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"$56"-*5 4r/&84 « LES ARTS FIGURÉS » ANNULÉ COMME DEUX MANNEQUINS DISPARAÎT

GABRIELLE VINETTE gabrielle.vinette@eap.on.ca

« Les arts figurés ». Ce n’est pas la première fois que les mannequins ont été vandalisés. En juillet, trois mois après le début du concours, le mannequin « Euphie (pour Euphémie) » de France Couillard, placé aux Créations Mes- moizelle, a vu des détails de sa conception arrachés, le chapeau de « Connexion » a été volé, puis « Mademoiselle » a perdu son bras et un sein. Ce mardi 20 août, la Corporation a arrêté le vote public. Le mercredi, tous les man- nequins ont été enlevés et placés dans un endroit sécurisé. « Tout a été bousculé, » a dit Mme Leblanc. les résultats du concours décevamment tronqué seront dévoilés le jeudi, 29 août à 18h30 au SEFA.

Un autre mannequin a été vandalisé puis deux mannequins ont été volés, forçant la Corporation de la revitalisation du centre-ville de Casselman d’annuler le concours «Les arts figurés». Le mercredi 7 août, le mannequin « Mademoiselle » de Christine Lenoir Godin, qui était chez Jean Coutu, est disparu. Le vendredi 16 août, le mannequin « Connexion » d’Elise Laflèche, qui était à l’Édifice National, a aussi disparu. Deux jours plus tard, les deux bras du mannequin « Une communauté grandissante » de Anne-Marie Villemaire, qui était à la bibliothèque de Casselman, ont été brisés. « C’est tellement difficile et dérangeant de voir un si beau projet se terminer comme ça, » a dit Francyn Leblanc, fondatrice de la Corporation de la revitalisation du centre-ville de Casselman et organisatrice du concours

Following the vandalizing of a second mannequin and the disappearance of two others, the contest ‘Les arts figurés’ has come to an end earlier than planned. Contest winners will be announced on Thursday, August 29 at 6:30pm at the SEFA. Municipality of Casselman, Facebook)

« Cela touche toute une communauté. Cela ne touche pas seulement les artistes puis les gens qui ont organisé le projet. C’est très dérangeant. C’est pour cela qu’il faut espérer qu’on en tire le son puisqu’il va y avoir des actions prisent pour s’assurer que ça ne se reproduise pas c’est vandalisme. »

LA MARCHE « LA RUE, LA NUIT, FEMMES SANS PEUR » VIENT À L’ORIGNAL GABRIELLE VINETTE gabrielle.vinette@eap.on.ca

La 17ième Marche des femmes: « La rue, la nuit, femmes sans peur » se produira le 18 septembre à 18 h 30 à l’École élémentaire catholique Saint- Jean-Baptiste à L’Orignal. L’année passée, la Marche a pris place à Rockland, d’on près de 150 personnes ce sont présenter. Une douzaine de kiosque par les organismes communautaires était pré- sent. Audray Lizotte, directrice régionale de Centraide de l’est de l’Ontario, est confiante qu’il y en aura autant pour cette Marche. « Cette Marche est une invitation à se réapproprier l’espace publique afin de pro- tester contre la violence, le sexisme, la peur, et l’exploitation sexuel dont les filles et les femmes sont trop souvent victime, » a dit Valérie Charbonneau, Directrice générale du centre Novas. Au Canada, une femme sur trois va subir une agression sexuelle au cours de sa vie. « Cet évènement est bien plus qu’une simple marche. C’est un moment crucial ou nous nous rassemblons pour affirmer notre engagement à créer un environnement ou chaque femme et chaque fille peux se sentir en sécurité et respecter, » a dit Maire Normand Riopel du canton de Champlain. Le comité organisateur de la Marche contient des membres de la Maison Inter- lude House, Centraide de l’Est de l’Ontario, Leadership féminin Prescott-Russell, et le Réseau des femmes immigrantes franco- phones de Prescott-Russell. « Dans notre canton, nous nous efforçons de créer une communauté ou chaque femme et chaque fille se sentent en sécurité, res- pecter, et valoriser. La Marche des femmes est un rappel puissant que nous devons tous nous unir pour garantir que nous soit sécuri- taire pour tout le monde à tout moment et en tout lieu, » a dit Ginette Clément, conseillère du quartier 3 de Longueuil et représentante officielle de la Marche pour le canton de de Champlain. La naissance de la Marche des femmes L’idée a été conçu en 1978 quand des

Organizing committee members of the Take Back the Night march (from left to right): Audray Lizotte, Regional Director of the United Way of Eastern Ontario, Valérie Charbonneau, Executive Director of Centre Novas, Sydney Collard, Champlain Township Parks and Recreation Director, Ginette Clément, Champlain Township Councillor, Marie-Noëlle Lanthier, President of Leadership féminin Prescott et Russell, Normand Riopel, Champlain Township Mayor. (Canton de Champlain)

LA PPO CHERCHE À IDENTIFIER UN SUSPECT DE VOL DE VOITURE

femmes manifestaient contre la pornogra- phie dans les rues de San Francisco. Elles lançaient le mot d’ordre Take back the night! (Reprenons la nuit!). En 1980, la première de cette manifesta- tion se déroule dans trois villes au Québec et une douzaine de villes au Canada. L’année d’après, chaque troisième ven- dredi de septembre devient officiellement le jour où les femmes manifestent contre la violence sexuelle grâce à l’initiative du Regroupement québécois des centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) et l’Association canadienne et américaine des centres contre le viol. La région de Prescott et Russell ont choisi de troisième mercredi du mois pour avoir un plus grand nombre de participants. Puis en 1985, le Regroupement québé- cois des CALACS propose « La rue, la nuit, femmes sans peur » et de devenir la journée d’action contre la violence faite aux femmes.

Le détachement de Hawkesbury de la PPO cherche à identifier un individu soupçonné de vol de voiture à L'Orignal le 18 août. L'individu a été capturé par des caméras de surveillance et semble être un homme caucasien avec les cheveux châtain clair. (Photo fournie par la PPO)

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