VICKY CHARBONNEAU vicky.charbonneau@eap.on.ca toutes les régions du Canada. Il y amaintenant 200 ans que le physicien anglais James Parkinson a décrit pour la pre- mière fois la maladie du cerveau qui porte son nom, dans An Essay on the Shaking Palsy . Depuis 1817, des progrès d’importance ont été réalisés dans le cadre de la recherche sur la maladie de Parkinson, notamment l’éla- boration de divers médicaments et d’autres 200 ans pour élucider la maladie de Parkinson
Avril est le mois de la sensibilisation à la maladie de Parkinson. Parkinson Canada sera l’hôte d’activités de financement et de sensibilisation spéciales à l’intention des Canadiens atteints de la maladie de Parkinson et de la population générale de La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury Né d’une
race fière
Avril est le mois de la sensibilisation à la maladie de Parkinson.
traitements permettant d’en atténuer les symptômes. Pourtant, nous ne savons pas encore avec précision ce qui cause la maladie de Parkinson et nous ne possédons aucun remède. Pour souligner le 200 e anniversaire de la Journée mondiale de la maladie de Parkinson, le 11 avril, Parkinson Canada s’est joint à la communauté Parkinson internationale en prévision de l’événement #UniteForParkinsons . Cette campagne inter- nationale vise à sensibiliser à la maladie de Parkinson, à démontrer du soutien aux personnes atteintes et à inspirer de nouvelles initiatives de recherche et de traitement. « Les familles et les amis des personnes atteintes de la maladie de Parkinson ne peuvent pas attendre un remède pen- dant 200 autres années, a affirmé Joyce Gordon, présidente et chef de la direction
de Parkinson Canada. La recherche liée à cette maladie complexe et bouleversante est en effervescence, nous devons conserver l’impulsion qui nous mènera à la mise au point d’un remède. » Actuellement, au Canada, 100 000 per- sonnes atteintes luttent contre les stigmates et les difficultés quotidiennes que leur impose la maladie de Parkinson. En fait, 25 personnes reçoivent un diagnostic de Parkinson chaque jour au Canada. Pendant toute l’année, les gens peuvent trouver de l’information, du soutien et des ressources au www.parkinson.ca ou joindre le service d’information et de référence de ParkinsonC anadaa u1 8005653000. Pour obtenir des détails sur les activi- tés qui se déroulent en avril, les intéressés peuvent consulter la carte interactive au www.Parkinson.ca.
Page ou Lepage dit St-Antoine Cette chronique généalogique a été réalisée en hommage aux ancêtres paternels d’Olivine Lepage, la mère de Valérie Lefebvre, l’arrière-grand-mère maternelle de Louise Brazeau, épouse de Jacques St-Aubin membre de la Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury. La filiation et le lieu d’origine d’Antoine Page ou lePage, le premier ancêtre arrivé au pays, ne sont pas connus. Il s’établit en Nouvelle-France vers 1697. Il épouse, en 1700, Magdeleine Colin, née à Longueuil le jeudi 8 mai 1681, fille de Mathurin Colin, maître-maçon, et de Jacqueline Labbé. Le seigneur Lemoine de Longueuil lui concède, en 1702, une terre de quarante arpents en superficie dans sa seigneurie. Seize enfants, six filles et dix garçons, naissent de leur union. Dix d’entre eux meurent dans leur tendre enfance. « Dans un acte datant d'avril 1707, le notaire Antoine Adhémar (1668-1714) mentionne que l'ancêtre Page (ou lePage) dit Saint- Antoine est « fort comme un bœuf ». Il est d'ailleurs décédé à l'âge de 87 ans » à Longueuil le 12 février 1753 et y est inhumé le lendemain. Générations 9 e Ghislaine Turpin (1928-2007) – Jean Claude Brazeau (1927- ), fils d’Ernest et Délia Martel m. le 1949-04-28 à Hawkesbury, Ont. 8 e Éléonore Leclair (1900-1984) - Royal Turpin (1898-1958), fils de Louis et Rosalie Saint- Martin m. le 1919-05-27 à Hawkesbury, Ont. 7 e Valérie Lefaivre (1873-1953) – Alfred Leclair (1863-1905), cult., fils d’Hyacinthe et Denise Huneau Leparc m. le 1894-04-24 à Lefaivre, Ont. 6 e Olivine Lepage (1845-1924) – Louis Chéri Lefebvre (1843-1912), fils de Cyprien, cult., et Sophie Babeu m. le 1868-07-19 à Saint-Antoine-Abbé, Qc 5 e Narcisse Lepage, cult. (1821-1912) – Marie Olive Goyet (1821-1889), fille de François et Marie Madeleine Fréchet m. le 1843-01-10 à Saint-Rémi-de-Napierville, Qc 4 e Joseph Page (1788-1865) – Desanges Bourdon (1789-1832), fille d’Ambroise et Marie Angélique Rollin m. le 1809-07-03 à Longueuil, Qc 3 e Joseph Page/Saint-Antoine (1745-1818) – Désanges Dubuque (1768-1832), fille de Michel et Marie Josèphe Sainte-Marie m. le 1787-02-05 à Longueuil, Qc 2 e Joseph Page (1715-1789) – Angélique Patenotre (1724-1804), fille d’Étienne et Angélique Lamarre m. le 1742-02-15 à Longueuil, Qc 1 re Antoine Page/Saint-Antoine (~1666 - 1753) – M. Magdeleine Colin (1681-1756), fille de Mathurin et Jacqueline Labbé m. en 1700 de Longueuil, Nouvelle-France * * La note suivante a été inscrite au registre comme preuve par le vicaire de Longueuil Jean Ducharme en 1889. « Ce mariage a dû être fait en 1700, car le 9 mars 1701, on trouve le baptême de Marie Magdeleine Lepage, fille d’Antoine Lepage dit Saint-Antoine et de Magdeleine Colin. Cette petite fille doit être leur 1re enfant, car suivant la louable habitude de ce bon vieux temps, le premier-né prenait le nom du père ou de la mère, Or si du 9 mars 1701, on retranche 12 mois pro tempore conceptio, nous voilà au mois de mars 1700. … L’épouse, Magdeleine Colin, est née à Longueuil (8 mai 1681). Ses parents, frères et sœurs, ont tous été élevés à Longueuil et en 1700, ils y étaient encore tous. On ne voit pas pourquoi elle se serait éloignée de sa paroisse natale pour son mariage. … De plus, ces deux époux sont morts à Longueuil, ainsi que toute leur famille qui a été baptisée à Longueuil. Donc, la présomption qu’ils se sont mariés à Longueuil en 1700 est très forte. » Note : la graphie des noms des générations est conforme à celle des actes de mariage. Deux ans après lemariage d'Antoine Page et Magdeleine Colin, Louis de Buade comte de Frontenac, lieutenant- général et gouverneur de la Nouvelle-France, décède le 28 novembre 1698 et est inhumé le 1er décembre dans l’église des Pères Récollets à Québec. « Le cœur de Frontenac est transporté, selon sa volonté, à Paris en l’église Saint-Nicolas-des-Champs…L’écrivain québécois Joseph Marmette (1844-1895) fait toutefois mention du coeur de Frontenac dans son livre François de Bienville (1870). Il indique que, recevant le coffret avec le coeur de son mari, Anne de la Grange-Trianon l’aurait renvoyé au Canada en disant qu’elle ne voulait pas d’un coeur mort qui, vivant, ne lui avait pas appartenu. » 1 Sociétédegénéalogiede l’Outaouais.http://www.genealogieoutaouais.com/?spage=17&chrono=68 2 http://www.frontenac-ameriques.org/louis-de-buade-comte-de-frontenac/article/louis-de-buade-comte-de-frontenac-43
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Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1
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Le Carillon, Hawkesbury ON.
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Le jeudi 20 avril 2017
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