ACTUALITÉS UNE RÉÉVALUATION DE LA VOCATION DE LA MAISON DE L’ÎLE ANTOINE MESSIER antoine.messier@eap.on.ca ciblées.
Ligne de temps Le Règlement de l’Ontario 588/17 sti- pule que les municipalités doivent produire une série de produits livrables de gestion d’actifs entre 2019 et 2025, visant au final la création du plan de gestion des actifs. La première étape de l’étude des bâti- ments est le plan de gestion des actifs. Le plan de gestion des actifs vise à déterminer « l’affectation optimale des ressources pour l’entretien, l’exploitation, la réparation et le remplacement de ces biens tout au long de leur cycle de vie » pour une gestion efficace de l’infrastructure municipale, selon le rap- port de Mme. Ashfield. Pour créer le plan de gestion des actifs,
Le Centre culturel le Chenail n’aura pas de réponse concernant le renouvel- lement de son bail pour la Maison de l’Île avant décembre 2024, d’après un rapport présenté au conseil de la ville de Hawkesbury lors de la rencontre du 8 avril. Le rapport a été préparé par Jennifer Ashfield, chargée de projet pour la ville de Hawkesbury. Le rapport établit une ligne de temps pour la préparation du plan de gestion des actifs de la ville de Hawkesbury et pour la préparation d’un rapport sur le résultat d’analyses de sondage et de consultations
La Seigneurie, Centre de généalogie et d'histoire de Hawkesbury FIÈRE Né d’une race
Le Centre culturel Le Chenail n’aura pas de réponse concernant le renouvellement de son bail pour la Maison de l’Île, selon un rapport préparé par la chargée de projet Jennifer Ashfield et présenté au conseil municipal de Hawkesbury lors de sa réunion du 8 avril. (Photo d’archives)
la ville doit tout d’abord faire l’évaluation de l’état de ses bâtiments pour fournir des informations détaillées sur l’intégralité struc- turelle, la fonctionnalité et les exigences d’entretien de chaque bâtiment. Les responsables de la ville ont indiqué qu’une tierce partie effectuait les évalua- tions des bâtiments. En ce qui a trait à la Maison de l’Île, l’évaluation de l’état du bâtiment est cédu- lée, selon le rapport, le 17 avril 2024. La direction de la Maison de l’Île n’avait pas eu lieu de cette évaluation physique du bâtiment en date du 10 avril. Toutes les propriétés de la ville incluant le complexe sportif Robert Hartley et l’hôtel de ville doivent aussi être évalués pour enfin finaliser le plan de gestion des actifs en juin et le présenter au conseil en août. Sondage et consultation La Ville de Hawkesbury procédera aussi à un sondage pour déterminer la vocation de ses bâtiments en juin et juillet, pour pro- céder à l’analyse des résultats en août. La Ville procédera ensuite à des consultations ciblées concernant la vocation des bâtiments de la ville en septembre, puis procédera à l’analyse du résultat des consultations ciblées en septembre et octobre. Enfin, l’administration présentera les résultats de l’analyse du sondage et des consultations ciblées en décembre. Mme Ashfield a initiallement répondu ne pas pouvoir se prononcer sur le sondage et les consultations ciblées car ils n’étaient tou- jours pas élaborés. Elle a plus tard précisé que «le sondage et les consultations ciblées auront lieu avec le public et les parties pre- nantes de la communauté. L’administration est en train de formuler les questions de l’enquête. Étant donné que les questions ne sont pas finalisées, nous ne sommes pas prêts à les partager». « L’analyse des résultats de ces études, ainsi que les recommandations qui en découleront, sont prévu à être présenté au Conseil en décembre 2024, a-t-elle déclarée. Comme vous le savez, les décisions d’un Conseil municipal surviennent après, et non
avant, la présentation des recommandations de l’administration. Néanmoins, les résultats qui seront présentés au conseil ne sont que des recom- mandations, et le conseil sera ultimement responsable de la décision finale concernant le Centre culturel Le Chenail et la Maison de l’île. Pendant ce temps, le Centre culturel ne sait pas s’il restera à la Maison de l’Île l’an prochain. Toutes les décisions au sujet de la Maison de l’Île depuis la fin 2023 ont été prises à huis-clos. Le conseil d’admi- nistration a donc fortement critiqué ce qu’il qualifie de manque de transparence lors de la conférence de presse du 5 avril pour le lancement de son programme artistique 2024-2025. « Nous sommes une organi- sation d’intérêt public. Quand nos élus municipaux discutent de notre futur, ça doit se faire en public », avait affirmé Gérard Malo, membre du conseil d’administration du Chenail. D’après la ligne de temps établie par Mme Ashfield, le centre culturel n’aura pas de réponse définitive avant décembre. Historique Le 1er mars 2024, la direction du Centre culturel Le Chenail a reçu une lettre de la Ville de Hawkesbury, signée par le directeur général de la Ville Samuel Cardarelli, affir- mant que la Ville n’est pas présentement disposée à permettre au centre culturel de demeurer dans la Maison de l’Île en tant que locataire, sauf pour une période d’un an. M. Cardarelli informe la direction du centre culturel que « la ville compte procéder à une évaluation de toutes ses propriétés immobilières » et « déterminer si la ville désire maintenir la vocation présente de ses propriétés immobilières. » Puis, lors de la réunion du conseil du 8 avril 2024, Jennifer Ashfield, chargée de projet à la ville de Hawkesbury, a présenté un rapport au conseil faisant une mise à jour sur l’étude des bâtiments pour produire, cet été, un plan de gestion des actifs et déterminer la vocation des propriétés de la ville d’ici la fin de l’année.
