250 ans d'Histoire

Plusieurs siècles d’ancienneté

1770

L ’exploitation familiale viticole, déjà très moderne pour l’époque, s’étendait sur une soixantaine d’hectares. Il existait encore, du temps du père du Comte Gerald de Montleau, les vestiges d’un petit train, rails et wagonnets qui desservaient les vignes. Au XIXe siècle les expéditions lointaines étaient e f fectuées par le rail. Pour la Russie les caisses avaient été conçues avec un double-fond de sorte que l’on ne puisse pas les percer aisément et extraire le nectar. Les cosaques en cette fin du XIXe siècle ne se privaient pas d’attaquer les trains de marchandises. Le Cognac T errasson Comte de Montleau situé dans les crus, Petite Champagne et Fins Bois, se développe et devient le bestseller du fournisseur attitré des Grandes Maisons, de la Cour d’Angleterre, de la Cour Impériale de Russie, et particuliè- rement des T sars Alexandre III et Nicolas II. Des lettres et correspondances attestent que les plus grandes familles princières russes sollicitaient des commandes du fa- meux cognac T errasson Comte de Montleau, celui de 1820 surtout, très apprécié et recherché dans ce début du XXème siècle (Lettres du Prince Serge Ouroussov 1924 et du Comte de Benckendor f f, Maréchal de la Cour de S. M. l’Empereur d e Russie, Palais d’Hiver de Saint-Pétersbourg 1899). Proposé dans les plus grands hôtels parisiens, Monsieur Legua y , directeur de l’Hôtel Continental le dé crivait en 1883 comme: «plein de délicatesse avec de délicieuses saveurs qui lui confèrent un équilibre très rare» . Dans “The home of the last T sar - Romanov and Russian history” la table du tsar sous le règne de Nicolas II y est décrite d e manière précise: Après le dîner, on servit du café dans la Salle du Portrait avec de riches tables garnies de piles de chocolats, de délicats gâteaux-éponges de di f férentes sortes et de confiseries fabriquées dans la confiserie impériale. Sur des tables séparées, il y avait aussi un assortiment de liqueurs et le cognac de 1875 fourni par Henri T errasson Comte de Montleau. En 1885, Henri T errasson Comte de Montleau reçoit, à L yon, le «Grand Diplôme d’honneur avec Médaille d’Or» la plus Haute récompense, pour l’excellence de ses cognacs.

Le Comte Terrasson Gerald de Montleau vous pr sente son v n rable cognac ancestral qui porte son nom

Tôle peinte du XIXe siècle de 1865

Eau de vie de M. Terrasson Comte de Montleau

Revue de presse

voir le film : www.terrassondemontleau.fr/CognacdeMontleau.m4v

Fascicule de 1883

Un cognac de légende

L’origine du Cognac Terrasson Comte de Montleau remonte au début du XIXe siècle, à l’époque où le cognac s’appelait encore «Eaux-De-Vie de Cognac». Le Cognac Terrasson Comte de Montleau situé dans les crus, «Petite Champagne» et «Fins Bois», se développe et devient des bestseller du four nisseur attitré des Grandes Maisons, de la cour d’Angleterre, de la cour Impériale de Russie, et particulièrement des Tsars Alexandre III et Nicolas II. Le Cognac Terrasson de Montleau est vendu dans les hôtels parisiens les plus chics, comme le célèbre Hôtel Continental. Lorem ipsum En 1883 d’ailleurs, le directeur de cet établissement, Mr E. Leguay, le définissait comme « plein de délicatesse avec de délicieuses saveurs qui lui confèrent un équilibre très rare ». Dans The home of the last Tsar» – «Romanov and Russian history», la table du tsar sous le règne de Nicolas y est décrite de manière précise : après le dîner, on servait du café dans la Salle du Portrait sur de riches tables garnies de piles de chocolats, de délicats gâteaux-éponges de différentes sortes et de confiseries fabriquées dans la confiserie Impériale. Sur des tables séparées, il y avait aussi un assortiment de liqueurs et le «cognac de 1875 Montleau » (fourni par Henry Terrasson Comte de Montleau). En 1885, Henry Terrasson Comte de Montleau reçoit, à Lyon, le «Grand Diplôme d’honneur avec Médaille d’Or» la plus Haute récompense, pour l’excellence de ses cognacs. Aujourd’hui le Cognac Terrasson Comte Gérald de Montleau, comme celui de son aïeul, est élaboré dans la plus grande tradition ancestrale, offrant des Eaux-De-Vie de Cognac à la finesse et aux parfums exquis qui lui confèrent un cachet rare.

