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COLLECTIVITÉS

LES «ARNAQUES AUX GRANDS-PARENTS» SONT DE NOUVEAU EN HAUSSE

CHRISTOPHER SMITH christopher.smith@eap.on.ca

La chose la plus importante à faire est de vérifier toute histoire de ce genre avec un autre membre de la famille ou une personne de confiance avant d’envoyer de l’argent ou des informations sur une carte de crédit. Toute personne ayant des renseigne- ments concernant une activité criminelle doit communiquer avec la Police provinciale de l’Ontario au 1-888-310-1122. Les per- sonnes qui appellent anonymement peuvent communiquer avec Échec au crime au 1-800-222-8477, où elles pourraient être admissibles à une récompense en argent pouvant atteindre 2 000 $. Si vous ou une personne que vous connaissez avez été la cible d’une escro- querie, contactez votre police locale et/ ou le Centre antifraude du Canada au 1-888-495-8501. Les escrocs se font passer pour des petits- enfants afin de toucher votre corde sensible et de vous faire oublier les failles de leur histoire. —photo by Teona Swift

se font passer pour des membres de la famille affolés qui ont besoin d’argent tout de suite. Ils disent qu’ils ont été victimes d’un accident de voiture ou qu’ils ont des difficultés à rentrer d’un pays étranger. Ils insistent pour que la victime n’en parle à personne et qu’elle ait besoin de l’argent immédiatement. La Police recommande vivement la pru- dence, car il est presque impossible de retrouver l’argent une fois qu’il a quitté les mains de la victime. Il faut se méfier de ce qu’on affiche en ligne, car l’information provenant des médias sociaux peut être utilisée sous de fausses représentations. Il faut se méfier des appels qui exigent une action immédiate sans avoir vérifié l’histoire au préalable, ou qui jouent sur les émotions pour faire peur.

Les personnes âgées sont invitées à faire preuve de prudence lorsqu’elles répondent à des numéros de téléphone inconnus. La Police provinciale de l’Ontario (OPP) avertit les aînés de se méfier des escro- queries de type « grands-parents « qui sont de nouveau en hausse. Selon le Centre antifraude du Canada (CAFC), ces escroque- ries fondées sur la confiance ont représenté les pertes les plus importantes signalées chez les aînés en 2020. Elles s’attaquent aux émotions et aux peurs des personnes âgées, en leur faisant croire qu’un proche est en danger. Dans ce type d’escroquerie, les criminels

La Seigneurie, Centre de généalogie et d'histoire de Hawkesbury DENIAU - DESROCHERS Né F ière d’une race

LE DR ROUMELIOTIS ÉCRIT UNE LETTRE AU PUBLIC SUR L’ÉTAT DU COVID

CHRISTOPHER SMITH christopher.smith@eap.on.ca

COVID-19 reste le meilleur moyen de vous protéger et de protéger les autres contre une maladie grave causée par le COVID-19», a déclaré Roumeliotis dans sa lettre. «Plus le nombre de personnes qui restent à jour est important, plus nous pouvons prévenir la transmission du COVID-19 dans nos communautés et protéger les personnes les plus vulnérables. » Il a également rappelé à tous que le vaccin de rappel bivalent contre le COVID-19 est maintenant disponible pour tous les Ontariens âgés de 18 ans et plus. Il protège contre la souche originale et la variante Omicron BA.1 de COVID, et des études pré- liminaires suggèrent qu’il pourrait également protéger contre les sous-variantes Omicron BA.4 et BA.5. Enfin, il a rappelé aux parents que la vaccination de leurs enfants peut contribuer à prévenir les maladies graves et le long COVID. Les deux premières doses sont dis- ponibles pour les enfants âgés de 6 mois à 4 ans, et les enfants âgés de 5 à 11 ans peuvent également recevoir leur troisième dose. « Je tiens à vous remercier tous d’avoir fait votre part pour assurer la sécurité de vos proches et de nos communautés tout au long de la pandémie. Il ne fait aucun doute que la période a été difficile. Cependant, la situation actuelle est bien différente de celle du début de 2020 », a-t-il déclaré. « Grâce aux vaccins et aux infections naturelles, nous disposons désormais d’une plus grande immunité communautaire. Nous avons éga- lement accès à des traitements antiviraux pour prévenir les maladies graves chez les personnes vulnérables qui contractent le COVID-19. Bien que la pandémie ne soit pas encore terminée, je suis heureux de dire qu’avec ces couches de protection et les mesures de précaution mentionnées ci-dessus, nous sommes bien équipés pour poursuivre notre chemin vers une vie plus normale. »

Les descendant des ancestres de Jean Deniau/Delong sont à l’honneur cette semaine. Armand Lapierre, membre de La Seigneurie, centre de généalogie et d'histoire de Hawkesbury , a participé à la préparation de cette chronique généalogique pour rendre hommage aux ancestres paternels de Marie Louise Lefebvre/Lafave, épouse de Denis Stanislas Laframboise. Le premier ancêtre en Nouvelle-France est Jean Deniau/Delong, né vers 1630 à Sainte-Croix, Nantes, Loire- Atlantique, France, fils de Pierre Deniau et Jeannette Gaudet, mariés avant 1630. Il épouse Hélène Dodin, fille d’Isaac, tonnelier, et Anne Jarnet, de Saint-Martin-de-Ré, Charente-Maritime, France, mariés le 2 septembre 1640 au Temple calviniste de la Villeneuve, LaRochelle, France. Une fille et cinq fils sont issus de ce mariage.