PICHÉ, PICHER
GÉNÉRATIONS 12e Luc (Anne), Lucie (Alain), André (Beth), Jean (Marie-Claude), Claudine 11e Germaine Piché – Eddy Rouleau, fils de Joseph et Edwilda Lalande, m. le 1957-12-28 à Saint- Alphonse-de Liguori, Hawkesbury, Ont. 10e Armand Piché - Olga Ladouceur, fille de James et Emma Desjardins, m. le 1928-01-31 à Saint- Grégoire-de-Nazianze, Vankleek Hill, Ont. 9e Prosper Antoine Piché, journalier - Albina Lecomte, fille d’Augustin, journalier, et Delphine France, m. le 1894-05-14 à Saint-Alphonse-de-Liguori, Hawkesbury, Ont. 8e Prosper Piché (1835-1907), journalier – Marie Anne Godin dit Chatillon (1842-1895), fille de Baptiste et Adèle Dalonnier, m. le 1859-11-28 à Saint-Jean-Baptiste, L’Orignal, Ont. 7e Joseph Picher - Marie Lagarde/Saint-Jean, fille de François, cult., et Élisabeth Joly, m. le 1838-10-15 à Saint-Eustache, Qc 6e Jean Baptiste Picher, cult. – Marie Louise Lavoie, fille de Louis, laboureur, et Marie Montreuille, m. le 1807-10-06 à Saint-Martin, Île-Jésus (Laval), Qc 5e Jean Baptiste Piché, laboureur - Louise Monciaux, vve de Jean Baptiste Chorette, fille de Pierre et Marie Dénoyer, m. le 1783-02-04 à Saint-Martin, Île-Jésus (Laval), Qc 4e Adrien Piché - Madeleine Mat, fille de Nicolas et Rose Godin, m. le 1753-01-15 à Sainte-Famille-du- Cap- Santé, Cap-Santé, N.-F. 3e Pierre Piché - Scolastique Lesage, m. le 1724-07-24 à Sainte-Famille, Cap-Santé, N.-F. 2e Adrien Piché - Élisabeth Léveillé, m. le 1694-11-22 à Saint-François-de-Sales, Neuville, N.-F. 1re Pierre Picher, ou Pichet dit Lamusette (1632-1713), avait épousé Marie Lefebvre en France avant 1662. - Catherine Durand (~1649-1732), fille de Pierre et Jacquette Courtois, fille du roy (landry 310, dumas 235)contrat de mariage le 23 novembre 1665, greffe Michel Filion, m. le 1665-11- 25 à Notre-Dame, Québec, Nouvelle-France, réhabilitation du mariage le 1673-09-09 2 La graphie des patronymes est celle des actes eux-mêmes Que se passe-t-il au pays alors que Pierre et Catherine fondent leur famille ? « Sous les ordres du marquis de Tracy, le régiment de Carignan-Salières érige des forts, ravage des villages et démontre la puissance militaire française. Les Haudenosaunees font la paix. Quatre cents soldats restent au pays pour le coloniser. La royauté facilite également la migration de quelque 850 filles à marier » (voir Filles du roi3), « pour la plupart, orphelines de militaires. On favorise la nuptialité rapide et la natalité. Quand les descendants et les descendantes de ces personnes isolées arrivent à l'âge de s'établir, vingt ans plus tard, la structure démographique est changée. D'une femme pour six hommes qu'elle était en 1663, la répartition entre les sexes devient sensiblement égale. Dorénavant, la population se renouvelle à 90 % grâce aux enfants nés dans la colonie.4 » François-Bernard Côté, membre de La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, a préparé cette lignée pour rendre hommage aux ancêtres paternels de Germaine Piché, épouse de feu Eddy Rouleau. Le premier ancêtre en Nouvelle-France est Pierre Piché ou Pichet dit Lamusette, fils de Pierre Piché ou Pichet et Anne Piaut ou Piant, mariés avant 1632, de Saint-Georges, Faye-la-Vineuse, Indre-et-Loire, France. « Pierre se retrouve bigame par accident, son frère Louis lui ayant écrit que sa femme était morte, alors qu'elle vivait encore. 1 ». Six fils et deux filles verront le jour à Québec et Neuville.
1Généalogie des Français d'Amérique du Nord, ©2005-2013 Denis Beauregard 2Id. 3www.histoirefillesroy.ca 4https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/nouvelle-france
Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1
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