Témoignages en 1883

De tous les points de la France et de l’Etranger des lettres élogieuses sont venues me prouver que la réputation de mes Eaux-de-vie de Cognac était établie sur des bases solides. Je ne parlerai pas ici de cette correspondance qui n’a de prix réel que pour moi, je réclame cependant une exception en faveur du Directeur de l’Hôtel Continental de Paris, le sympathique M. E. Leguay , dont la haute compétence en la matière ne saurait être discutée. Je copie, dans sa lettre du 19 août 1883, le passage suivant relatif à mes Fines Champagnes : « …incredibly delicate with delicious flavours infusing it with ever-so rare balance…». Quelques clients, par leurs demandes successives, auraient voulu m’imposer des conditions peu en rapport avec les prix élevés des bonnes eaux-de-vie. J’ai, dans de justes limites, cédé à leurs désirs, m’inspirant de cette pensée : « que le prix doit toujours être en rapport direct avec la qualité des produits vendus. »De tous les points de la France et de l’Etranger des lettres élo- gieuses sont venues me prouver que la réputation de mes Eaux-de-vie de Cognac était établie sur des bases solides. Je ne parlerai pas ici de cette correspondance qui n’a de prix réel que pour moi, je réclame cependant une exception en faveur du Directeur de l’Hôtel Continental de Paris, le sympathique M. E. Leguay , dont la haute compétence en la matière ne saurait être discutée. Je copie, dans sa lettre du 19 août 1883, le passage suivant relatif à mes Fines Champagnes : « …incredibly deli- cate with delicious flavours infusing it with ever-so rare balance… ». Quelques clients, par leurs demandes successives, auraient voulu m’imposer des conditions peu en rapport avec les prix élevés des bonnes eaux-de-vie. J’ai, dans de justes limites, cédé à leurs désirs, m’inspirant de cette pensée : « que le prix doit toujours être en rapport direct avec la qualité des produits vendus. » RENSEIGNEMENTS GENERAUX Les eaux-de-vie mises en vente sont déjà vieilles et bonnes à boire immédia- tement, ce motif me fait préconiser l’usage des caisses, seul moyen propre à rendre toute fraude impossible. T outefois, pour les clients qui en font la demande, les expéditions sont faites en fûts de 25.50.110 litres et au dessus. On livre également par caisses assor- ties. Les expéditions sont faites, franco à domicile, pour les villes et jusqu’à la La caisse de douze bouteilles se vend la moitié du prix de celle de vingt-cinq. Si, par exception, il est livré à titre d’échantillons, des caisses de une à six bouteilles, le port sera, dans ce cas, à la charge de l’acheteu r. Paiements à quarante jours au pai r, par traites, mandats sur la poste ou chèques, etc. Les droits de régie restent toujours à la charge de l’acheteu r. gare la plus rapprochée pour la campagne. Pour l’étrange r , Franco jusqu’à la frontière.

Fascicule de 1883

Récompense en1885

La ville de Lyon, capitale de la saveur et des goûts, était et est plus que jamais la capitale de la dégustation. Déjà en 1885, elle organisait des congrès, des expositions et des concours avec dégustation générale dans les domaines de la gastronomie, culinaire, alimentaire, embrassant toutes les boissons servant à l’alimentation ainsi que les divers appareils servant à la préparation culinaire, à l’hygiène et à l’économie domestique. En 1885, Henry Terrasson Comte de Montleau reçoit, à L yon, le «Grand Diplôme d’honneur avec Médaille d’Or»qui est la plus Haute récompense, pour l’excellence de ses cognacs. Cette distinction rejaillit sur le cognac T errasson Comte de Montleau et est un gage d’authenticité et de qualité qui repose sur une très longue expérience qui est irremplacable et est à nulle autre pareille et qui par conséquent est innimitable.

