Argenteuil_2014_10_29

Le feu détruit un garage ACTUALITÉ

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était juste à quelques mètres du garage. «À notre arrivée, il y a eu plusieurs explosions à l’intérieur du garage. Il y avait du propane, de l’acétylène, a rapporté Marc Desforges, directeur du service Sécurité Incendie de Brownsburg-Chatham. La première chose qu’on a faite a été de protéger la maison à côté car ses vitres chauffaient déjà et se brisaient». M. Desforges a estimé que le feu était si gigantesque qu’on ne pouvait pas l’éteindre. «C’était une énorme colonne de fumée qui se voyait depuis Brownsburg», a- t-il témoigné. Les pompiers sur place ont dû demander l’aide de leurs collègues de Lachute parce qu’il y avait beaucoup d’eau à transporter. Évoquant l’ampleur des dégâts, M. Des-

FREDERIC HOUNTONDJI frederic.hountondji@eap.on.ca

BROWNSBURG-CHATHAM I Un garage a été la proie des flammes, le 23 octobre dernier vers midi, au 450, chemin Sinclair à Brownsburg-Chatham. Son propriétaire, brûlé à la main, était en train de travailler sur un véhicule tout-terrain (VTT) lorsque la ligne à gaz a été coupée et a pris feu. En plus du garage, une roulotte et un caba- non ont été complètement détruits. Lorsque la quinzaine de pompiers sont ar- rivés sur les lieux, le feu était tellement avan- cé qu’ils n’ont pu que sauver la maison qui

Photo Frédéric Hountondji

Le garage a été complètement détruit par le feu. forges a préféré parler d’un entrepôt d’envi- ron 20 mètres sur 10 mètres de large où il y avait beaucoup d’équipements. «C’est plus qu’un garage», a-t-il avancé. Guy Campbell,

propriétaire des lieux, est une personne à mobilité réduite. En effet, il était en train de réparer le véhicule, dans un fauteuil roulant, lorsque l’incendie s’est déclaré.

Le CSSS pourrait disparaître le 1er avril « Légalement parlant, le CSSS d’Argen- teuil n’existera plus à compter du 1er avril prochain et il n’y aura plus de conseil d’ad- ministration local ici ( Lachute), si le projet de loi 10 est adopté tel quel », c’est ce qu’a signifié Yves St-Onge, directeur général du Centre de santé et de services sociaux d’Ar- genteuil, au cours de l’Assemblée générale du conseil d’administration de l’établisse- ment hospitalier, tenue le lundi 27 octobre.

néral, si le CSSS disparaissait. Il a mention- né que ses cadres, par contre, seront tous en poste le 1er avril. Certaines sources font état de ce qu’on pourrait lui demander de faire une gestion opérationnelle du centre sans avoir le titre de directeur général, afin que les changements s’opèrent de façon progressive. (FH)

Il a toutefois tenu à préciser que les installa- tions vont rester et que la population aura droit à tous ses services sans exception. M. St-Onge a également laissé entendre qu’il ne serait plus probablement directeur gé-

Mylène Freeman a vécu l’attentat terroriste survenu à Ottawa

donc on s’est tous précipité hors de la salle.» Ils ont ensuite été enfermés dans une pièce d’où ils ont été ensuite délogés pour être répartis en trois groupes, dans trois édifices différents. «Moi j’étais dans une salle avec une quinzaine de députés, a-t-elle raconté. J’ai quitté vers 17h, tandis que d’autres sont partis vers 22h.» Au lendemain de la fusillade ayant fait deux morts, le suspect et un soldat, Mme Freeman a laissé entendre qu’elle a repris « Pour un poids plus santé » GILLES GALARNEAU de Brownsburg-Chatham Discutez s’en avec moi Appelez-moi : 514-497-2733 Avant Après

les travaux au parlement, non pas avec la peur au ventre mais avec la tristesse au cœur. «Je suis triste de savoir qu’un soldat a été tué juste tout près de là où j’étais. On

est déterminé à continuer notre travail et on remercie les agents de sécurité qui nous ont permis d’avoir la vie sauve lors de cette attaque.»

LACHUTE I Mylène Freeman, députée néo-démocrate d’Argenteuil-Papineau- Mirabel, a été témoin de l’attaque ter- roriste survenue le 22 octobre dernier au parlement fédéral à Ottawa. Ayant vécu de bout en bout ces malheureux événe- ments, elle a confié qu’elle ne pensait ja- mais vivre une telle situation qu’elle ne souhaite à personne. «On ne savait pas ce qui se passait, on entendait des coups de feu, c’est indescriptible», a-t-elle avoué. Au moment du drame, Mme Freeman était en réunion de caucus avec une cen- taine de ses collègues du Nouveau Parti démocratique, dans la salle où ils se ren- contrent habituellement tous les mercre- dis, de 9h à 11h30. «On a entendu d’abord un bruit très fort et comme il y a beaucoup de constructions sur la Colline, on n’a pas tout de suite réalisé (ce qui se passait), a rapporté la députée. Après, on a entendu beaucoup de coups de feu dans le couloir, juste de l’autre côté de la porte où on était, FRÉDÉRIC HOUNTONDJI FREDERIC.HOUNTONDJI@EAP.ON.CA

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