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BESOIN DE FINANCEMENT POUR LA MAISON INTERLUDE
programme Femme sans toit, qui offrait de MIÊCFSHFNFOUFUEFMFODBESFNFOUÆEFT femmes avec des problèmes de toxicomanie ou des femmes atteintes de problèmes de santé mentale. Ces femmes ne pouvaient pas être hébergées avec les autres femmes du service d’hébergement de la MIH. Un endroit séparé au sous-sol de la maison d’hébergement leur était réservé. Les femmes qui étaient hébergées étaient des femmes qui n’avaient pas d’oppor- tunités d’hébergement dans aucun autre PSHBOJTNFEFMBSÊHJPOEF1SFTDPUU3VTTFMM Malheureusement, le programme n’a duré RVVOBO ÆDBVTFEFMBDPVSUFEVSÊFEFT subventions, et depuis la fin du programme en avril dernier, les femmes ne pouvaient plus recevoir de service d’hébergement. /ÊBONPJOT MB.BJTPO*OUFSMVEFBNJTFO place un service de clavardage pour répondre aux questions et une ligne de crise pour les GFNNFT&OUSFMFFSBWSJMFUMF NBST MB.*)BSÊQPOEVÆBQQFMT EFDSJTFEBOT1SFTDPUU3VTTFMM$FTFSWJDF jugé nécessaire par Mme. Lalonde sera conservé malgré le manque de financement, mais pour certaines employées, cela signifie plus de travail pour le même salaire. .NF-BMPOEFQFOTFRVVOøø additionnel par année pour l’organisme SÊQPOESBJUÆUPVTTFTQSPCMÍNFT NBJTQPVS l’instant, le volet sensibilisation et éducation de la MIH en écope. Les intervenantes ont EÊKÆVOIPSBJSFTBUVSÊFUOFQFVWFOUBMMFS faire des présentations pour éduquer la population sur la violence faite aux femmes et les services qui leur sont offerts. Mais si la tendance continue, tous les services de la MIH en écoperont. « Si nos financements n’augmentent pas, on ne sera plus capable d’offrir de services aux femmes qui vivent de la violence en ce moment, a affirmé Mme. Lalonde, et de l’autre côté, on n’aura plus personne pour travailler. »
From left to right: Marie-Pierre D’Anjou, Communications and Community Development Manager at Maison Interlude, and Muriel Lalonde, General Manager of Maison Interlude. (Antoine Messier, EAP)
pour ce que tu fais parce que les salaires ne sont pas comme dans une entreprise privée », a ajouté Mme. Lalonde. Maintenant, la MIH ne compétitionne même plus avec certains autres organismes qui ont pu offrir des augmentations sala- riales récemment. D’après Mme. Lalonde, 12 employées de terrain, travaillant directement avec les femmes, ont quitté la Maison Interlude dans la dernière année seulement. Le recrute- ment est d’ailleurs devenu de plus en plus EJGàDJMF.*)BVOQPTUFBGàDIÊÆ$PSOXBMM EFQVJTOPWFNCSF RVJOBQBTÊUÊDPNCMÊÆ cause d’un manque de candidats qualifiés. Les intervenantes de la MIH sont d’ailleurs EFTFNQMPZÊFTÆSJTRVF RVJEPJWFOUQBSGPJT croiser les agresseurs de leurs clientes. Subventions temporaires La Maison Interlude offre des services d’hébergement d’urgence pour les femmes victimes de violence qui doivent sortir de MFVSEFNFVSF TBOTFOESPJUPÜBMMFS BJOTJ que des services externes d’intervention mobilisée dans la communauté pour les femmes qui n’ont pas besoin des services d’hébergement. Bien que la MIH n’a pas vu de hausse dans son financement du gouvernement pro- WJODJBM MFTEFNBOEFTEFTFSWJDFTTPOUÆMB hausse dans les dernières années. D’après Mme. Lalonde, la MIH devra peut-être mettre des femmes sur des listes d’attente pour les services externes de la MIH, puisque l’organisme s’approche gravement de la sursaturation. Avant la pandémie de Covid-19, Marie- 1JFSSF%"OKPV SFTQPOTBCMFEFTDPNNVOJDB - tions et du développement communautaire de la MIH, estime que l’organisme offrait des TFSWJDFTFYUFSOFTÆFOWJSPOGFNNFTQBS année. Ce chiffre a augmenté de plus de &OUSFMFFSBWSJMFUMFNBST MFOPNCSFEFGFNNFTBZBOUSFÉVEFT TFSWJDFTEFMB.*)ÊUBJUEF 1PVSUBOU MB.*)OFQFVUQBTFOHBHFS de nouvelles employées pour combler les besoins frappant de l’organisme, parce que
MF.4&44$OBVHNFOUFQBTTPOàOBODF - ment, et les autres opportunités de finan- cement offertes sont temporaires. « C’est très rare qu’on peut attitrer des salaires aux subventions. Si oui, c’est pour une période limitée dans le temps, a expliqué .BSJF1JFSSF%"OKPVø"QSÍTÉB DFTGPOETMÆ disparaissent. » Des programmes de courte durée Avec les subventions qui ne durent que quelques années, les programmes lan- cés par la Maison Interludes ont dû être rapidement fermés. C’est l’exemple du
