Express_2014_01_31

Nouveau dépotoir à neige sur la rue Tupper  gŏđŏ editionap.ca

ministère de l’Environnement de l’Ontario. L’option Amoco a été rejetée parce que

la municipalité souhaite vendre la proprié- té. De plus, cette option pourrait coûter

tréal avec l’aéroport de Mirabel et les au- toroutes de l’est Ontarien et offre aussi un accès aux régions touristiques des basses Laurentides et des Laurentides: un lien nord-est sud-ouest. Le gouvernement provincial assurait la viabilité de cette route par l’entremise d’un programme de financement aux munici- palités, «Programme d’amélioration des routes de raccordement». Ce programme a été éliminé en 2013 forçant ainsi les municipalités à inclure et prioriser les travaux routiers de cette voie de raccordement contre leurs routes mu- nicipales lorsqu’elles font leurs demandes de financement ou de subvention en infra- structure. Depuis la fin des travaux des autoroutes 50 et 30 au Québec, un deuxième lien com- mercial-industriel s’est créé entre la région de Gatineau et l’accès à Montréal via les au- toroutes 417, 40 et 30: un lien sud-est nord- ouest. Cette nouvelle route est tracée par la rue John, la rue Main Est entre les rues John et Tupper et la rue Tupper au complet pour accéder au chemin de comté 17. noted that local governments help support the aggregate industry through their road- work and other infrastructure programs. “Maybe there is no provincial policy now,” St-Amour said. “But it doesn’t stop us from asking. We still have to maintain the roads.” “Maybe we don’t get much,” said Barton. “But we should get something.” Counties council gave unanimous consent to a reso- lution administration presented calling on the provincial government to amend the aggregate resources regulations and make peat moss harvesters subject to the same permit fee setup as other aggregate ex- tractors. Since then, 12 municipalities have endorsed the argument, which will be pre- sented to the province at the annual Good Roads Association convention. Le canton de Champlain a été approché pour examiner l’option de créer un dépôt à neige en commun. Un nouveau dépôt de 26 acres au sud du village de Vankleek Hill pourrait éventuellement être converti en dépotoir àneige. «Sa distance de laVille de Hawkesbury serait trop élevée pour les coûts de transport», a cependant déclaré M. Carrier. «Par contre, le canton croit qu’il y aurait avantage si les deux municipalités pouvaient s’entendre sur un terrain com- mun à L’Orignal. Le long de la route 17 semble idéal. Un tel projet n’est pas cour- amment dans les plans d’immobilisation du canton. Les échéances ou le finance- ment sont indéterminés pour un projet de dépotoir à neige en commun avec le canton de Champlain.» 821 000$ sur une période de trois ans tan- dis que l’option Tupper coûterait 55 000$. Cette estimation représente une étude de 5000$ et 50 000$ en contingence pour des mesures correctives. Option Champlain

RICHARD MAHONEY richard.mahoney@eap.on.ca

HAWKESBURY | La Ville de Hawkesbury veut ouvrir un nouveau dépotoir à neige dans le parc industriel, sur la rue Tupper, au sud de la rue Tessier. Si tout va bien, le nouveau site, sis sur un terrain municipal de huit acres, sera prêt pour l’hiver de 2014-2015. La Ville aurait besoin d’un espace de qua- tre acres pour son dépotoir. «Le terrain de huit acres enclavé entre la rue Tupper et la frontière est de la municipalité, adjacent au drain municipal de l’est, est un site idéal pour cette activité et son coût serait ainsi minimisé», selon le directeur général, Jean- Yves Carrier. Entre-temps, la Ville maintient l’usage de la «côte abattoir» sur la rue Main Est, pour la neige propre seulement, ce qui aura pour effet de «réduire notre impact envi- ronnemental sur la rivière des Outaouais». De plus, la Ville utilisera temporairement un tronçon du boulevard Industriel pour la neige sale, ce qui permettra à la neige fon- due de s’écouler le long de la route 17 vers le ruisseau Mill. La neige propre vient des stationne- ments tandis que la neige sale, qui vient des rues, est contaminée. L’an denier, M. Carrier avait suggéré que la Ville établisse le dépotoir sur la rue Tup- per. Le conseil avait mandaté le DG pour étudier d’autres options dont celle de négocier une entente avec le canton de Champlain et installer le nouveau dépotoir sur les terrains contaminés de l’ancienne usine Amoco sur la rue Cameron. Le ministère de l’Environnement de l’Ontario a avisé la Ville qu’elle doit fermer ses dépotoirs existants, qui sont situés au bord de la rivière des Outaouais. Parce que la neige contient des matériaux comme de l’essence, de l’huile et du caoutchouc, les sites représentent des sources potentielles de pollution. Le site situé à la «côte abat- toir» sur la rue Principale est particulière- ment déficient parce que la pente favorise l’écoulement des eaux contaminées di- rectement dans la rivière. La municipalité se servira de la «côte ab- attoir» pour au moins un autre hiver, ten- ant compte du temps requis pour effectuer des études et obtenir l’approbation du

Photo Richard Mahoney

La Ville utilise un terrain sur le boulevard Industriel, à côté de l’ancienne usine Pitts- burgh Glassworks, comme dépotoir à neige.

