ACTUALITÉ
editionap.ca
Le nettoyage de l’étang de la CIP reste suspendu
l’été de 2015. Les futures travaux sont assujettis à l’approbation des subventions néces- saires et du feu vert du ministère de l’Environnement. Le but ultime est de divis-
et l’eau, stimulera l’économie locale et crée- ra un espace vert et propre dont bénéfici- eront les résidents et les touristes». L’exploitation de l’usine de la CIP a amor- cé ses opérations dans les années 1890.
L’usine a fermée en 1982 et a été démolie en 1985. Les lieux ont été rétablis en tant que terres de la Couronne et la province a pris la responsabilité de l’étang. À l’époque de la fermeture de l’usine, il n’y avait pas de règlement exigeant que l’entreprise nettoie les lieux. De par la loi, les lieux d’élimination des déchets doivent maintenant avoir un plan autorisé de fer- meture. Une fois la propriété restaurée, le site de 27 hectares pourrait être utilisé à des fins récréatives. Dernièrement, le maire de Hawkesbury, René Berthiaume, a mentionné qu’à la suite des élections municipales en 2010, le conseil a changé sa position au sujet de la lagune et a appuyé la décontamination partielle des terrains. L’ancien conseil avait endossé les revendications de la Corpora- tion de la bordure riveraine, qui, quand M. Berthiaume était président, avait lancé une campagne afin de convaincre la province de procéder avec un nettoyage complet de l’étang. Un nettoyage complet coûterait 55M$ selon la province.
RICHARD MAHONEY richard.mahoney@eap.on.ca
HAWKESBURY | Le nettoyage de l’étang de déchets de l’ancienne usine de la com- pagnie Canadian International Paper à Hawkesbury est en suspens. Par contre, le gouvernement de l’Ontario a toujours l’intention de procéder avec le projet, éventuellement, selon le député libéral de Glengarry-Prescott-Russell, Grant Crack. Le prix de la réhabilitation du bassin, es- timé à 31 millions $, est l’enjeu primordial. «Rien n’a changé, a insisté M. Crack la se- maine dernière. L’argent est encore là. Nous sommes en train de regarder les options.» Il a affirmé que la province veut nettoyer le site riverain de 40 acres. Par ailleurs, il a aussi indiqué que la province ne veut pas dépenser 30M$ dans un projet qui avait déjà été estimé à 20M$. «Nous espérons pouvoir faire le nettoyage sans dépenser autant d’argent», a déclaré M. Crack. Le député ne peut pas dire quand le projet sera réalisé. Il n’a pas élaboré da- vantage quant aux options qu’étudie la province. «J’espère avoir des renseigne- ments d’ici deux mois.» Le ministère ontarien des Richesses na- turelles avait amorcé des travaux prélimi- naires en 2011. L’étape préliminaire consistait à enclore l’aire de travail avec une berme de gravier et d’étudier les options pour draguer, reloger, et sécher le matériel de cellulose mouillé de la lagune. En janvier 2012, des représent- ants du ministère avaient informé le conseil municipal que si tout allait bien, le nettoy- age commencerait à l’été 2013 et que le projet entier devrait être complété lors de
La première phase du nettoyage de l’étang de déchets de l’ancienne usine de la CIP a commencé en 2011. Ci-dessus, un aperçu de ce dont aura l’air la lagune de l’ancien moulin de la CIP dès que le nettoyage du site de 40 acres sera complété.
