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LES ANIMAUX, UN BON SOMNIFÈRE
MANQUE DE SOMMEIL ET DÉMENCE
SCHLAFMANGEL UND DEMENZ
Allergies, hygiène, les raisons ne manquent pas pour bannir chats, chiens et autres animaux de compagnie des lits de nos enfants. Pourtant, d’après une récente étude canadienne menée sur les participants au Healthy Heart Project, âgés de 11 à 17 ans, on aurait tort : cette cohabitation nocturne semble plutôt avoir un effet bénéfique, lié à la présence réconfortante de l’animal. Un résultat qui dépend bien entendu de la qualité de la relation qu’entretiennent l’enfant et son compagnon à quatre pattes.
Une courte durée de sommeil en milieu de vie est associée à une augmentation de 30% du risque de démence. C’est le constat qu’a posé une équipe de chercheurs de l’Université de Paris CRESS en analysant les données de 7959 participants à l’étude Whitehall II. Etape suivante : comprendre comment les caractéristiques du sommeil ‒ sa durée, ses perturbations, les éventuelles apnées, entre autres ‒ sont liées à ce risque. Cela permettrait d’identifier les moments clés où intervenir pour réduire ou retarder la progression de la démence.
Wer immittlerenAlter nur kurz schläft, geht ein um30 % höheres Risiko ein, später an Demenz zu erkranken. Dies das Fazit von Forschern der Université de Paris nach der Auswertung der Daten von 7959 Teilnehmenden der Studie «Whitehall II». Nun soll herausgefunden werden, wie diverse Schlaf-Eigenschaften – u.a. Dauer, Störungen und Apnoe – mit dem Risiko zusammen- hängen. Dadurch hofftman die Schlüssel zur Demenz zu finden bzw. ihr Fortschreiten zu verlangsamen oder zu verzögern.
TIERE ALS EINSCHLAFHILFEN
Allergien, Hygiene: Es gibt nicht wenige Gründe, Katzen, Hunde und andere Haustiere aus den Betten unserer Kinder zu verbannen. Gemäss einer kürzlich unter den 11- bis 17-jährigen Teilnehmenden des «Healthy Heart Project» durchgeführten kanadischen Studie läge man damit jedoch falsch: Das nächtliche Miteinander scheint nämlich eher von Nutzen zu sein – ein Tier im Bett beruhigt eben schon auch. Allerdings nur, wenn sich die Kinder und ihre vierbeinigen Bettgenossen auch wirklich vertragen.
CAUCHEMARDER POUR MUSCLER SA RÉSISTANCE À LA PEUR Dans les pays les plus touchés par la Covid-19 et ceux ayant adopté de strictes mesures de quarantaine, les gens semblent avoir fait davantage de cauchemars. Une étude menée sur 114 médecins et 414 infirmières travaillant dans la ville chinoise de Wuhan révèle que plus d’un quart d’entre eux a déclaré faire des cauchemars fréquents. Or, après un mauvais rêve, la zone du cerveau qui nous prépare à la peur est plus efficace, comme si le cauchemar nous avait entraînés à cette situation.
JEÛNER POUR MIEUX DORMIR
Le jeûne intermittent, que l’on pratique sur huit, dix ou douze heures seulement, a le vent en poupe. En plus de mettre notre corps au repos et d’aider à stabiliser notre poids, il contribuerait aussi à renforcer notre rythme circadien, qui gère une foule de fonctions biologiques, dont le rythme veille-sommeil. Ceci est principalement dû au fait que les personnes pratiquant ce type de jeûne prennent leurs repas à heures fixes. Attention toutefois à ne pas se coucher le ventre vide, car c’est l’assurance de garder les yeux ouverts !
FASTEN FÜR BESSEREN SCHLAF
ALPTRÄUMEN GEGEN ANGSTGEFÜHLE
Das Intervallfasten während lediglich 8, 10 oder 12 Stunden ist derzeit «in Mode». Denn es verschafft dem Körper eine Pause und hilft, sein Gewicht zu stabilisieren; ausserdem stärkt es un- seren circadianen Rhythmus, die eine ganze Reihe biologischer Funktionen steuert, darunter auch den Schlaf-Wach-Rhythmus. Und das liegt hauptsächlich daran, dass die Leute, die so fasten, ihre Mahlzeiten zu fixen Zeiten einnehmen. Aber Achtung: Nicht mit leeremMagen ins Bett, denn dann macht man sicher kein Auge zu!
Wie es scheint, haben in den am stärksten von Covid-19 betrof- fenen Ländern und jenen, die strenge Quarantänemassnahmen umgesetzt haben, Menschen mehr Alpträume durchgemacht. So hat eine Umfrage bei 114 Ärzten und 414 Krankenschwes- tern in der chinesischen Stadt Wuhan ergeben, dass mehr als ein Viertel von ihnen regelmässig unter Alpträumen leidet. Interessant dabei: Nach einem schlechten Traum ist die Region im Gehirn, die uns auf Angst vorbereitet, aktiver – als hätte der Alptraum uns auf diese Situation hin trainiert.
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pages réalisées par Sylvie Ulmann
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