ACTUALITÉS SELON UN SONDAGE, LE GOUVERNEMENT DEVRAIT FAIRE PLUS POUR LES MINORITÉS FRANCOPHONES JOSEPH COPPOLINO nouvelles@eap.on.ca
fédéral doit en faire plus. Cependant, 42 pour cent des répondants ont déclaré que c’était le rôle des provinces d’assurer le développement économique de la commu- nauté minoritaire. Plus de 60 % des répondants ont déclaré être préoccupés par l’augmentation du coût de la vie, et plus de 40 % d’entre eux ont estimé qu’ils vivaient dans une situation financière précaire. Ce chiffre atteint 67 % chez les personnes âgées de 75 ans et plus. En outre, l’enquête a révélé que les répondants avaient une vision particulière- ment pessimiste de leur avenir financier, 70 % d’entre eux estimant que leur situation restera stable ou se dégradera au cours des 12 prochains mois (35 % et 35 % respecti- vement). Seuls 31 % d’entre eux estiment que leur situation financière va s’améliorer.
Un nouveau sondage a révélé qu’environ 40 % des francophones souhaitent que les gouvernements fédéral et provin- ciaux investissent davantage dans le développement économique des com- munautés francophones, tandis que plus de 40 % d’entre eux estiment vivre dans une situation de « précarité financière ». Le sondage, commandé par le Réseau de développement économique et d’employabi- lité du Canada (RDÉE), a été mené auprès de 501 francophones vivant en situation minoritaire au cours du mois d’avril 2024. Les résultats ont été publiés à la fin du mois de juillet. Trente-neuf pour cent des répondants croient que le gouvernement provincial doit en faire plus pour appuyer le développement économique des francophones, tandis que 41 pour cent croient que le gouvernement
Un sondage a révélé que les francophones vivant hors du Québec souhaitaient un soutien accru de la part des gouvernements provincial et fédéral, en insistant particulièrement sur l’importance des entreprises et du tourisme francophones. (Photo d’archive)
Les entreprises sont essentielles au développement économique
l’industrie touristique est cruciale pour la survie et la vitalité des communautés fran- cophones en situation minoritaire. Une vaste majorité, soit 82 % des répon- dants, ont affirmé que les entreprises de langue française sont essentielles à la survie de la langue française en particulier. Plus de la moitié des répondants disent avoir un attachement personnel à ces entreprises, mais seulement 52 % disent y acheter des biens et services. Par ailleurs, 74 % des personnes interro- gées considèrent que l’industrie touristique francophone est particulièrement impor- tante, surtout chez les 18-24 ans (79 %). La pénurie de main-d’œuvre demeure un problème La pénurie de travailleurs francophones
demeure une préoccupation pour les communautés francophones - 64 % des répondants ont noté une pénurie de travail- leurs francophones dans leur communauté, particulièrement dans les secteurs de la santé (56 %) et de l’éducation (43 %). Les résultats du sondage font suite à une vague d’investissements des gouvernements fédéral et provincial dans les organismes francophones de l’Ontario afin de renforcer leur capacité à embaucher, à former et à retenir des travailleurs francophones. Le président-directeur général du RDÉE, Yan Plante, espère que le sondage jouera un rôle dans le discours public sur l’appui aux communautés francophones en situation minoritaire et qu’il comblera les lacunes en matière de politiques à l’avenir.
Les répondants ont également indiqué que la croissance des entreprises et de
La Seigneurie, Centre de généalogie et d'histoire de Hawkesbury FIÈRE Né d’une race
BARBEAU
UN TROISIÈME DÉCÈS EST LIÉ AU LAIT VÉGÉTAL CONTAMINÉ PAR LA LISTERIA
La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, présente cette lignée généalogique d’une famille Barbeau préparée par Suzanne Gendron, pour rendre hommage aux ancêtres paternels d’Emélia Barbeau. Le premier ancêtre au pays est François Barbot, fils de Jacques et Jeanne Cornuelle, de Sainte- Radégonde, ville et évêché de Soissant, Poitiers, France, mariés avant 1649.
