SOMMEIL ET LONGÉVITÉ
Début de la sécrétion de mélatonine
Sommeil profond maximal
Pic de pression sanguine
Température corporelle minimale
Température corporelle maximale
Pic de la pression sanguine
Rythme circadien
Force musculaire maximale
Fin de la sécrétion de mélatonine
Sécrétion maximale de testostérone
Temps de réaction le plus rapide
Pic de vigilance
Coordination motrice optimale
Il faut commencer par respecter son horloge biologique et adopter un rythme régulier en tenant compte du cycle de la nature et du soleil.
Et qu’est-ce qu’un bon lit ? Il y a plusieurs composantes essentielles. D’abord, il doit être adapté à notre morphologie. Puis, le sommier doit être bien aéré. Enfin, il faut éviter les microplastiques souvent présents dans les literies de bas de gamme. Il faut donc privilégier les matelas organiques, ainsi que des draps en coton ou en soie pour une meilleure thermorégulation.
Traquer son sommeil au moyen d’une montre ou d’un anneau type Oura peut donc se révéler une option intéressante. Mais quel est le meilleur moyen de s’assurer un sommeil réparateur ? Il faut apprendre à utiliser les outils que la nature nous donne. Ce n’est pas en avalant des somnifères que l’on s’assure un sommeil réparateur. C’est notre mode de vie qui est déterminant : marcher en extérieur, manger, cuisiner des aliments frais,
sont autant de facteurs bénéfiques. Puis, comme je l’ai relevé, il faut se coucher tous les jours à peu près à la même heure. Quel est le rôle de notre lit dans tout ça ? C’est un élément fondamental. On sait que les cellules souches sont libérées la nuit pour nous réparer. Et puis, on tend à l’oublier, mais on passe le tiers de notre temps au lit. Grâce à un bon lit, on peut être mieux reposé après 6 heures de sommeil qu’après 8.
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