Julie Besson, comment êtes-vous arrivée aux Rentes Genevoises ? En fait, je connaissais les Rentes Genevoises depuis longtemps ! Elles étaient l’un de mes premiers clients lorsque j’avais ma société. C’est une entreprise que j’aime beaucoup. J’ai toujours trouvé qu’elle avait quelque chose d’extrêmement dynamique et chaleu- reux. J’aime bien aussi le côté mutualiste, la structure à taille humaine. Une « structure à taille humaine », cela se mesure à combien d ’ employés concernant les Rentes ? Une cinquantaine de personnes au maximum. C’est une structure qui permet entre autres de connaître chaque personne par son pré- nom. Un milieu quasi familial. D’un point de vue plus général, les petites structures sont plus agiles, on peut davantage y faire bouger les choses.
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Son activité dans les assurances, Julie Besson l’a initiée auprès de la coopérative Epona, une société séculaire, spécialisée dans l’assurance pour animaux. Après avoir accompagné l’en- treprise dans une phase de restructuration puis d’expansion, appuyée par le groupe Vaudoise, la société a été pérennisée. Une expérience qu’elle qualifie de passionnante. Julie Besson s’est ensuite engagée dans un nouveau challenge. Elle s’est intéressée aux Rentes Genevoises qui cherchaient une relève, dans la perspective du départ de leur CEO, Pierre Zumwald.
▲ Après une vie professionnelle à l’étranger, Julie Besson s’installe définitivement à Genève, la ville qui a toutes ses faveurs.
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avril 2025 - èremagazine
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