1899

Lettres du Comte de Benckendorf f Maréchal de la Cour de S.M. l’Empereur de Russie, Saint Petersbourg, Palais d'Hiver 1899. Monsieur le Comte, Il m’est tombé sous la main ces jours derniers, quelques bouteilles d’eau de vie de cognac qu’un ami à moi avait achetées à Paris, qui m’ont parues ex- cellentes. Les étiquettes de ces bouteilles portant votre nom, je me suis décidé à m’adresser directement à vous, et de vous prier de vouloir bien me dire, comment je pourrais obtenir une quantité assez considérable de cette eau de vie, pour la Cour Impériale, et à qui j’aurai à m’adresser pour traiter cette affaire. 1923

London, le 12 mars 1923, correspondance avec S.A. le Prince Ourous-

1923 -1924

Lettre 29 Mai 1923

Lettre du Prince Ouroussov adressée au Comte René de Montleau

1926

London, le 26 février 1926, réservation du stock du Prince Ouroussov

CTGDM - Cie TERRASSON GERALD DE MONTLEAU

www.terrassondemontleau.com

Oenologie

Des eaux-de-vie deCognac à la finesse et aux parfums exquis qui lui confèrent un cachet rare, souvent imité, jamais égalé.

Fruit de 250 années d’expérience, le Cognac HÉRI T AGE est un très vieux mélange d’amandes et de riche Cognac. La grande complexité des arômes et des saveurs intenses a été soigneusement nourrie pendant des décennies. V ieillissement dans de très vieilles caves, HÉRI T AGE est un cognac de qualité supérieure, unique et raffiné. « Combiner des saveurs dignes d’un cognac vraiment génial, où seules quelques gouttes peuvent révéler d’incroyables parfums de noix et d’amandes. A vec une harmonie de fruits mûrs et des arômes de miel en finale. »

De la culture de la vigne à travers les saisons qui passent, à l’élaboration du Cognac qui est du grand Art, Ce qui reste de la part des Anges est un morceau de paradis sur terre préparé selon les méthodes ancestrales avec l’expérience acquise au cours des siècles et restituée aujourd’hui par Terrasson Comte Gérald de Montleau

Un des Cognacs les plus exceptionnels de notre collection, IMPÉRIAL est une harmonie sublime et pré- cieuse de beaux esprits rares vieillissant en vieux fûts de chêne sur plus de deux générations.

Avec ses grandes notes de bois de cèdre et ses parfums de cuir, IMPÉRIAL offre un voyage dans le passé.

« En bouche, des arômes de truffe et de bois de cèdre.

Équilibre parfait de notes florales et de fruits.

Distingué par un arôme de roses séchées en fin de bouche. »

Généalogie

250 ANNIVERSAIRE ème

ayant exercés lexploitation viticole et le commerce du Cognac sur le territoire des Andreaux Documents historiques appartenant à son descendant dépositaire de la marque “TERRASSON Comte Gerald de MONTLEAU COGNAC” qui ne peut en être que lunique légitime détenteur.

Carte des Crus Crus map

Comtes de Terrasson de Montleau “branche cognac“ The lineage of the Counts of Terrasson de Montleau “cognac branch“.

Les Valentines The Valentines

Alexandre René Gabriel de Terrasson Marquis de Montleau 1773-1842

Valentine de Terrasson de Montleau 1870-1934

Henry de Terrasson Comte de Montleau Henry de Terrasson Count of Montleau 1841-1918

Jacques de Terrasson Comte de Montleau Jacques de Terrasson Count of Montleau 1920-2004

Hall d’entrée - Entrance hall

Façade - Front of the House

les Bureaux -

Plaque en bronze - Maison de Négoce - Depuis 1743 Bronze plaque - Trading Company - Since 1743

La Galerie - The Gallery

Regard sur la charente Glance on the river Charente

Les archives - The Archive

Dégustation de l’Impérial Tasting of Imperial cognac

Généalogie Charente-Périgord

Messages décembre 2019

Alexandre René Gabriel Terrasson de Montleau (1773-1842)

10 décembre 2019

Alexandre-René-Gabriel Terrasson de Montleau (1773-1842)

Terrasson de Montleau (Alexandre-René-Gabriel) Angoulême 13 mai 1773 - Saint-Estèphe 6 septembre 1842.

