"$56"-*5 4r/&84 L’AFO DÉPOSE SES PROPOSITIONS BUDGÉTAIRES
gouvernement qu’il donne le feu vert au projet de transformation de l’Université de Sudbury. Selon lui, la communauté franco- ontarienne et l’institution franco-ontarienne ont fait leur travail; le temps est maintenant à l’action du côté du ministère des Collèges et Universités. j/PUSFDPNNVOBVUÊBÊUÊGPSUFNFOU ébranlée par l’abolition de près de la moi- tié des programmes de langue française à la Laurentian University. La communauté franco-ontarienne a fait son travail en pro- posant une solution visant à moderniser et à pérenniser la programmation universitaire de langue française. L’Université de Sudbury a fait son travail auprès de la Commission d’évaluation de la qualité du postsecondaire et du ministère des Collèges et Universités. Le prochain budget est le moment parfait pour le gouvernement de concrétiser ce travail », a renchéri M Hébert. Dans son mémoire, l’AFO propose éga- lement au gouvernement d’investir dans la promotion de sa modernisation linguistique ainsi que dans le continuum d’éducation de langue française et en immigration francophone afin de combler la pénurie de main-d’œuvre francophone et bilingue. Mois du patrimoine en Ontario français Le mois de février marque d’ailleurs le début du mois du patrimoine en Ontario fran- çais, visant à célébrer les accomplissements de la communauté dans la revendication de leurs droits linguistiques. « L’Assemblée de la francophonie de l’On- tario (AFO) souhaite souligner la nécessité de préserver notre héritage, qui constitue notre identité collective. Cette célébration nous conduit à découvrir davantage sur notre histoire ainsi que nos racines culturelles et linguistiques, qui ont été des piliers impor- tants de la création de notre Confédération canadienne. Aujourd’hui, ils font notre force et notre valeur franco-ontarienne. /PVTTPNNFTàFSTEFDFRVFOPVTBWPOT accompli ensemble depuis 400 ans en construisant une francophonie riche sur la CBTFEFOPTBÐFVMFTFUBÐFVMT/PUSFDPOUSJ - bution au sein de tous les secteurs de la province est conséquente et palpable. L’AFO encourage de continuer à cultiver l’esprit d’inclusivité et de reconnaissance pour toutes nos communautés francophones. » a déclaré M Hébert.
Le Président de L’Assemblée de la Francophonie de l’Ontario (AFO), Fabien Hébert, propose au gouvernement d’investir en santé, en éducation postsecondaire, dans la modernisation linguistique provinciale et dans la lutte à la pénurie de main-d’œuvre francophone et bilingue. —photo d’archive
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Le Président de L’Assemblée de la Francophonie de l’Ontario (AFO), Fabien Hébert, propose au gouverne- ment d’investir en santé, en éducation postsecondaire, dans la modernisation linguistique provinciale et dans la lutte à la pénurie de main-d’œuvre francophone et bilingue. Selon le président de l’AFO, la commu- nauté franco-ontarienne a fait de la santé une grande priorité. Il souhaite voir le gou- vernement investir dans une solidification de la structure des soins de santé en français afin que la province améliore la hausse de l’accès à des soins de santé et de soins de longue durée en français. « Depuis la création du système de santé ontarien, en 1965, la lentille fran- cophone n’a jamais été au bon endroit dans le milieu de la santé. Les ministères de la Santé et des Soins de longue durée ont démontré une ouverture à solidifier notre structure. Le prochain budget est une occasion de passer à l’action sur cet important sujet », a dit le président de l’AFO. M. Hébert recommande également au
La Seigneurie, Centre de généalogie et d'histoire de Hawkesbury
LEPAGE Né F d’une race
ière
Suzanne Gendron, membre de La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury , a préparé cette lignée généalogique d’une famille Lepage pour rendre hommage aux ancêtres de Sophie, épouse de Louis Gendron. Le premier ancêtre en Nouvelle-France est Jean Pagési, fils de Pierre et Marie Michel, mariés avant 1668, de Gémozac, Charente-Maritime, France. Il épouse Catherine de Gladu, fille de Jean Gladu de Cognac et Marie Langlois, fille du roi (landry 332, dumas 170), contrat de mariage le 28 octobre 1665, greffe Jacques de Latouche. Un fils et trois filles sont issus de cette union.
GÉNÉRATIONS
7e Sophie Lepage – Louis Gendron, f. de Basile, cult., et Claire Primeau, m. le 1872-11-04 à Saint- Joachim, Châteauguay, Qc 6e Paul Lepage, cult. - Sophie Gendron, f. de Basile, cult., et Claire Primeau, m. le 1846-10-19 à Saint-Joachim, Châteauguay, Qc 5e Louis Lepage, cult. – Angélique Gendron, f. de Pierre, cult. et Félicité Bro, m. le 1818-01-27 à Saint-Joachim, Châteauguay, Qc 4e Louis Lepage – Marie Labrêche, f. de Joseph et Marie Dejardin, m. le 1788-01-08 à Saint-Joachim, Châteauguay, Qc 3e Jean Saint-Amant¹– Mariane Hubert, f. de Pier et Mariane Charbonau, m. le 1744-12-28 à Saint- Joachim, Châteauguay, Qc 2e Jean Baptiste Lepage/Saint-Amant, meunier de l’Île Perrot² et M. Anne Ondoyer, f. de Martin et Marie Énard, m. le 1717-09-06 à Notre-Dame, Québec 1re Jean Pagésy, soldat, cie La Fouille, régiment de Carignan – Catherine de Gladue (~1667-1737), f. de Jean et Marie Langlois, m. le 1684-02-14 à Cap-de-la-Madeleine, Qc La graphie des patronymes est celle des actes eux-mêmes Que se passe-t-il en Nouvelle-France alors que Jean et Catherine fondent leur foyer ? « Ère nouvelle. — Au rappel de François-Marie Perrot, le gouvernement de Montréal fut confié à M. Louis Hector de Callières, (avril 1684). Cette nomination marque le commencement d’une ère nouvelle pour la Ville-Marie. De Callières, adonné au métier des armes, semble s’être plus préoccupé de politique générale de la colonie et d’entreprises militaires que de l’administration de son gouvernement particulier. Les circonstances se prêtaient d’ailleurs à ce déploiement d’activité en dehors de son propre domaine. MM. de La Barre, de Denonville, de Frontenac, inaugurant une politique agressive discutable, allaient bientôt diriger vers l’Ouest, en des expéditions hasardeuses, l’élite de la société naissante, entraînant à sa suite des centaines de colons, enlevés mal à propos aux établissements sédentaires.³» ¹Explication de Denis Beauregard dans Généalogie des Français d'Amérique du Nord, c2005-2013. : le Jean Saint-Amant de la 3e génération serait un Saint-Amant dit Lepage fils de Jean-Baptiste et Mariane Hubert de la 2e génération. Les Pagésy sont aussi des Lepage. ²Note de Tanguay ³https://histoire-du-quebec.ca/guerre-nouvelle-france-contre-anglo-iroquois/
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