Le Dr Paul Roumeliotis a rappelé au pu- blic les nouvelles directives provinciales. Dans une lettre adressée au grand public, le Dr Paul Roumeliotis du Bureau de santé de l’est de l’Ontario (BSEO) a exhorté les gens à continuer de se prémunir contre le COVID-19 et d’autres maladies respiratoires. Il a également rappelé au public que le ministère de la Santé a récemment mis à jour ses directives. Toute personne présentant des symp- tômes du COVID-19 doit rester à la maison pendant sa maladie, quels que soient les résultats des tests. Les symptômes res- piratoires doivent s’améliorer pendant au moins 24 heures, et les symptômes gastro- intestinaux doivent s’améliorer pendant au moins 48 heures, avant de pouvoir sortir à nouveau. Les personnes doivent continuer à se masquer pendant 10 jours à partir du moment où elles ont été malades, et elles doivent également éviter les visites non essentielles à des personnes et à des environnements à haut risque pendant 10 jours. Les personnes dont le test de dépis- tage du COVID-19 est positif mais qui ne présentent aucun symptôme doivent porter un masque en public et éviter les lieux et les personnes à haut risque pendant 10 jours à compter du moment où leur test est positif. Elles ne sont toutefois pas tenues de s’isoler. Les personnes qui ont été en contact étroit avec des cas confirmés de COVID-19 n’ont plus besoin de s’isoler, quel que soit leur statut vaccinal. Elles doivent toute- fois se masquer et éviter les lieux et les personnes à haut risque pendant les 10 jours suivant la dernière exposition, et si des symptômes apparaissent, elles doivent immédiatement s’isoler. « Rester à jour avec vos vaccins contre le

GÉNÉRATIONS

10e Louise Lefebvre/Lafave - Denis Stanislas Laframboise, fils de Denis et Marguerite Dufresne, m. le 1887-02-14 à Lancaster, Ont, 9e Katie (Catherine Ann) Desrochers – John Baptiste Lefebvre, vf de Martcelline Deschamps, fils de Pierre et Émilie Cadieux, m. le 1915-06-17 à Vankleek Hill, Ont. 8e Xavier Durocher, journalier - Louise Fournier, f. d'Antoine et Louise Seyin (Séguin), m. le 1864-10-17 à L'Orignal, Ont. 7e Xavier Desrochers – Marie Reine Labadie, f. d’Eusèbe et Josephte Ranger. m. le 1835-10-19 à Saint- Michel, Vaudreuil, Qc 6e Antoine Derocher - Françoise Clausière/Lapensée, fille de François et M. Anne Desforges m. le 1807- 09-28 à Saint-Michel, Vaudreuil, Qc . 5e Marie Cunégonde Dagneaut – Pierre Raimond Derocher, fils de François Lafleur/Desrochers et Catherine Bibeau, m. le 1783-06-16 à Saint-Michel, Vaudreuil, Qc 4e Joseph Daigneau Deniau (~1726-1799) - Marie Thérèse Ranger/Laviolette¹ (1727-1764), f. de Pierre et Marie Geneviève Dubois/Brisebois, m. le 1750-11-09 à Sainte-Anne-de-Bellevue, N.-F. 3e Jean Baptiste Deniau (1697-1748) – Marie Primo (1702-1747), fille possible de François et Marguerite Deneau c.m. le 1724-11- 27, greffe Guillaume Barette 2e René Deniau (1665-1730) – Marie Madeleine Matou/Labrie (1665-1699), fille de Philippe (1535-1688) et Marguerite Doucinet (1641-1698), m. le 1692-10-27 à Boucherville, N.-F. 1re Jean Deniau/Delong – Hélène Dodin (~1646-1695) c.m. le 1663-11-25, greffe Bénigne Basset dit Deslauriers, m. le 1664-01-21 à Ville-Marie, Nouvelle-France La graphie des patronymes est celle des actes eux-mêmes Que se passe-t-il en Nouvelle-France alors que Jean et Françoise fondent leur famille ? « Ce n'est que sous le règne de Louis XIV que furent envoyées les Filles du Roy et que furent adoptées les politiques de croissance de la population par l'intendant Jean Talon. … C'est en 1664 que débarquent les premières «Filles du Roy ». Huit cents Filles du Roi venues de France et éduquées à Paris par la fine fleur de l'aristocratie française s'installent à demeure en Nouvelle-France jusqu'en 1673, soit un apport représentant près de 25 % de la population d'avant leur arrivée. Tant et si bien que 9 ans après les premières arrivées, la population double pour un total de « 6 700 âmes en 1672 » ; elle triple en 1682 moins de 18 ans après l'arrivée des premières Filles du Roy pour un total de 10 000 âmes.» ² ¹https://www.ancestry.ca/family-tree/person/tree/78791953/person/36404711543/facts ²https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle-France

Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1

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