ANTOINE MESSIER antoine.messier@eap.on.ca
La Maison Interlude House (MIH) n’a pas vu de changement à son financement de la part du ministère des Services à l’enfance et des Services sociaux et communautaires (MSESSC) depuis 2014, entrainant des problèmes qui pourraient avoir de graves répercussions pour l’organisme à but non-lucratif à long terme. La Maison Interlude reçoit environ 1,8$ NJMMJPOT FO àOBODFNFOU EV .4&44$ Æ chaque année pour couvrir les frais opé- rationnels incluant les salaires des 25 employés de l’organisme, l’entretien de la maison d’hébergement, la nourriture pour les femmes hébergées, ainsi que tous les autres frais associés aux services externes PGGFSUTÆQMVTEFGFNNFTDIBRVFBOOÊF Ce 1,8 million de dollar n’a vu aucun chan- HFNFOUEFQVJTNBMHSÊMJOEJDFEFT QSJYÆMBDPOTPNNBUJPO *1$ ÆMBIBVTTF incluant le prix des aliments, du logement, des dépenses courantes, des vêtements, des transports, des soins de santé, des pro- duits de soins personnels, des loisirs, des formations, des boissons alcoolisées, des produits du tabac et du cannabis récréatif, QBSUJDVMJÍSFNFOUQFOEBOUMBQBOEÊNJF&O M*1$BBUUFJOUTPOTPNNFUEFQVJT 1982 avec une hausse annuelle de 6,8%. Augmentations salariales jø-FTFNQMPZÊTWFVMFOUSFTUFSÆMB.BJTPO Interlude. Mais quand il s’agit de mettre du QBJOTVSMBUBCMFQPVSUBGBNJMMF DFTUMÆPÜ le bât blesse », a affirmé Muriel Lalonde, directrice générale de MIH. La Maison Interlude veut s’assurer, et revendique même, que les femmes aient des conditions de travail et des salaires équitables mais ne peut payer ses employés DPNQÊUJUJWFNFOUÆMJOUFSOF ÆDBVTFEV manque de financement. jø1PVSUSBWBJMMFSEBOTVOPSHBOJTNFÆCVU non-lucratif, faut que tu aies une passion
UCDSB OPENS KINDERGARTEN REGISTRATION houses in the spring.
EAP NEWSROOM nouvelles@eap.on.ca
*GZPVBMSFBEZLOPXXIJDITDIPPMZPVXBOU to register at, then don’t hesitate; registe- ring earlier gives school staff more time UPQSFQBSFGPSUIFJSOFXTUVEFOUTBSSJWBM 3FHJTUSBUJPOJTPQFOCPUIPOMJOFBOEJOQFS - son, and registrants can ask for assistance by phoning the school or the UCDSB hotline BU 3FHJTUFSJOHBDIJMESFRVJSFTQSPPGPGBHF BOEBEESFTT1SPPGPGBHFDBODPNFGSPN a birth certificate, passport, certificate of Canadian citizenship, statement of live birth, PSQFSNBOFOUSFTJEFOUDBSE1SPPGPGBEESFTT can come from a utility, cable, or internet bill, a lease/rental agreement, a mortgage agreement, a proof of purchase agreement, or another official document. The child’s address must be the same as the parent or guardian. Before a child can attend school, their immunization records must be submitted UPUIF&BTUFSO0OUBSJP)FBMUI6OJU &0)6 as part of the Immunization of School 1VQJMT"DU4UVEFOUTNVTUTVCNJUQSPPGPG immunization for measles, mumps, rubella, EJQIUIFSJB UFUBOVT QPMJP XIPPQJOHDPVHI chickenpox, and meningococcal disease. Any questions regarding immunizations TIPVMECFEJSFDUFEUPUIF&0)6 BTUIF school itself does not collect these records.
The UCDSB is accepting registration for kindergarten programs in all schools, some of which offer childcare services. "T UIF MBTU CFMMT PG GBEF BOE TUVEFOUTSFUVSOUPDMBTTJOBOFXZFBS UIF 6QQFS$BOBEB%JTUSJDU4DIPPM#PBSE 6$%4# JTBMSFBEZMPPLJOHBIFBEUPUIF TDIPPMZFBS"OUJDJQBUJOHUISPOHTPGOFX students joining a local UCDSB school, the CPBSEIBTSFMFBTFEBIPXUPGPSSFHJTUFSJOH your child for Kindergarten. All schools in Ontario offer full-day Kindergarten, and children are eligible to start in the year they turn four years old. Kindergarten programs teach fundamental skills such as math and literacy, and they also help children develop independence, problem-solving, and critical-thinking skills. 1MBZCBTFEDVSSJDVMVNIFMQTLJETSFàOFUIFJS TPDJBMBOEFNPUJPOBMBCJMJUJFT BTXFMMBTMBZ UIFHSPVOEXPSLGPSBDBEFNJDHSPXUI Choosing a school for kindergarten depends on location and transportation needs, but if there are multiple schools in BOBSFB QBSFOUTBOELJETDBOBMXBZTWJTJUUP look around and see if it fits their needs. All UCDSB schools host information sessions JO+BOVBSZBOE'FCSVBSZ GPMMPXFECZPQFO
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