Financial Times Classement des Masters in Management (MiM) MiM classés, accrédités AACSB ou EQUIS et destinés à des étudiants avec peu ou pas d’expérience professionnelle
Financial Times Classement des European Business Schools Meilleures écoles européennes dans les cinq principaux classements annuels du FT : MiM, MBA, EMBA + les deux classements des formations continues pour cadres non diplômantes
Major Prépa Classement SIGEM
Écoles de commerce françaises post-prépa intégrées à la procédure SIGEM
17 juillet 2025
23 écoles
100 écoles, 137 programmes
7 septembre 2025
1 er décembre 2025
100 écoles
Outre le classement SIGEM et son analyse, Major Prépa publie le tableau SIGEM complet ainsi que celui des désistements croisés et une série d’articles consacrés aux duels emblématiques.
La rubrique « Work & Careers » du Financial Times regorge d’articles d’analyse poussés permettant aux lecteurs de saisir les grands enjeux associés à la formation des étudiants aux sciences du management : reportages, interviews, témoignages…
Le quotidien produit de nombreux articles accompagnant chaque sortie de classement au sein de sa rubrique « Work & Careers ». Y sont ananlysées les trends mondiales en matière de formation au management. Performance globale dans les différents classements (MBA, EMBA, MiM, Executive Education) Salaire moyen des diplômés après 3 ans Progression de carrière / évolution professionnelle Internationalisation (mobilité internationale, diversité des étudiants et professeurs) Diversité et inclusion (genre, nationalités, gouvernance) 2. HEC Paris 4. ESCP 7. ESSEC 9. EDHEC 10. emlyon
Résultats aux concours Choix des étudiants admis Attractivité des écoles Duels SIGEM : analyse des choix des bi-admis
1. HEC Paris 2. ESSEC 3. ESCP
Salaire trois ans après la diplomation Augmentation de salaire Taux d’emploi et insertion professionnelle Diversité des étudiants et du corps professoral Retour sur investissement Qualité et étendue de l’expérience académique
2. HEC Paris 3. INSEAD 7. ESCP 10. ESSEC 12. emlyon
4. EDHEC 5. emlyon
Le classement le plus attendu des préparationnaires, et peut-être aussi celui des écoles, qui attachent une importance particulière au recrutement de ces profils au sein de leurs PGE. Il façonne depuis plus de 20 ans la manière dont les Grandes Écoles post-prépa sont perçues par les candidats.
Ce palmarès, par la solidité de sa méthodologie, l’expertise de ces équipes et la notoriété du média qui le porte, est devenu le baromètre incontesté pour identifier les formations aux sciences du management de qualité et observer l’évolution des modèles éducatifs d’un pays à l’autre.
Clairement un classement de référence pour mesurer la performance globale des business schools européennes et leur rayonnement international.
ont des impacts bien réels, sur l’image des établissements, comme sur les décisions des candidats (lire les résultats de notre sondage à ce sujet, à partir de la page 62). On en a pleinement pris la mesure en 2005, lorsque le Finan- cial Times , jusqu'alors centré sur l' executive education , a publié son premier classement des Masters in Management . Pour la première fois, des écoles françaises se retrouvaient mises en concurrence avec des institutions du monde entier selon des critères clairs et toujours en vigueur aujourd’hui : insertion professionnelle, recherche, internationalisation, qualité du réseau, partenariats entreprises, sélectivité du recrutement… Le monde (décideurs, professeurs, universités, étudiants français et internationaux, parents) découvre alors l'excellence des french business schools . La France pousse un cocorico qui a certainement contribué à asseoir "en interne" la notoriété des quelques classements nationaux existants et qui, vingt ans plus tard, demeurent des références d'un pay- sage où les rankings ont proliféré. Pourquoi produire un classement ? Que cherchent réellement les producteurs de palmarès ? D’abord, à proposer une grille de lecture lisible dans un uni- vers devenu extrêmement dense et complexe. Mais l’exer- cice est tout sauf simple. Concevoir un classement demande à la fois une expertise technique pointue, une connaissance intime du secteur, une capacité à travailler dans l’incerti- tude… et à coopérer. Plus un classement intègre de critères, plus il implique de données à collecter, traiter et vérifier. Cela suppose d'avoir mobilisé des équipes aguerries à la manipulation de bases
outils d’aide à la décision pour les étudiants et leurs familles, les classements ne peuvent échapper à cette contrainte. Avant de valider un vœu, vérifier la position d'une école dans un palmarès est devenu un réflexe. Un geste compa- rable, toutes choses égales par ailleurs, au fait de consulter les avis Google avant de réserver une table au restaurant. La comparaison a toutefois ses limites : ce qui sera "servi" en école est le fruit du travail de centaines de personnes, d'un écosystème académique, pédagogique et administratif, et parfois d'une histoire plus que centenaire. Une expérience autrement plus complexe à évaluer qu'un repas mal digéré. Et surtout, un choix d'école mal éclairé peut se regretter bien plus longtemps. La responsabilité des producteurs de classements est donc réelle, et largement assumée. Derrière un tableau : un travail de fond Élaborer un classement sérieux suppose une méthodologie exigeante portée par des équipes souvent hybrides, mêlant data journalistes, développeurs et rédacteurs. Ensemble, ils conçoivent la méthodologie, organisent le recueil des don- nées, en assurent la vérification, puis produisent, au-delà des différents tableaux, tout un ensemble de contenus des- tiné à les analyser et à les mettre en perspective. Ce travail, qui repose sur des échanges réguliers avec les écoles et sur une manipulation rigoureuse des données, s’inscrit dans un temps long : plusieurs semaines, parfois plusieurs mois. Il se prolonge ensuite par une phase éditoriale à part entière : recueil de témoignages, entretiens avec les directions, relec- ture des plans stratégiques, suivi attentif de l’actualité du secteur. Ce qui est publié n'est jamais neutre. Les classements
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n°19 Décembre 2025
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