GÉNÉRATIONS
NICOLE IRELAND La Presse Canadienne
8e Marie Evelina Trudeau - François-Xavier Lahaie, cult., fils d’Émilien, cult. et M. Louise Gauthier, m. le 1916-10-17 à Saint-Michel-Archange, Napierville, Qc 7e Emélia Barbeau – Vitalien Trudeau, cult., fils de Théodule, cult. et Cécile Guérin, m. le 1896-01-27, à Saint-Michel-Archange, Napierville, Qc 6e Jean Baptiste Barbeau, entrepreneur-maçon, vf d’Éléonore Bertrand en 1res noces, vf d’Adélaïde Gauvreau en 2es noces - Émérande Robidoux, fille de François Xavier et Louise Boire, m. le 1874- 11-25, à la Basilique Notre-Dame, Montréal, Qc 5e Joseph Barbeau, cult. – M. Archange Brière, fille de Louis et Marie Robin, m. le 1795-01-19, à Saint- Louis-de-France, Terrebonne, Qc 4e Joseph Barbeau (1741-…) - Marie Latour, fille de Jean-Louis et M. Catherine Omier (Aumier), m. le 1769-08-21, à Saint-Louis-de-France, Terrebonne, N.-F. 3e Joseph Barbot (…-…) – M. Josèphe Loisel (…-1743), fille de Louis et Marieanne Michel, m. le 1741-10- 17 en 1res noces de 3, à Charlesbourg, N.-F. 2e Jacque Barbot (1676-1747) – Marianne Buisson (~1687-1747), fille de René et Anne Lainé, m. le 1702- 02-27, à Charlesbourg, Nouvelle-France 1re François Barbot (~1649-1711), sabotier – Margueritte Hédouin (~1655-1718), fille de François et Catherine Le Roy, fille du roi (landry 325, dumas 257), m. le 1671-08-24, à Notre-Dame-de-Québec, Qc La graphie des patronymes est celle des actes eux-mêmes.
Une troisième personne de l’Ontario est décédée de l'éclosion de Listeria liée aux boissons végétales Great Value et Silk, a annoncé lundi après-midi le ministère de la Santé de la province. Cette déclaration fait suite à une mise à jour sur l’éclosion publiée lundi par l’Agence de la santé publique du Canada, qui a indiqué qu’il y avait 20 cas confirmés de personnes atteintes de listériose — la maladie causée par la bactérie Listeria — dans quatre provinces. Les produits touchés comprennent le lait d’avoine, le lait d’amande, le lait de coco, le lait d’amande-coco et le lait d’amande-cajou de marque Silk, ainsi que le lait d’amande de marque Great Value dont la date de péremption est antérieure ou égale au 4 octobre et contenant le numéro 7825 dans le code produit. La contamination par Listeria provient d’une ligne de production dédiée à Joriki Inc., une installation d’emballage de boissons tierce à Pickering, en Ontario, utilisée par le fabricant de lait végétal Danone Canada, a découvert la semaine dernière l’Agence canadienne d’inspection des aliments. Les personnes sont tombées malades entre août 2023 et la mi-juillet 2024, a précisé l’Agence de la santé publique du Canada. Treize des cas se sont produits
en Ontario, cinq au Québec, un en Nouvelle- Écosse et un en Alberta. Les personnes malades sont âgées de 7 à 89 ans et 70 % des cas étaient âgés de 50 ans et plus. Quinze personnes ont été hospitalisées dans le cadre de l’épidémie, a indiqué l’agence. Celle-ci invite les consommateurs à vérifier s’ils ont des produits concernés et les jeter ou les rapporter à l’endroit où ils ont été achetés. L’Agence de la santé publique du Canada indique qu’une troisième personne est décédée à la suite d’une éclosion de Listeria liée aux laits végétaux Great Value et Silk. Sur la photo, un étalage de laits végétaux de la marque rappelée Silk, en juillet 2024 dans une épicerie de l’Ontario. (Sean Kilpatrick, La Presse Canadienne)
Que se passe-t-il en Nouvelle-France alors que François et Margueritte fondent leur famille ? L’historienne Lynne C. Lévesque répond à cette question dans son blogue du 15 janvier 2016.
« En 1671, l’année où Jeanne est arrivée en Nouvelle-France, on commençait à défricher le pays, selon un système d’octroi de terres basé sur le régime féodal français modifié par les premiers colons. Les premières concessions l’ont été dans et autour de Québec, à l’ouest, vers Trois-Rivières et Ville-Marie (aujourd’hui Montréal), à l’est, le long de la rive nord du fleuve Saint-Laurent, autour des villages de Château-Richer et de l’Ange-Gardien, ainsi que sur l’île d’Orléans, la grande île à l’est de Québec. Étant donné que les terres le long de la rive sud du Saint-Laurent, à l’est de Québec, étaient densément boisées, Jean-Talon, l’intendant du roi, a commencé à faire beaucoup d’octrois de terres, à cet endroit, l’année suivante (en 1672), afin de permettre à la colonie de s’étendre. La stratégie pour coloniser la Nouvelle-France était d’octroyer de grandes étendues de terre, ou seigneuries, à des individus qui consentiraient à s’y installer. Au début, en tous cas, les bénéficiaires de ces octrois, les seigneurs, étaient surtout des membres de la noblesse française ou de l’Église ou des soldats qui consentaient à s’établir en Nouvelle- France à la fin de leur service militaire. 1 » 1 https://www.lynnelevesque.com/le-systeme-economique-de-la-nouvelle-france-en-1671/#:~:text=En%201671%2C%20 l'ann%C3%A9e%20o%C3%B9,modifi%C3%A9%20par%20les%20premiers%20colons. Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1
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