Carillon_2020_08_20

C O L L E C T I V I T É

LES CADETS DE LA SQ MONTRENT LA VOIE AUX ENFANTS ANDRÉ FARHAT andre.farhat@eap.on.ca

la sécurité routière. On y parle de signaux et de signalisation, des réflexes à prendre et des mauvaises habitudes à ne pas prendre. Évidemment, on y enseigne l’importance du casque, et comment bien enfiler l’attacher. Puis, les enfants se dirigent à l’extérieur sur une des multiples terrasses du CPE dont la capacité a doublé à la faveur d’importants travaux d’agrandissement. Là, toujours aussi absorbés, les enfants participent à un jeu- questionnaire où on revient sur le contenu de la vidéo. Le cadet Dubois fait bien rigoler les enfants lorsqu’il met son casque à l’envers. «Est-ce que ça va comme ça? » «Non!!!», les enfants répondent-ils tous en chœur. Il leur demande : «Quand on voit une lumière rouge, qu’est-ce qu’on fait?» Après un moment de réflexion, plusieurs crient «on arrête!!!». La cadette Lapointe les félicite. «Ils ont bien écouté, c’est très impressionnant!» Comme chez les grands, les leçons

Les cadets de la Sûreté du Québec ont été très actifs dans Argenteuil cet été. Après les banques alimentaires et les marinas, c’est au tour des services de garde de bénéficier de leur présence. Vendredi matin. Les Cadets de la Sûreté du Québec Gabriel Dubois et Claudie La- pointe entrent dans le Centre de la petite enfance (CPE) La Puce à l’oreille à Saint- André-d’Argenteuil, tout comme ils l’ont fait plus tôt au CPE du même nom à Grenville. Leur mission : montrer aux enfants comment se promener en toute sécurité à vélo, en trottinette ou en patins. Dans le grand local, deux groupes d’enfants de 4 et 5 ans ont regardé, cap- tivés, un dessin animé où deux enfants apprennent les différents rudiments du code

Né d’une race FIÈRE OLIGNY

Les cadets de la Sûreté du Québec ont appris ou rappelé aux petits les mesures de sécurité élémentaires sur la route, lorsqu’ils sont sur deux, trois ou quatre roues. —photo André Farhat

théoriques s’accompagnent de cours pra- tique. Les enfants courent à la piste ovale aménagée pour les vélos, trottinettes et voiturettes situées à l’arrière de la grande cour. Et là, les cadets plantent un panneau d’arrêt, on joue aux agents de circulation, avec le concours enthousiaste et discipliné des enfants. Une initiative qui roule depuis longtemps Ce programme éducatif, nommé GéniVélo, a été développé il y a plus de 15 ans par la Société d’assurance automobile du Québec. L’initiative a plu à la direction du CPE La puce à l’oreille. « C’est une action appré- ciée, surtout en temps de COVID », affirme Geneviève Richer, du centre de Saint-André- d’Argenteuil. « On voudrait bien que ça se répète.»

C’est le sentiment qu’observe un peu partout la sergente Marie-Josée Gervais, coordonnatrice locale en police commu- nautaire au centre de services de la SQ. « C’est assez populaire, affirme-t-elle, il y a toujours des évènements qui se passent et qui font que c’est bon de revenir sur les principes de base. » Plusieurs camps de jour, services de garde et maisons des jeunes ont d’ailleurs déjà fait la demande pour cette activité de sensibilisation, dont le contenu est évidemment adapté selon les âges. Avec la rentrée qui s’amorce bientôt, les cadets aussi retournent à leurs études en techniques policières : le cadet Dubois suit sa formation à Québec, et la cadette Lapointe, à Montréal.

