui était aussi celui de la paroisse érigée civilement en 1842, tire partiellement son origine de l'appellation de la paroisse de L'Isle-du-Pads, érigée canoniquement en 1834. En 1981, on abrège la dénomination en La Visitation-de-l'Île-Dupas, tout en rectifiant la graphie et en modifiant le statut de municipalité de paroisse en celui de municipalité. 1 » GÉNÉRATIONS 10e Denis Riel – Lucille Brodeur, fille de Rolland et Simone Brodeur m. le 1966-04-23 àMontréal, Qc 9e Adrien Adélard Riel (1910-1980), mécanicien – Marie Anna Aurore Riopel (je retiens cette graphie étant celle de la signature de la mariée) (1912-1992), fille d’Édouard-Denis et Reina Papineau m. le 1935-09-02 à Saint-Jean-de-la Croix, Montréal, Qc 8e Henri Riel (1885-1934), ferblantier – Flore Belleville (1885-1968), fille d’Hormisdas et Marie Catherine Capistran m. le 1906-06-12 à Montréal, Qc 7e Jean Baptiste Riel (1847-1911) - Marie Ducharme (1848-1927), fille de Pierre Charron dit Ducharme, journalier, et Euphémie Dupuis m. le 1873-04-26 à Saint-Gabriel-de-Brandon, Qc 6e Magloire Riel dit l’Irlande (1803-1872), journalier, vf de Geneviève Ragas dit Laprade – Geneviève Desjardins, vve de Jacques Dauphinais, fille de Joseph et Marguerite Lambert m. le 1849-09-24 à Saint-Ambroise de Kildare, cté Joliette, Qc 5e Joseph (Jos-Zoé) Riel dit L’Irlande (1771-1846) – Marie Anne Pagé (1767-1819), fille d’Alexandre Martin Pagé, agriculteur, et Angélique Proulx m. le 1796-10-10 à Lanoraie, cté Berthier, Qc 4e Jean Baptiste Riel dit L’Irlande, (1731-1788), agric., vf de Marie Charlotte Silvestre – Marie Amable Colin dit Laliberté (1767-1819), fille de François, agric., et Marguerite Chevalier m. le 1767-05-28 à Lanoraie, cté Berthier, Qc 3e Jacques Riel dit L’Irlande (1706-1777) – Élisabeth Degame (1711-1772), fille de Léon et Marie Jeanne Besnier m. le 1730-05-08 à Saint-Sulpice, cté L’Assomption, Qc 2e Jean Baptiste Reel (vers 1670, Limerick County, Irlande – 1753, Lavaltrie, Qc – Louize Coutu (aussi Cottu), fille de François et Jeanne Verdon (1684, Contrecoeur, Qc – 1735, Lanoraie, Qc) m. le 1704-01-21 à La Visitation-de-l’Île-DuPas, près de Sorel, N.-F. 1re Jean Baptiste Reel (1644, Limerick, Limerick County, Irlande – 1730, Île Dupas, Qc) – Louisa Lafontaine (1648, Irlande – 1730, Lavaltrie, Qc), m. le 1663-12-31 à St. Peter, Limerick, Irlande À nos lecteurs, Si vous souhaitez publier votre lignée généalogique dans cette chronique, veuillez communi-quer avec La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury à l’adresse courriel suivante : info@seigneurie-hawkesbury.ca Du nouveau sous peu sur le site de La Seigneurie. 1 http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/toposweb/Fiche.aspx?no_seq=114409 2 https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_de_l%27histoire_du_Québec_(1663_à_1759)#Années_1660
Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1
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