Fils de Jean, chevalier, seigneur en partie de La Motte-Montleau, et de Julie-Françoise de Terrasson de Verneuil. Un notable issu de la noblesse d'Ancien Régime, qui a commencé son ascension dans les dernières années de l'Empire, grâce au préfet Boissy d'Anglas, pour la poursuivre sous la Restauration. Il ne faut pas le confondre avec René Cyprien Gabriel Terrasson de Montleau, son contemporain et son cousin d'une autre lignée, celle des seigneurs d'Ardenne en Moulidars et Tourteron à Saint-Simeux. Tous les deux étaient d'anciens émigrés amnistiés à peu près en même temps en l'an X, mais René Cyprien Gabriel, à la différence de notre notable, ne semble pas avoir joué de rôle public. Alexandre-René-Gabriel avait été page de la chambre du roi Louis XVI, enseigne au régiment des gardes françaises en 1789, émigré en 1790, officier dans l'armée des Princes, rentré en l'an IX ; il restait sous la surveillance de l'administration. En l'an IX , il se mariait en Dordogne avec Françoise Victoire Henriette d'Arlot de Cumont, dont il a eu un fils unique, Joseph Adrien, né à Angoulême en l'an X. Il figure sur les listes de propositions de l'administration préfectorale à compter de 1812 : ainsi, troisième candidat présenté pour présider le canton électoral d'Angoulême avec la mention : "Agriculteur distingué, grande influence, dix mille francs de revenus". La même année, il remplace Maulde de L'Oisellerie décédé, au Conseil général du département, qu'il présidera plus tard sous la Restauration. Il figure (n° 23) sur la liste des soixante-douze personnes les plus marquantes établie en juillet 1812. Adjoint au maire de Saint-Estèphe en 1812, il en est le maire de 1815 à 1824. Il y possède un bien propre, provenant d'un échange fait en l'an XIII contre une maison à Angoulême. En 1822, il se présente à la députation dans le collège du département ; il est battu par Descordes, mais par contre il est élu en 1824 dans le même collège. En 1827, il démissionnera pour raisons de santé. En fait ce pur royaliste, ne ménageait pas ses critiques au gouvernement ; d'une rude franchise, il s'appelait lui même "paysan du Danube". Le préfet essaya en vain de le faire revenir sur sa décision en lui faisant des promesses alléchantes. Sur les listes du suffrage censitaire, il figure pour un chiffre supérieur à 1 000 F sous la Restauration, et légèrement inférieur après 1830. La déclaration de succession en mars 1843 indique un capital de 45 320 F, correspondant à son domaine des Andreaux de Saint-Estèphe, et un mobilier de 2 200 F. A quoi il faut ajouter les biens propres de sa femme, en Dordogne, qui figurent pour un cens de 862 F (en 1834) sur les mêmes listes censitaires. Pendant la Révolution, les parents Terrasson de Montleau avaient été en état de détention dans leur maison de Beaulieu, puis le père avait été détenu à la maison des Carmélites. D'après la déclaration fournie en l'an VI, en tant que père d'un enfant émigré, la fortune de la famille semble avoir été plus considérable avant les événements de 1789 : l'ensemble des biens, meubles et immeubles approchant de 200 000 F d'après l'estimation du père qui insiste, il est vrai pour les besoins de sa cause, sur la dégradation de sa fortune qui se situait dans plusieurs cantons du département de la Charente et aussi en Vendée.

Source : Grands notables du Premier Empire, de Jean Jézéquel.

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250 ANNIVERSAIRE ème

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1

Armoiries : d’azur au globe d’or croisé du même, cintré de sable, accompagné en pointe de deux étoiles d’argent (Grand armorial de France de Jougla de Morenas, et Catalogue de la noblesse française de Régis Valette). Page 2

Des preuves de la noblesse de Terrasson, agréé par le ROI pour être admis au nombre des Gentilshommes que sa Majesté fait élever dans les écoles Royales Militaires. Armoires d’Azur à un Globe d’Or croisée de même et cintré de sable, et deux étoiles d’Argent posées à la pointe. de l’Écu. Angoumois 1781, Terrasson d’Ardenne – XVIIIème siècle – d’Azur à un Globe d’Or croisée de même et cintré de sable, et deux Étoiles d’Argent posées à la pointe de l’Écu. Armoirie Terrasson : d’Azur à un monde d’or, et de deux étoiles de même en pointe (Cherin : descriptions enregistrées à la bibliothèque nationale). Armoirie Terrasson de Montleau des ANDREAUX : d’Azur au Globe d’or croisé du même, cintré de Sable, accompagné de deux Étoiles d’Or en pointe – (Grand Armorial de France de Morenas, et Catalogue de la noblesse française de Régis Valette).

