Carillon_2016_07_22

Pokémon GO fait sensation dans la région ELISE MERLIN elise.merlin@eap.on.ca

et dans la région pour attraper le plus de Pokémon. Au Chenail, il y en a le plus à attraper. Je fais partie du plus haut niveau dans le jeu, j’adore ce jeu! » Les joueurs de Hawkesbury sillonnent la ville n’importe quand et n’importe où. En effet, les Pokémon apparaissent demanière aléatoire aussi bien le jour comme la nuit. Le phénomène permet aussi à certains de faire des rencontres. « Je suis joueuse depuis quelques jours, a avoué Joline, résidente de Hawkesbury. Je suis accro au Pokémon GO. Cela permet également de faire des rencontres, car il y a toujours des gens qui se regroupent, par exemple au Chenail. Moi, je fais partie de l’équipe des bleus et les joueurs se reconnaissent entre eux. Du coup, tout le monde se met à se parler et à se demander à quelle équipe on appartient. » Un autre joueur de passage à Hawkesbury, Nicolas Davis, explique que le jeu lui a redonné le goût du sport « Moi, depuis que je joue au Pokémon GO, je n’ai jamais autant marché. Étant donné qu’il faut essayer de trouver des Pokémon par- tout dans la ville, il faut marcher partout, et le plus possible dans la journée. Cela me fait faire une activité physique, cela fait bien longtemps que je n’avais pas autant marché. J’aime ce jeu, j’ai rencontré plein de monde grâce à ça. » Le phénomène, il faut le dire, rend accros les joueurs. C’est pourquoi la Police provin- ciale de l’Ontario (PPO) a lancé un appel à la prudence en employant un ton humoris- tique sur son compte officiel Twitter. « S’il vous plait, assurez-vous de respecter les lois et la vie privée des communautés que vous explorez quand vous jouez au Pokémon GO, a indiqué la PPO. Soyez attentif à votre environnement, assurez-vous toujours d’avoir le champ libre avant de traverser une rue et identifiez les facteurs de risque lorsque vous vous déplacez dans un nouvel environnement. » Pokémon GO est un événement inédit dans l’histoire du jeu vidéo sur les télé- phones intelligents. En une semaine, il a pris la tête des classements des applications les plus téléchargées et les plus rentables, quel que soit le lieu.

Alors qu’il est sorti officiellement le dimanche 17 juillet dernier au Canada, le nouveau jeu vidéo Pokémon fait déjà sen- sation dans le monde entier comme aux États-Unis, au Japon ou encore en Australie et la Nouvelle-Zélande. Immersion dans une « chasse » à Hawkesbury. Pokémon GO peàt être largement qualifié de « phénomène dumoment » vu l’envergure de son impact. Le concept? Disponible sur iOS ou Android avec le système GPS, l’ap- plication associe le monde réel à l’univers Pokémon peuplé par de petits monstres tel que Pikachu. Les joueurs doivent localiser de petites créatures virtuelles bien cachées, des minidracos, des magicarpes ou encore des rhinocéros, dans la vraie vie, grâce à leur téléphone intelligent. Il s’agit d’un jeu de piste à ciel ouvert, les créatures à retrouver se nichent partout dans les lieux publics, ou des espaces un peu incongru comme un commissariat de police, une bibliothèque ou encore une église. Dans Pokémon GO, l’accent est mis sur le travail d’équipe. Une fois arrivé au niveau 5, chaque joueur se voit choisir une équipe appelée « faction » afin d’accéder à plusieurs autres privilèges du jeu. Chaque équipe, jaune, bleue ou rouge, a sa propre particularité et ses propres caractéristiques. Par exemple, la faction jaune se concentre sur l’éclosion des œufs de Pokémon, la faction bleue met l’accent sur l’évolution des Pokémon, et les rouges développeront les capacités et la force des Pokémon. À partir de ce moment, les équipes doivent se confronter, pour atteindre davantage de niveaux du jeu. Dans la région, le phénomène est bel et bien arrivé. Des centaines de personnes se sont mises au jeu et se retrouvent à diffé- rentes places telles que l’église et le bureau de poste sur la rue Main et au Chenail à Hawkesbury. La place pour attraper le plus de ces petites bestioles serait le Chenail, d’après certains joueurs. « Il faut vraiment se déplacer, a expliqué le joueur Danick Laflamme, en auto, en bicycle, à pied. Moi, je me déplace partout dans Hawkesbury

ìÝåîáï ìëñî '' x *

ÅĊáïðìÝïßëéìèåíñŸ

©ÐáóÎëëçªìëñî l’été

ØÝñàîáñåè›Æëîåëê 3210, boul. de la Gare "#" "›$$'

**

—photo PPO

ÒîáïßîåìðåëêïàáèĊáôðŸîåáñîÝßßáìðŸáï

šƊìÝîðåîàá ''xƊèĊÝßäÝðàĊñêáìÝåîáàáèñêáððáïßëéìèƒðáïåêßèñÝêðéëêðñîááðòáîîáïëìäðÝèéåíñáïÝòáßðîÝåðáéáêð îŸïåïðÝêðÝñôîÝõñîáïàáèÝïŸèáßðåëêàñ ìëñîëÞðáêáöñêáàáñôåƒéáìÝåîáàáèñêáððáïàáèÝéƱéáïŸèáßðåëêØëñï ìÝõáöèÝìèñïßäƒîáàáïàáñôššÕÝêïâîÝåïêååêðŸîƱðïÕñæáðƑèĊÝììîëÞÝðåëêàñÕáîòåßáàáßîŸàåðàáïÕáîòåßáïàáßÝîðáï ÆáïæÝîàåêïØÝèåàáìëñîñêðáéìïèåéåðŸÐáìáñðïĊÝæëñðáîƑðëñðÝñðîáîÝÞÝåïëñìîëéëðåëêÏëêðñîáƑðåðîáåêàåßÝðåâ ïáñèáéáêðÆŸðÝåèïáêéÝãÝïåêÏåßäáèÎÝñîáêàáÝñëìðåßåáê

àáîÝÞÝåï * Valide jusqu’au 30 août 2016 à la succursale de Vaudreuil-Dorion. * Nonmonnayable. Non échangeable. Fac-similés non acceptés. Ne peut s’ajouter à tout autre rabais. Un seul coupon par personne par achat. Michel Laurendeau, opticien.  $ Òîëéë ØÃ×ÆÔÇ×ËÎÆÑÔËÑÐ ÄÃÕËÎËÕÍ%& ÏØÇÒÅÑ×ÒÑÐ ÑÄÖÇÐÇÜxÆÇÔÃÄÃËÕ ƑèĊÝßäÝðàĊñêáìÝåîáàáèñêáððáï ßëéìèƒðážòáîîáïáðéëêðñî០àñêáòÝèáñîàá xáðìèñï

ÉîÝêàáàåïìëêåÞåèåðŸ àĊáôÝéáêïàáèÝòñá

D RE LYNNE LANDRY, D RE MILA LEBŒUF, ET D RE LINE SABOURIN, OPTOMÉTRISTES "#" "›'!$%

Òîáêáöîáêàáö›òëñï àƒïÝñæëñîàĊäñå

Le Carillon, Hawkesbury ON.

3

Le vendredi 22 juillet 2016

Made with FlippingBook HTML5