er la lagune en deux sections. Les déchets seront consolidés dans un secteur et cou- verts avec la terre; le résultat final sera un espace vert. Le plan de fermeture de la lagune com- prend la construction d’une cellule de confinement dans la portion ouest du site, l’excavation des boues de cellulose con- tenues dans la portion est de la lagune, la déshydratation et le transfert de ces boues dans la nouvelle cellule de confinement, suivi par le recouvrement final de cette cel- lule. Selon le gouvernement, «Le projet d’assainissement de l’ancien étang de ré- tention de la CIP contribuera à assainir l’air
Carrière Les familles Carrière sont à l’honneur. Ginette Pharand Dupras, membre de La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire, de Hawkesbury a préparé cette chronique généalogique pour rendre hommage aux ancêtres paternels de Poméla Carrière. Le premier ancêtre en Nouvelle-France est Jean Carrier, fils de Jean et Jeanne Dodier de Saint-Georges- du-Bois, Saintonge, France. Le 4 novembre 1670 à Québec, il épouse Barbe Hallé (aussi Halley) (contrat de mariage, le 27 juillet 1670, greffe Pierre Duquet), fille de Jean-Baptiste et Mathurine Vallet de Saint-Julien, Le Coudray, Eure-et-Loir (Orléanais), France. L’Orléanais est l’ancienne province de France qui a formé les départements du Loiret, de Loir-et-Cher et d’Eure-et-Loir. «La maison dite « de Jeanne d’Arc » fut rebâtie, après la Libération, avec les matériaux anciens : Orléans ne peut oublier la Pucelle, qui la délivra, en 1429, des Anglais qui l’assiégeaient. Depuis 1430, Jeanne est célébrée chaque année par des défilés et des cavalcades, les 7 et 8 mai. (Jean-Louis Delpal) » ¹ La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury Né d’unerace fière
PROFESSIONNELS AU SERVICE DE LA COMMUNAUTÉ
Générations
9e 8e 7e
Régis Forget – Antoinette Métayer m. le 1921-10-11 à Sainte-Agathe-des-Monts, Qc
Poméla Carrière – Régis Forget m. le 1882-04-18 à Boileau, Qc
Jean Baptiste Carrière – Emélina (Milina) Pilon, résidents de Hartwell, Qc m. le 1863-06-15 à Saint-André-Avellin, Qc André Carrières – Marie Marguerite Dorgué (Durgee) m. le 1831-07-05 à Montebello, Qc Charles Carrier¹ – Josephte Célérier/Roc² vf de Françoise Carignan ² vve de François Lacoste/ Languedoc m. le 1803-10-10 à Longueuil, Qc Charles Carrier – Marie Anne Pichet (aussi Pichette) m. le 1752-11-06 à Saint-Pierre-et-Saint- Paul, Île-d’Orléans, Qc Charles Carrier – Véronique Guay m. le 1727-11-27 à Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy, Lauzon, Qc Charles Carrier – Marie Gezeron m. le 1699-06-15 à Saint-Joseph-de-la-Pointe-Lévy, Lauzon, Qc
6e 5e
4e
3e
2e
1re
Jean Carrier – Barbe Hallé m. le 1670-11-04 à Québec
613 632-2764 Cell.:613 720-3345 sans frais | Toll Free 1 800 465-5910 gillesm@laplantechev.com www.laplantechev.com 640 Main St. West, Hawkesbury, ON
« À l’origine, le territoire, rattaché à la paroisse de Saint-Joseph-de-la-Pointe-de-Lévy, recevait ses premiers défricheurs dès 1694. …
Avant 1867, le territoire répondait au nom Saint-Joseph-de-la-Pointe-de-Lévy, la seconde partie de cette appellation ayant été attribuée par Champlain lui-même en 1625. Lauzon rappelle la mémoire de Jean de Lauson (Paris, 1586 - Québec, 1666) - la graphie actuelle comporte un « z » en vertu d’un usage séculaire, premier concessionnaire de la seigneurie de Lauzon, en 1636. D’ailleurs on rapporte que Lauson a usé de subterfuges pour obtenir celle-ci, se servant de Simon Le Maître en guise de prête- nom. Celui-ci se porte acquéreur des titres seigneuriaux qu’il remet à Lauson, onze jours après les avoir achetés. Jean de Lauson a également rempli les fonctions de gouverneur de la Nouvelle-France de 1651 à 1656, de con-seiller au parlement de Paris, de premier directeur de la Compagnie des Cent-Associés. »
Gilles Meloche Représentant des ventes
Sales Consultant Neuf et usagée
Denturologistes Mélanie Lacroix DD Serge M. Lacroix DD 225, rue Main Ouest, pièce 102
1. Agnelys, Suzanne & al. France (Beautés du monde), Larousse, 1989 2. Noms et lieux du Québec : dictionnaire illustré, Québec : Publications du Québec, 2006
Germain Charron d.d. DENTUROLOGISTE SUR RENDEZ-VOUS 299-3, rue Principale, Grenville (Qc) J0V 1J0 1 819 242-3618 122-3, rue Principale, St-André-Avellin (Qc) J0V 1W0 1 819 983-2763
Hawkesbury (Ont.) K6A 3R7 Tél. : 613.632.0780
Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1
Made with FlippingBook Publishing Software