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D'azur au globe d'or croisé du même, cintré de sable, accompagné en pointe de deux étoiles d'argent. d Armorial de France de Jougla de Morenas, et Catalogue de la noblesse française de Régis Valette)

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DES PREUVES DE LA NOBLESSE DE TERRASSON, Agréé par le ROI pour être admis au nombre des Gentilshommes que Sa Majesté fait élever DANS LES ÉCOLES ROYALES-MILITAIRES

3

D’ A zur à un Globe d’Or croisée de même et cintré de Sable, et deux Etoiles d’Argent posées à la pointe de l’Ecu

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TERRASSON

(Chérin : descriptions enregistrées à la bibliothèque nationale)

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« LES ANDREAUX » 180 – 1975 – (Article publié dans Châteaux, Logis et Demeures Anciennes de la Charente – Bruno Sepulchre, page 741) Note de synthèse sur cet ancien fief de la famille « LES LAMBERT DES ANDREAUX », et la création de la première distillerie en 17. Il existait déjà une entreprise viticole au XVIIIème siècle et il existait des stocks ainsi qu’en attestent des documents de commandes et des demandes. La Branche MONTLEAU DES ANDREAUX L’acquisition des ANDREAUX Explications concernant le fait que le Cognac est rattaché à la Branche René Les différentes activités de Henri, René, Jacques et Valentine La branche Guy et Maxence Les années d’activité du négoce avec Henri de 1864 à 1918, Valentine de 1885 à 1929 et avec René de 1909 à 1936. Les raisons de l’interruption du cognac : le phylloxéra et les années de guerre La crise du Cognac en 1929 La vente de la propriété familiale en 1975

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Document concernant Adrien de Terrasson de Montleau – 1858 « Sur le troupeau des Andreaux » Page 6 Et un document relatant qu’Adrien a introduit en France la race des mérinos - Une médaille d’argent en 1844 – Un diplôme et médaille d’argent en 1849 – Une mention honorable à l’exposition universelle de Londres 1851.

                       

   

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Acquisition des ANDREAUX :

- En l’an XIII  =-  ! N<*/=+@<# ALEXANDRE de Terrasson Marquis de Montleau ]<&<*  <Y@W&K%&=Q‚‹ $<*/&<*_+*K%&!&# ADRIEN 1802-1884  de Terrasson Mis de Montleau @' $## % !

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RENÉ mon grand-père faisait le négoce du cognac #&[!&*< JACQUE + Q#<&  [<=&<*  [+<Ž<+ !K  !" #$"%&"'Cognac Terrasson ( de Montleau Château  des ANDREAUX ar Roullet St Estèphe, Charente. >@*Q HENR+ `<+@*Q RENÉ *<&&<<+Q JACQUES !<Y+<QQ=<*<<*&*+*  K <   : % 9*>  #  , &    4>   # % # ,#     ,9  ' ! K RENÉ +@*QY]=<*&QQ=<=*  Q&*=*Q  %„ $#  ## , && !  [Q&<*!&# JACQUES, <&*Z#Y+<#++ZQ&<< @&*<**Z#++&<@!=*&<*/=<<Y&K ,2  1 9A ,!/ On peu constater [/NQ<*/ Henri de Terrasson Comte de Montleau &<*   <Q=<&+**<<QZ‰=#N&&{ *!!=<< 'B$## %   &!/ Un autre facteur va jouer ‘ VALENTINE &!&&*/ ’<=#&&/+Q&[ *Q&}\@*&>*_@<*YY<*Q ' pièce  07_1  674?5 ==(!/  Henr/ Y<Q[!&&#@*<*K Après la disparition d’HENR+ +1918  >' ! /< l’Oncle Albéric 1836-1927 [/{<QY*/!<Q<<<!!< VALENTINE <Y RENÉ  &>' ! #$%=<<YY*/Q<# *{+[<<<#W&@K ' *88  )+  !/ En résumé “_<Z&N+k+# VALENTINE < ‡[+Q&[=Q]{[+<* &=@*_@<Q&<<QQ=<=&+[}[*&= / ,  ,  9 % #9 && *  ' *7#   , !/ Remarques ** :  GUY /<}+<=#*Q**&<<*/!! &@K BRANCHE, GUY et MAXENCE : GUY 1867-1940 =<<&/‰=* RENÉ &Y<**!!=K 1891 # GUY + Nw`#Y‡&W<] ? %#&Q+!<   &> RENÉ 9  % + !/ GUY /<=Q@+N&/ZQ&<<*& QQ=<=#Q HENR+ [&Q<[<<&]#*Q&&/{ Q*+Q&<=<Z ,9!/ GUY =Q +&&W<  $ %  ??7."6! K