Jean Olignis (graphie à son baptême), est né vers 1739 à Limoges, Saint-Mathurin-Léobazel, France, décédé à Saint-Luc le 10 janvier 1810 (71 ans) ; il vint au Canada comme soldat dans les armées du roi, à l’époque de la conquête anglaise, et c’est en cette qualité qu’il arriva en Nouvelle-France en 1755. Jean Oligny passa son contrat de mariage le 18 février 1759. Il épousera plus tard Françoise Motier, fille de François, caporal de la compagnie de M. Chavoy de Noyan et Marie Duhautmany, décédée à Saint-Cyprien-de-Léry (maintenant Napierville), le 14 octobre 1828 à 86 ans. GÉNÉRATIONS 8e Nicole Ricard, maîtresse de maison - Gaston Lahaie, comptable, fils de Mélasippe Lahaie et Aurore Sénécal m. le 1962-05-05 à Saint-Michel, cté de Napierville, Qc 7e Germaine Oligny - George Ricard, cult., fils de Joseph, cult. et Marguerite Trudeau m. le 1936-11-07 à Saint-Rémi, cté de Napierville, Qc 6e Aimé Oligny, cult., 25e maire de la paroisse de Saint-Rémi, cté de Napierville, Qc – Philomène Desgroseillier, fille de Joseph, cult. et Claire Boursier m. le 1890-10-21 à Saint-Rémi-de- Lasalle, Saint-Rémi, cté de Napierville, Qc 5e Théophile Oligny, cult. - Claire Lefebvre, fille de Jean Baptiste, journalier et Josephte Grenier m. le 1855-09-24 à Saint-Rémi de Lasalle, Saint-Rémi, cté de Napierville, Qc 4e Isaac Oligny, cult., de Norton Creek, 4e maire de la paroisse Saint-Rémi (1860-1862) - Clotilde Beauvais, fille de Charles Beauvais et Rose Bétourné, résidant « au Détroit » et Ignace Migou, tuteur, oncle maternel, et Dominique Longtin, oncle paternel m. le 1821-02- 26 à Saint-Constant, Qc 3e Joseph Olligni/Louvergna, laboureur - Marie Thérèse Gabouriaux/Lapalme, fille de Louis et Marie Agathe Davignon m. le 1792-11-06 à Chambly, Qc 2e Jean Baptiste Oligni/L’Ouvergna, soldat du roi, et Françoise Moitier, (aussi Moitié et Moquier), fille de François, caporal de la Cie de M. Chavoy de Noyan et Marie Duhautmany c.m. le 1759-02-18 (greffe Sous seing privé, ANQ Mtl) 1re Jean Oligny/Mathurin et L’Ouvergnat - Jeannette Balle, originaires de Saint-Mathurin- Léobazel, Camps-Saint-Mathurin-Léobazel, département de la Corrèze, région de Nouvelle- Aquitaine, diocèse de Tulle, Limousin, France. Il portait le surnom de Mathurin qui lui venait sans doute, de son lieu d’origine. m. avant 1743 Léon Robichaud, dans son article D’une baie à un golfe, nous parle de la Nouvelle-France au moment où Jean Baptiste et Françoise Moitier fondent leur famille. « Quel grand territoire que celui de la Nouvelle-France ! Les explorateurs n'ont jamais cessé de découvrir de nouveaux lieux et d'en prendre possession au nom du roi de France. En 1745, le territoire de la Nouvelle-France s'étend de Terre-Neuve jusqu'au Mexique. Les climats d'un bout à l'autre du territoire sont très différents. Dans la vallée du Saint-Laurent, l'été est court et les hivers sont rigoureux. Les sols de la vallée sont très fertiles, mais il faut bien choisir les cultures pour qu'elles puissent pousser avant l'hiver et résister au climat nordique. Le nord de la colonie est riche en fourrures et en bois, ce qui est très important pour le commerce. Mais puisque l'hiver tout est gelé, même le fleuve, les activités sont donc au ralenties. … Dans le sud de la colonie, … la vie est bien différente. … Les bateaux peuvent s'y rendre à l'année, ce qui aide beaucoup le commerce. On ne cultive pas les mêmes plantes que dans la vallée du Saint-Laurent. On cultive plutôt le sucre et l'indigo (teinture bleu) dont on fait commerce. Le territoire de la colonie est donc si grand qu'à un bout on connaît la neige, tandis qu'à l'autre extrémité, c'est comparable aux pays chauds. » Collaboratrice : Suzanne Gendron 1Généalogie des Français d’Amérique du Nord, file:///D:/gfan/034/034464.html 2https://primaire.recitus.qc.ca/sujet/organisation/nouvelle-france-1745

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