gŏđŏ
editionap.ca
Le directeur général de Casselman reste en selle
recteur général. Les conseillers sont mis au courant des dossiers en même temps que le public lors des réunions du conseil. C’est lors des conseils que les conseillers ont le pouvoir de prendre leur décision en public. Le conseiller Laplante veut connaître, avant les réunions, les sujets qui seront discutés. Ce n’est cependant pas son rôle.» M. Chénier, qui lors de son arrivée en 2012 a voulu mettre fin à une pratique qui voulait que les enjeux soient discutés à l’extérieur de l’hôtel de ville, explique que le nœud du problème est le rôle que les élus et les administrateurs doivent jouer au sein d’une municipalité. «Il faut une séparation claire et nette entre le pouvoir politique et l’administra- tion municipale. C’est au conseil municipal que les enjeux doivent être discutés. La loi ne permet pas à un directeur général de tenir informé un conseiller en particulier. Il doit le faire au conseil», a-t-il expliqué.
des dossiers traités. «La plupart du temps, les réunions sont filtrées. On ne nous tient pas au courant des dossiers avant les réu- nions, se plaint M. Laplante. Je ne reproche rien quant à la qualité de travail de M. Ché- nier et mon but ici était de faire changer les choses. Mais, suite au résultat, c’est le statu quo. Ça ne remet cependant pas mon ave- nir au conseil en question.» Mario Laplante a donc réitéré sa de- mande, celle d’être au courant de toutes les réunions, formelles comme informelles, être tenu au courant des événements, des nouvelles, des changements radicaux de la municipalité de Casselman. Le maire Levac a précisé qu’il respectait le rôle de chacun, dont celui de M. Ché- nier. «Mais pour ce qui est des réunions, je n’inviterai personne et ne ferai aucun rap- port s’il n’y a pas lieu de le faire, a expliqué M. Levac. Le rôle des conseillers n’est pas de faire le travail ni du directeur général ni du maire qui est le président, mais de prendre connaissance, en même temps que
ANNIE LAFORTUNE annie.lafortune@eap.on.ca
CASSELMAN l Une proposition du conseil- ler Mario Laplante de renvoyer le direc- teur général de Casselman, Marc Chénier, a été défaite vendredi dernier, lors d’une réunion extraordinaire. À trois contre deux, le directeur général restera dans ses fonctions. Voilà ce qui est ressorti de ce vote. Francyn Leblanc, Michel Desjardins et le maire, Claude Levac, ont tous trois voté contre la proposition de Ma- rio Laplante qui a obtenu l’appui d’un autre conseiller, Marcel Cléroux. Dans la salle, une dizaine d’employés de la ville étaient présents afin d’entendre le verdict et d’apporter leur appui à M. Ché- nier qui semble avoir une bonne réputation auprès de ces derniers. Le conseiller Laplante reproche au direc- teur général de ne pas le tenir au courant
le public dans la salle lors des réunions, des dossiers que le maire et le directeur général ont débattus avant la rencontre. Et c’est à ce moment que les conseillers donnent leur accord ou leur désaccord. Le maire d’une municipalité a un rôle privilégié avec son di- Marc Chénier, directeur général à la mu- nicipalité de Casselman.
* ŏ/3,ŏ0. !/ŏ,.'ŏ(* /ŏ%*ŏ).1*
was a costly deal, and just burying the hy- dro is an extra $300,000, but it will upgrade the area.” He also plans to develop 100 acres on the other side of Ste-Marie with another 700 units. “It is a good deal for the township,” said Township spokesperson Melany Chretien. “The developer is assuming all the costs of the transfer, of the infrastructure (the new development will be fully serviced with water and sewer), of the road and sidewalks. In addition Melanie Construction always plants a tree on each lot developed, which is not required.” In some nearby municipal- ities, including Ottawa, one tree per lot is mandatory. The agreement also includes a brand-new sign for the park. “It would have been a courtesy to tell us,” says Gilles Gratton, outgoing president of Club Richelieu. “We don’t own the park, but people think we do and we have an inter- est in it. I’ve been getting many calls ask- ing what’s going on and I had to say I didn’t know.” The township’s Environmental Advisory Committee was also unaware. Said Grat- ton, “What is ironic is while those trees were being taken out by a Quebec company, we were helping plant trees for Trees for To-
CANDICE VETTER CANDICE.VETTER@EAP.ON.CA
EMBRUN l Many residents of Russell Town- ship contacted our newspaper recently, upset after seeing approximately 4.4 acres of trees in Parc Richelieu on chemin Ste-Marie in Embrun be clear cut for a Mel- anie Construction housing development. Melanie Construction owner, Renald Patenaude, said the park land has been swapped to him by the Township of Rus- sell, which owned the park, in exchange for another 4.4-acre parcel just east of Parc Richelieu, which could then be used for additional ball diamonds and sport fields. Patenaude said the deal was over three years in the making, and first started by the previous Township Council. The final agreement was signed last year after passing first, second and third reading all at the same council meeting on May 22, 2012. The development, which includes a for- mer field just south of the park, will have 700 units including condominiums, doubles and single-family homes, a new road, side- walks and underground hydroelectric wires. “I didn’t need that street,” says Patenaude, “it
Photo Candice Vetter
The area where the trees were recently cut was part of Parc Richelieu Park until spring of 2012, when a land swap was made with the Township of Russell and this land add- ed to the Melanie Construction development on chemin Ste-Marie.
morrow.”The original trees in the park were also planted with the help of schoolchildren
in the late 1970s.
THERE ARE MANY TO CHOOSE FROM
Dr Brigitte M. Filion Optometrist For an eye examination, Please contact
Come in and you will see...
www.lelunettier.ca
685 NOTREDAME, UNIT 2, EMBRUN • 613 4431113
685 NOTREDAME, UNIT 2, EMBRUN • 613 4433335
Made with FlippingBook - Online magazine maker