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C O L L E C T I V I T É

DES VÉLOS ACCESSIBLES AU COEUR DE LA FORÊT LAROSE

CATHERINE LEFEBVRE catherine.lefebvre@eap.on.ca

la Forêt Larose, située à Limoges. Puis, l’idée de poursuivre la location et d’ouvrir un bikeshop est venue. Il était naturel pour Emmanuelle et Jean-Sébastien de s’y installer, puisque ce dernier connait très bien l’endroit. En effet, depuis les débuts, il fait l’entretien des sentiers avec l’Ottawa Mountain Bike Association. «On a une vision, vraiment, de développer des programmes écosociaux dans la forêt, de retourner aux groupes d’intervention qu’on faisait avec les jeunes, d’avoir des projets plus collaboratifs avec la communauté pour contribuer à développer des programmes pour faire sortir les gens, s’activer dans la nature», exprime Mme Larocque. L’entraide et le la formation sont au coeur des valeurs des propriétaires. Un service de co-entretien de vélos sera aussi offert pour rendre les cyclistes auto- nomes et qu’ils soient en mesure d’effectuer eux-mêmes leurs réparations. De plus, le volet écologique n’est pas oublié. Par exemple, plutôt que de vendre plusieurs petites bouteilles de plastique de produits, une machine de remplissage a été achetée. Et le produit utilisé est biodégradable. Des vélos à suspension simple, double, des vélos pour enfants et des fatbikes seront disponibles à la location. «On mise sur la qualité pour que les gens aient une belle expérience», explique Emmanuelle. Toutes les clientèles ont accès aux équi- pements, autant les enfants que les adultes. Pour Mme Larocque, qui fait du vélo avec son conjoint et leurs deux enfants, c’est une activité familiale à privilégier et il est important qu’elle soit accessible à tous. L’ouverture du Bikeshop est prévue le 4 juin, dans le stationnement P1 de la Forêt Larose, de façon graduelle, dû aux restric- tions sanitaires et à la pénurie de pièces de vélo en raison de la grande popularité soudaine du sport. Les gens peuvent déjà réserver leurs vélos sur le site du centre www.thema- nacentre.com.

Né d’une race FIÈRE DESMARAIS

Emmanuelle et Jean-Sébastien Larocque, un couple de travailleurs sociaux et amoureux de la nature se lancent dans la location, la vente ainsi que la réparation de vélos au cœur de la forêt Larose à Limoges. Plus qu’un projet de simple magasin de vélo, c’est dans une approche globale de bie- nêtre en lien avec les bienfaits de l’exercice physique, l’environnement et la formation qui est préconisé par ces passionnés de vélo de montagne. Après avoir vécu en Nouvelle-Zélande et être revenus au Canada en 2012, Emmanuelle et Jean-Sébastien Larocque, travailleurs sociaux, opèrent le centre MANA, leur propre entreprise de pratique privée. C’est ainsi que le couple s’intéresse parti- culièrement à une approche qui permet de connecter les gens à la nature et prôner les interventions thérapeutiques par le sport et le plein air. D’ailleurs les Larocque travaillent de concert avec les écoles et organisent des groupes d’intervention pour faire sortir les jeunes à l’extérieur, les débrancher, les faire décrocher, bouger et se connecter avec la nature. Mais en raison de la pandémie, les contrats avec les écoles ont été annulés cette année. Malgré tout, la mission du couple prend encore plus de sens. Dans les derniers mois, les gens ont passé beaucoup de temps devant leurs écrans, notamment à cause du télétravail et des cours en ligne. De plus, les mesures sanitaires n’ayant pas permis les rencontres intérieures et la fermeture des commerces ont fait naitre un engouement pour les activités extérieures. Selon l’OMS, prendre régulièrement des pauses pour se reposer des activités pas- sées devant les écrans est essentiel et faire de l’exercice permet aussi une meilleure hygiène de vie. L’hiver dernier, le couple Lemosin louait des vélos aux utilisateurs des sentiers de

SuzanneGendron,membredeLaSeigneurie, centredegénéalogieet d’histoiredeHawkesbury, désire rendrehommage auxancêtrespaternelsdeDenisDesmarais. Lepremier ancêtreaupaysestPaulDesmarest, filsdeJacquesetMarieMarthe Laporte de Saint-Sauveur, ville et archevêché de Paris, France. Cinq filles et sept fils sont issus de cemariage. Paul décède le 28 août 1742 et est inhumé le lendemain àVerchères etMariedécède après le 29 janvier 1749. GÉNÉRATIONS 9e Denis Desmarais – Jacqueline Lahaie, fille de Mélasippe et Aurore Sénécal, m. le 1951-05-26 Saint-Rémi-de-Napierville, Qc 8e Gédéon Desmarais (1899- …), journalier – Blanche Lemieux, fille de Georges et Emma Barrette, m. le 1924-07-01 à Saint-Rémi-de-Napierville (maintenant Saint-Rémi), Qc 7e Hercule Desmarais (1856-1911), cult., vf de Sophranie Riendau (1862-1894), fille de Moïse, cult. et Henriette Charbonneau – Marie Exilda Prud’homme, fille de Louis, rentier, et Élise Huberdeault, m. le 1895-11-04 juillet à Sainte-Philomène, Mercier, Qc 6e François Desmarais, journalier – Julienne Daigneau (1820-1903), fille de François et Marie Latrémouille, m. le 1834-10-07 à Saint-Rémi-de-Napierville, (v. 8e génération), Qc 5e François Desmarest, cult. – Marie Louise Sorel /Laporte, journalière, fille de Michel et Marie Anne Provost, m. le 1812-02-10 à Saint-Constant, Qc 4e François Desmarais (1750 -…) – Magdeleine Bourdon (1754- … ), fille de François et Marguerite Laporte, m. le 1773-02-01 à Saint-Sulpice, Qc 3e François Maray – Marie Catherine Gautier/Landreville, fille de Pierre et Marie Anne Provost, m. le 1749-07-28 à Repentigny, N.-F. 2e François Desmarais (1698-1765) – Marie Thérèse Pastourelle (~1696 - 1777-06-17), fille de Claude et Margueritte Mousseau, m. le 1723-01-15 à Saint-Sulpice, N.-F. 1re Paul Desmarest (~1656 – 1742-08-28) – Marie Tetro (1664-03-07 – …), fille de Louis et M. Noëlle Landeau, c. de m. le 1681-10-14, greffe Antoine Adhémar, m. le 1681-10-14 à Champlain, Nouvelle-France 1 Que se passe-t-il en Nouvelle-France au moment où Paul et Marie fondent leur famille ?

« Le dollar canadien : une perspective historique

En raison de la qualité incertaine des pièces espagnoles, un arrêt de 1681 rendit obligatoire la pesée des pièces de monnaie étrangères, puis, en 1683, celles-ci durent être évaluées de façon individuelle. Les piastres espagnoles en métal plein étaient marquées d’une fleur de lis et valaient quatre livres; selon leur poids, les pièces de monnaie de plus faible teneur en métal étaient estampillées d’un chiffre romain I, II, III ou IIII (qui s’ajoutait à la fleur de lis), les pièces les plus légères n’ayant qu’une valeur de trois livres. » 2

1 Généalogie des Français d’Amérique du Nord, Denis Beauregard, c2005-2013 2 https://www.banqueducanada.ca/wp-content/uploads/2010/07/1600-17701.pdf

Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1

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