Hawkesbury pourrait «offrir» des rues aux comtés unis de Prescott et Russell

responsabilité de routes à l’intérieur de la ville mais se doivent d’emprunter des routes municipales pour accéder aux leurs, qui traversent et mènent à Hawkesbury. «Considérant le délaissement par le gouvernement provincial du «Programme d’amélioration des routes de raccorde- ment» (Connecting Link) et vu la dette mu- nicipale et la capacité limitée d’emprunt de Hawkesbury, les CUPR devraient être un partenaire au réseau routier de la ville et as- sumer les responsabilités des deux routes essentielles aux commerces, à l’industrie et au tourisme de la région», a écrit M. Carrier dans une note de service au conseil. Il souligne que le ministère des Trans- ports de l’Ontario a crée une voie de rac- cordement à Hawkesbury, reliant le pont du Long-Sault aux autoroutes provinciales, pour favoriser les échanges commerciaux et touristiques entre le Québec et l’Ontario. Cette route se situe sur la rue John, la rue Main Est entre les rues John et McGill et la rue McGill au complet. Cette route favorise particulièrement un lien commercial et in- dustriel entre le secteur au nord de Mon- ter.” ARA controls and regulates aggregate operations on Crown and private lands. It requires any licensee or aggregate permit holder to pay an annual fee to municipali- ties as part of their operations expense. But the definition for “earth” in the legis- lation concerning aggregate resource ex- traction does not include topsoil and peat moss. So peat moss harvesters working a peat bog in Ontario are exempt from the Act and do not have to pay permit fees to municipalities where the bog is located. UCPR Public Works Director Marc Cler- mont noted that the counties receive half a cent per tonne of aggregate under permit from gravel and quarry pit operators work- ing in Prescott-Russell. Mayor François St-Amour of The Nation

RICHARD MAHONEY RICHARD.MAHONEY@EAP.ON.CA

HAWKESBURY | La Ville de Hawkesbury a possiblement trouvé une façon de réduire ses dépenses pour l’entretien des rues - transférer la responsabilité, pour des tronçons de cinq rues, aux Comtés unis de Prescott et Russell (CUPR). C’est la proposition que le directeur gé- néral Jean-Yves Carrier a présenté au con- seil municipal, qui a adopté l’idée lundi soir. Citant les problèmes financiers de la Ville, M. Carrier a affirmé que le Ville doit demander au gouvernement régional d’accepter la responsabilité pour deux voies de raccordement à Hawkesbury, les sections des rues liant des routes provincia- les et des chemins des comtés. Les artères en question sont la route Ouest tracée par la rue John, le boulevard du Chenail et la rue McGill et la route Est tracée par la rue John, la rue Main Est entre les rues John et Tupper et la rue Tupper au complet. Les comtés n’ont présentement aucune both Alfred-Plantagenet Township and The Nation Municipality should see more local benefits for their municipal roadworks pro- grams from all the heavy truck traffic that results from peat moss harvesting in the bog. The Alfred Bog spans the two neigh- bouring municipalities. “We should be getting something for our peat moss,” Barton said. “Natural resources leave our counties. We maintain the roads, but we get nothing out of it.” UCPR Planning Director Louis Prévost told the assembled mayors that the peat moss extraction issue has come up during past Official Plan review and strategic plan- ning sessions for the counties. “Right now there’s nothing in the legisla- tion,” he said. “It’s a land consumption mat-

Area mayors ponder potential profitable peat bog permits GREGG CHAMBERLAIN GREGG.CHAMBERLAIN@EAP.ON.CA

L’ORIGNAL | If gravel haulers have to pay for quarrying rock in Prescott-Russell, then peat moss harvesters should do the same while working in Alfred Bog. The United Counties of Prescott-Russell council (UCPR) will lobby Ontario Natural Resources for changes to the Aggregate Resources Act (ARA) to put peat moss ex- tractors on the same level playing field for permit fees as other aggregate resource operators. Champlain Township Mayor Gary Bar- ton raised the issue at a recent counties council’s committee of the whole session. Mayor Barton noted that the counties and

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