WEB_ALLONS 2_23_rapport-annuel_Highlights

VÉCU par notre équipe ProRIBEIRINHO : Le « Centro Social » dans la petite ville de Portel est un lieu où les enfants, les jeunes et les adultes peuvent participer à des rencontre d’églises, des ateliers, différents cours de formation et des activités sportives. Mais pour cela, il faut suffisamment de personnel. Cette recherche est un grand défi. Andrelino N., un fonctionnaire de 63 ans, a souvent participé à des ac- tivités sportives. L’année dernière, il a décidé de faire sa part : il a com- mencé à encadrer un groupe de jeunes lors du match de football heb- domadaire. Il a participé aux moments spirituels et a été, comme il le dit lui-même, interpellé par l’amour de Dieu, ce qui a changé sa vie. Il est maintenant l’un des bénévoles enthousiastes qui rendent possibles les projets de ProRIBEIRINHO.

dans les domaines de l’agriculture et de l’offre de soins. Au cours de 17 voyages sur le fleuve organisés par l’équipe de ProRIBEI- RINHO, les petites églises du fleuve ont pu être visitées et encouragées. De plus, leurs responsables ont été conseil- lés et soutenus. Les cultes et les forma- tions faisaient partie du programme, tout comme la distribution de littéra- ture chrétienne pour les intéressés, ainsi que des conseils et du soutien pour les questions d’agriculture et les problèmes de santé. Durant les voyages, l’infirmier de l’équipe a effectué 516 consultations médicales et petits traitements. De plus, en collaboration avec une orga- nisation partenaire, trois engagements médicaux ont pu avoir lieu, au cours desquels un total de 1 140 personnes ont pu être prises en charge médicale- ment, psychologiquement ou pour des soins dentaires. Différents ateliers et séminaires sur divers sujets dans le do- maine de la santé et de la prévention, ainsi que de la promotion de petites en- treprises (p. ex. élevage piscicole) ont eu lieu. Des puits d’eau potable ont pu être forés. Conclusion : un engagement vraiment varié et un investissement qui en vaut la peine ! lohnt.

cer ce programme extrascolaire dans les locaux du centre social (de la commune politique). Au début, les familles étaient très réticentes et n’ont envoyé leurs en- fants suivre ce programme que spora- diquement. Mais très vite, on a consta- té des changements positifs aussi bien dans le domaine scolaire que dans le comportement personnel des enfants. Malheureusement, ProVIDA n’a plus pu utiliser ces locaux pour le deuxième semestre. L’équipe s’est rabattue sur le bâtiment de l’église locale et y a démar- ré deux nouveaux groupes en octobre. À la fin de l’année, après seulement deux mois et demi d’enseignement, tous les enfants sans exception ont démontré de grands progrès en lecture. Ainsi, les classes pour 2023 ont été complètes im- médiatement et de nombreux enfants ont dû être inscrits sur la liste d’attente. ProVIDA espère pouvoir démarrer bien- tôt de nouvelles classes et est en discus- sion avec plusieurs écoles qui sont in- téressées par ce programme. 20 ans après le démarrage du projet Pro- VIDA et cinq ans après sa transmission partielle, SAM global a remis à fin 2022 la responsabilité totale à l’équipe diri- geante de l’association brésilienne Pro- VIDA. Ils vont poursuivre le travail, no- tamment avec le programme précité « éduquer pour la vie ». Nous remercions chaleureusement toutes les donatrices et tous les dona- teurs pour leur soutien fidèle durant toutes ces années ! Les dons pour Pro- VIDA seront désormais attribués à d’autres activités au Brésil.

ProVIDA Étant donné que les écoles sont restées fermées durant des mois pendant la pan- démie, de nombreux élèves ont oublié ce qu’ils avaient appris en lecture et en calcul et ont fortement régressé dans leur développement scolaire. ProVIDA aimerait aller à l’encontre de cela et a commencé à transmettre des matières d’apprentissage et des compétences de vie à travers le programme extrascolaire « éduquer pour la vie ». À Jurunas, l’un des quartiers les plus pauvres de Belém, où ProVIDA a débuté il y a quelque temps un travail commu- nautaire, des enfants avides de savoir, âgés de sept à neuf ans, ont pu commen-

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