MAXENCE [<&*!&*/ ’=Q=W<K

250 ANS D’HISTOIRE

L’OUVRAGE 250 ANS D’HISTOIRE DU COGNAC de la branche familiale TERRASSON dont le Comte Gérald de TERRASSON de MONTLEAU est aujourd’hui le descendant, musées de Cognac, en présence de Madame Ana Elisabeth CLERY, directrice du musée des Arts de Cognac, à droite sur la photo et à gauche, Madame Catherine Wachs-Genest, attachée de conservation et responsable des deux musées municipaux (le musée d’art et d’histoire et le musée des arts du Cognac) qui dépendent de la Direction du Développement Culturel de la ville de Cognac. C’est tout d’abord en tant que généalogiste, que l’auteur de l’ouvrage s’est appuyé pour cette présentation, que l’on retrouve en partie dans l’ouvrage richement documenté (250 pages) intitulé “Terrasson Gerald de Montleau Cognac, 250 ans d’histoire”, qui relate depuis l’épisode du “petit page de Louis XVI”, la lignée généalogique autour de la branche familiale Adrien Terrasson qui s’est illustrée à travers les jours, les semaines, les mois, les années et les siècles, à préserver son les saveurs, l’arôme et les odeurs des siècles passés et qui ont les épicuriens, mais aussi pour l’envie que tout un chacun peut avoir désormais pour ce Cognac de légende. Cognac dont il faut savoir que la descendance des Eaux-de- Vie Terrasson Comte de Montleau est aujourd’hui une histoire vivante, bâtie sur l’excellence d’un savoir-faire ancestral. Les terres viticoles, citées dès le XVIIIe siècle, sont déjà réputées au début du XIXe siècle. Un sol calcaire légèrement argileux Terrasson de Montleau. Un COGNAC DE LÉGENDE était né, il retracera la grande aventure que fut la création et l’exportation de ce précieux liquide qui a su s’imposer auprès des Cours royales et impériales, c’est ce que l’on découvre preuves à l’appui dans cet ouvrage dont l‘association reconnue par l’ONU laisse la possibilité aux lecteurs de le consulter gratuitement par téléchargement: www.terrassondemontleau.fr/COGNAC250ANS.pdf Le dépôt de cet ouvrage aux musées de Cognac suivi de celui à la Bibliothèque nationale de France était incontournable en raison de son contenu, d’autant que les musées de Cognac font partie de l’agglomération de Grand Cognac que préside M. Jérôme SOURISSEAU dont on retrouve toute l’actualité sur le site www.grand-cognac.fr une région à visiter.

Un film vient d’être réalisé par “l’ Organization International of Economic Development (IOED)”, autrement dit l’Organisation Internationale de Développement Économique (OIDE), investie de 134 missions confiées par l’Organisation des Nations Unies (ONU), parmi lesquelles celle pour rendre un hommage appuyé aux femmes et aux rôles qu’elles ont jouées dans le monde politique, économique et social. D’ou la nécessité de célébrer ces journées comme elles doivent l’être, et c’est ainsi que l’on découvre dans le film consacré à la journée internationale des femmes, le rôle joué par Valentine TERRASSON de MON- TLEAU qui fut pionnière dans son domaine qui était celui des Andreaux, sur la commune de Saint ESTÈPHE (Charente) où par son travail quotidien sur la vigne et l’eau de vie ainsi que sa commercialisation jusqu’en Russie, elle en était déjà à pratiquer sans véritablement le savoir, une forme d’émancipation que les mouve- ment féministes pour l’autonomie et l’indépendance des femmes dans le travail ont rejoint et traduit par une émancipation qui n’osait pas dire son nom. 

