Le soldat confédéré Gilbert Patrie, membre de la compagnie de reconstitution historique des gris et bleus de Montréal.
Le Salon de l'arme et du militaria a attiré quelque mille visiteurs et exposants à l'Aréna Kevin Lowe-Pierre Pagé le 12 juin. Armes de chasse, fusils historiques, décorations militaires, munitions et livres, il y en avait pour tous les goûts. Certains étaient à la recherche d'armes prestigieuses pour compléter une collection tandis que d'autres voulaient tout simplement des conseils pour leur prochaine sortie dans les bois. « C'est une passion et j'ai environ 200 armes feu à la maison, a indiqué un exposant de Mont-Laurier. J'en achète souvent et je garde celles que j'aime et j'en revends. Elles ont toutes un petit quelque chose de différent et c'est ce qui les différencie et les rend uniques. » Des armes et de l'histoire au salon
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Si les armes à feu avaient la cote lors du salon, les armes blanches avaient aussi une belle vitrine. Un collectionneur de l'Outaouais, Louis Bédard, était sur place avec ses épées du Régime français, de véritables œuvres d'art du travail des métaux. « J'ai un intérêt historique pour la période de la Nouvelle-France et pour notre patrimoine militaire, a-t-il expliqué. Aussi, l’esthétique de ces armes-là, c'est du travail à la main. Certaines sont dorées à la feuille d'or et chacune a son histoire, dépendamment à qui elle a appartenu ou pour quel rang militaire elle a été fabriquée. »
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Le Carillon, Hawkesbury ON.
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Le vendredi 17 juin 2016
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