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- le Moi : La structure psychique décrite par Freud qui comprend le fantasme inconscient du self (soi) sur/autour du Moi (ce qui correspond au cœur du diagramme des Grinberg et inclut le concept de représentation de soi de Jacobson). - Le non Moi : Cela correspond au self (soi) et comprend l'orbital (les objets internes plus le Surmoi) et les représentations objectales selon la description de Jacobson. Le non-Moi est dans le self, et lorsqu'il s'étend au-delà des frontières du self , il devient le non self . - Le self : Il englobe le Moi et le non Moi de la personne dans sa totalité : le corps, la structure psychique et la liaison avec les objets internes et externes, où l'individu est à l'opposé du monde des objets. - Le non self : Le monde et les objets externes. - Le fantasme inconscient du self dans le Moi : Jacobson n'inclut pas les fantasmes inconscients, ce qui donc relie la psychologie du Moi à la théorie de la relation d'objet. Cette dernière confirme la difficulté en ce qui concerne l'arrivée du self en Amérique latine, puisque l'usage du self, ainsi que l'explique Montero (2005), reste une structure fondée sur l'expérience subjective.
Ce diagramme chez les Grinberg illustre avec une clarté précise les frontières entre le Moi (el Yo) et le self . Dans leur ouvrage « The Problem of Identity and the Psychoanalytical Process » (« Le problème de l'identité et le processus psychanalytique »), les Grinberg (1974) s'appuient sur la théorie d'Erikson en ce qui concerne la formation de l'identité à partir de fragments antérieurs d'identifications diverses, mais aussi sur la théorie de la régression propice à l'activité créative de Kris (1952), ainsi que sur les études de Mahler (1958) au sujet des troubles de l'identité dans les cas d'autisme et de symbiose, entre autres, pour développer leur formulation sur le sens de l'identité en ce qu'elle serait « le résultat d'un processus d'interaction continue entre trois liens
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