VALENTINE de TERRASSON de MONTLEAU

est née en 1870

s’impliquera dès son plus âge dans la Maison de Cognac,

occupant des fonctions jusqu’alors exclusivement réservées aux hommes

image du film

pour voir le film scanner le code QR ou composer : http://www.aditp.org/WomenDay12.m4v

A l’époque, Valentine n’a jamais pu imaginer qu’elle serait en cela re- jointe plus tard par des femmes il- lustres auprès desquelles elle trouve sa place dans le film consa- cré à la journée internationale de l’ONU. Au fil du temps, ces femmes qui appparaissent dans le film succes- sivement à l’image sont les sui- vantes: Marie Curie, Anna Minerva Hender- son, Valentine de Terrason de Mon- tleau, Amelia Earthart, Rosa Parks, Gloria Steinem, Simone Veil, Si- mone de Beauvoir, Hillary Clinton, Malala Yousafzai, Phumzile Mlambo-Ngcuka, Nicole Kidman, Nadia Murad, Kamala Lopez et Ai- Jen Poo.

Parfaitement bilingue, VALENTINE, contribua à donner à ce négoce un essor considérable

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ˆ  ‡ _ˆ_   ƒ (Voir pièce Généalogie -    < 4' C" 4.477C6 8C6. 4?! Années d’activité du négoce, HENRI ƒN#    N`# RENÉ  NK

Pourquoi le cognac c’est-il interrompu ? _&<*”NQ&=Y+<#Q&<[ <=+[K

 Le Phylloxéra <<[&Y@W&_@‹*& années 1885 #Q&*ƒ•* Y@W&<*=<<K w La guerre de 14-18 K RENÉ  < +W&= & } *  +@# *< [< =# & ]++ +[<  & < < * & <QK  Y@# ++ &  *Y<# */k< &<Y= Q & !+ <=  & < /Y< Q =<=<<*<<<Q=*K  La Révolution en Russie 1917 !<&Q<*Q+<<@&<#&_* <&@*!+&& K  HENRI  , #,>+ ! ` René Q&<<Q<&#=[<#*& Emprunts Russe [& *<*=Q#`>&&*!K  Dans les années 1929 /<&*&@#&Y*<+&#YQ&* <<K Résultat :  Q <  =Y+< *&Z# * +WZ !& * !+ &&<  *< * Y&&#  & ]+ * K Mon grand-père continua  N Y**W<&&#&ˆ*$&& =Y*_@#}[*&=`K  En 1939 les Andreaux fut réquisitionné Q&&&+*#/<Š_– + Q[{<*Q&}\@&/+*&<Q&QQ=<=Q&@ *<<=<< 2>+- ,# &!/   Après la guerre de 39-40  & { Y< * WY<  =@&@W& Q &/]@*Y@#&<+W<W#+QY<]&Y@ # <D*   : E!/  JACQUES mon père, propriétaire, ZQ&<&<**Z#&Q< &/=&Y@*/Y [/Y<== son arrière-grand-père, Adrien #&*+=#Y +=*&&*/@<N*``K>QŠ[=&Y<]Q<&*N +<Q&*/&<==& / 

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Adrien de terrasson de Montleau – 1858 « Sur le troupeau des Andreaux »

Adrien a introduit en France la race des mérinos - Une médaille d’argent en 1844 – Un diplôme et médaille d’argent en 1849 – Une mention honorable à l’exposition universelle de Londres 1851

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Actes détat civil

250 ANNIVERSAIRE ème

                  

