Carillon_2022_06_29

COLLECTIVITÉ

MÉRITES LAÏCS

Le 12 juin dernier avait lieu une célébration pour les mérites laïcs des six paroisses du Comité du Soleil Levant : Chute-à-Blondeau, L’Orignal, Sainte-Anne de Prescott, Saint-Bernardin, Saint-Eugène et Vankleek Hill. Félicitations à tous ces bénévoles qui donnent généreusement de leur temps, de leur énergie pour leur paroisse respective. Provenant de l’École secondaire catholique régionale de Hawkesbury, une enseignante, Mme Karine Charlebois, ainsi que deux élèves, Caleb Hawkins et Antoine Lucas, se sont également démarqués par leur engagement et leur implication dans la communauté scolaire et pastorale. Dans la photo, prise à l’église de Saint-Eugène, (de gauche à droite) Karine Charlebois, Agatha et Rolland Poirier, Guy Larocque, Denise Lalonde, Diane Sauvé, Jean Denis Méthot, Line et Richard Durocher, Colombe, Roch et Alexis Geneau, Caleb Hawkins, Thérèse Boyer et Antoine Lucas. Les prêtres à l’arrière : Gilles Marcil, Serge Faucher, Pierre Domerson, Mgr Léo Villeneuve et Mgr Gérard St-Denis. —photo Marie-Ève Yelle

REMISE DES DIPLÔMES À L’ESCC

La Seigneurie, Centre de généalogie et d'histoire de Hawkesbury

Né F d’une race

ière

GUITARD

La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury est fière de présenter l’ascendance patrilinéaire de Geneviève Guitard, née le 21 novembre 1801 à Saint-Benoît, comté des Deux-Montagnes, Québec, et inhumée le 11 août 1887 à Saint-Eugène, dans le comté de Prescott, Ontario. Le premier ancêtre à s’établir au Canada est Jean Guittart dit Lagrandeur, né vers 1700 en Charente-Maritime, France, soldat des troupes de la Marine. Il est le fils de Jean et Jeanne Guionnet, originaires de la paroisse de Nachamps, évêché de Xainte en Charente-Maritime, France. Veuf de Marie-Barbe Durand, il épouse le 26 mai 1732 en la paroisse Saints-Anges de Lachine, Marie-Anne Meloche, fille de François et Marie Moufflet Le couple a cinq garçons et huit filles, nés à Pointe- Claire et Sainte-Geneviève, Pierrefonds, sur l’île de Montréal. Jean Guittart, alors âgé de 52 ans, est inhumé le 24 juillet 1752 à Sainte-Geneviève, Pierrefonds. Marie-Anne Meloche est inhumée le 9 novembre 1773 à Sainte-Geneviève à 60 ans.

Les élèves de l’ESCC lancent leurs mortiers. -photo Antoine Messier

GÉNÉRATIONS

5e Élisabeth Nancy Demerce - François-Xavier Lefebvre, voyageur, fils de Nicholas et Charlotte Ranger, m. le 1864-09-07 à Saint-Eugène, Ont. 4e Geneviève Guitard – François Demers, laboureur de Saint-Eustache, fils de feu Jacques et feu Josephte Éthier, m. le 1824-06-28 à St-Benoit, comté des Deux-Montagnes, Qc 3e Joseph Guitard, laboureur – M. Amable Beaulne, fille de Michel-André et Agathe Lavimodière, m. le 1798-01-15 à Ste-Geneviève, Pierrefonds, Île de Montréal, Qc 2e Joseph Guitard – Marie Élisabeth Bouleau, fille de Pierre-Jean et M. Élisabeth Martel, m. le 1769-11-13 à Sainte-Geneviève, Pierrefonds, Île de Montréal, Qc 1re Jean Guittart dit Lagrandeur, vf de Marie Barbe Durand – Marie-Anne Meloche, fille de François et Marie Moufflet, m. le 1732-05-26 en la paroisse Saints-Anges de Lachine, Qc « …Y avait-il un système postal quelconque … sous le régime français ? Non. Le gouvernement du Roi ne s’occupa jamais de doter sa colonie de l’institution si utile des postes. Si M. X, qui demeurait à Québec, avait un fils à Paris, ou même à Montréal, pour lui faire parvenir une lettre il devait attendre le bon vouloir d’un capitaine de vaisseau ou d’un voyageur quelconque pour le transport de sa communication. Avec ce système archaïque, une lettre arrivait à destination souvent un an et même plus après avoir été écrite. Et très souvent, la lettre restait en chemin. Pour être plus sûrs que les envois arriveraient à destination, nos ancêtres transcrivaient leurs lettres deux ou trois fois et envoyaient ces copies par des voies différentes. … L’ordonnance de l’intendant Hocquart du 20 juillet 1732 illustre bien les inconvénients de l’absence de système postal sous le régime français. Lorsque les vaisseaux venant d’Europe arrivaient à Québec, ceux qui attendaient des lettres de là-bas se rendaient en chaloupe au-devant de ces navires et le capitaine, pour se débarrasser plus vite de ses commissions, leur remettait toutes les lettres dont il s’était chargé. On comprend qu’avec un pareil système beaucoup de ces lettres se perdaient, quand elles n’étaient pas ouvertes par des gens peu scrupuleux. Par son ordonnance du 20 juillet 1732, M. Hocquart défendait aux Québécois d’aller à bord des vaisseaux avant que le capitaine fût descendu à terre. Celui-ci devait les remettre à un négociant ou un bourgeois de de Québec à qui les intéressés pouvaient réclamer leurs lettres. Cette méthode surannée exista jusqu’à la Conquête. » (Pierre-Georges Roy, Toutes petites choses du régime français, 1944) Collaborateur : Jean-Claude Lalonde https:⁄⁄histoireduquebecca⁄postenouvellefrance⁄

ANTOINE MESSIER antoine.messier@eap.on.ca

son excellence académique et une bourse de 500$ pour avoir obtenu la meilleure moyenne dans la filière pré-universitaire. Deux autres bourses de 500$ ont été décernées à Samantha Landry et Marie-Ève Blanchard pour l’obtention des plus hautes moyennes dans les filières pré-emploi et pré-collégiale respectivement. La médaille du lieutenant-gouverneur est décernée à Louis-Étienne Duquet pour son action bénévole dans la communauté.

Cent-dix élèves de l’École secondaire catholique de Casselman reçoivent leur diplôme d’études secondaires. La médaille académique de la Gouver- neure générale est décernée à Véronique Trottier, l’élève qui ayant obtenu la meilleure moyenne pour l’ensemble des cours de 11 e année et de 12 e . Elle obtient aussi une bourse de 1500$ du CSDCEO pour souligner

Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1

Léa Mortimer et Francis Brisson donnent le discours d’adieu des élèves. -photo Antoine Messier

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