1836 - Acte de naissance d’Alberic de Terrasson de Montleau, fils légitime d’Adrien de Terrasson de Montleau, son épouse Charlotte Duboys de Labarre, propriétaire demeurant aux ANDREAUX. page 2 1841 – Acte de naissance d’Henri de Terrasson de Montleau, fils légitime d’Andrien de Terrasson de Montleau, propriétaire, demeurant aux ANDREAUX, commune de St Estèphe. Page 3 1865 – St Estèphe – promesse de mariage entre Henri de Terrason de Montleau, fils légitime d’Adrien de Terrasson de Montleau, propriétaire des ANDREAUX avec Isabelle Mesnaud de Saint Paul. Page 4 1870 – Acte de naissance de Valentine de Terrasson de Montleau, demeurant aux ANDREAUX, fille d’Henri de Terrasson de Montleau, sœur de René de Terrasson de Montleau, Valentine décédée en Juin 1934, enterrée dans le cimetière familial commune de St Estèphe. Page 5 1885 – Acte de naissance de René de Terrasson de Montleau, fils légitime d’Henri de Terrasson de Montleau, propriétaire demeurant aux ANDREAUX. Page 6 1918 – Acte de décès d’Henri de Terrasson de Montleau – déclaration d’Albéric de Terrasson de Montleau, frère d’Henri, commune de St Estèphe. Page 7 1920 Acte de naissance de Jacques (mon père) de Terrasson de Montleau – St Estèphe – Charente, fils de René, propriétaire et domicilié aux ANDREAUX. Page 8 Il est indiqué ici que Guy (fils d’Henri) de Terrasson de Montleau, propriétaire demeurant aux Bergerons, commune de Roullet – Charente 1954 – Acte de décès de René de Terrasson de Montleau, né à St Estèphe, aux ANDREAUX, le 28 mars 1885, propriétaire, fils d’Henri de Terrasson de Montleau des Andreaux et d’Isabelle Mesneau de Saint Paul son épouse décédée. Déclaration faite et signée par Jacques de Terrasson de Montleau, fils du défunt. Page 9 1955 – Acte de naissance, Gerald de Terrasson de Montleau – fils de Jacques de Terrasson de Montleau, cultivateur, propriétaire des Andreaux. Page 10

                       

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250 ANNIVERSAIRE ème

© UTILISATION ET REPRODUCTION INTERDITE SANS AUTORISATION PRÉALABLE DE M. de TERRASSON Comte Gérald de MONTLEAU

                   



LE PETIT PAGE - Alexandre de Terrasson de Montleau 1773-1842. Enfant il vivait à la Pétillerie, son père Jean de Terrasson Marquis de Montleau officier avait été tué à la guerre en Allemagne. PORTRAIT - LE PETIT PAGE du ROI LOUIS XVI À VERSAILLES ADRIEN 1802-1884, de Terrasson Marquis de Montleau né aux ANDREAUX, fils du Petit Page. Photo 1850. ALBÉRIC 1836 -1927 né aux ANDREAUX, fils aîné d'Adrien de Terrasson Marquis de Montleau Photo Circa 1860. HENRI 1841-1918 de Terrasson Comte de Montleau. Dagron, photographe de L'Empereur Napoléon III et de sa M. le Roi de Siam ». Fait le négoce de Cognac. Photo Circa 1865 VALENTINE 1870-193, Les ANDREAUX, devant un portail, fille unique d’Henri de Terrasson Comte de Montleau, sœur de René, mon grand père, photo Circa 1890. RENÉ 1885-1954 de Terrasson Cte de Montleau. Né aux ANDREAUX (Fils d’Henri et frère de Valentine) fait le négoce de Cognac. Photo Circa 1905. JACQUES 1920-2004 de Terrasson Cte de Montleau. Né aux ANDREAUX, mariage, paroisse de St Estèphe 1943. Exploitant agricole et propriétaire des terres des ANDREAUX a cinq enfants, dont Gérald LES ANDREAUX – Une partie de l’habitat est du XVème siècle et les fondations et caves du XIIIème siècle – Le manoir du XVIIème siècle a été au début du XVIIIème remanié et mis aux goûts du jour. Photo « Les ANDREAUX avant l’incendie – Photo 1880 (les parents de M. Gerald de Terrasson de Montleau, posent côté cour).

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Page 11 LES ANDREAUX avant l’incendie, côté cour, les grands parentes et arrières grands parents de M. Gérald de Terrasson de Montleau – Photo Circa 1885 – Au deuxième rang, Henri à droite, Albéric frère aîné d’Henri au centre et Maxence un fils d’Henri à gauche – Au premier rang, de droite à gauche, en second, Valentine 15 ans – Photo prise aux ANDREAUX. Les ANDREAUX – photos aériennes – Saint Estèphe (Charente) – Commune de Saint Estèphe, les ANDREAUX à droite. Page 12 LES ANDREAUX – photos aériennes – Les ANDREAUX – La Première distillerie date de 1770, inscription gravée sur le linteau de la porte, les chais des ANDREAUX. Page 13 Les ANDREAUX – photo aérienne, vue générale des dépendances. Page 14

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LE PETIT PAGE - Alexandre de Terrasson de Montleau 1773-1842.  à la Pétillerie, son père Jean de Terrasson Marquis de Montleau officier avait été tué à la guerre en Allemagne

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