CARILLON_2015_01_28

ACTUAL I TÉ

Casse-tête de déneigement sur le boulevard Cartier

CHANTAL QUIRION chantal.quirion@eap.on.ca

cela poserait des problèmes aux résidents qui ont besoin de sortir leur voiture pour déneiger leur cour après une bordée. Ce dernier a plutôt lancé l’idée de reprendre les travauxmenés l’été dernier pour rétrécir le terre-plein afin de corriger la situation, ceci avant d’étendre la deuxième couche d’asphalte. Les élus n’ont pas débattu cette sugges- tion, compte tenu qu’elle ne faisait pas l’objet de cette réunion extraordinaire du 22 janvier, qui portait plutôt sur la phase subséquente des travaux, soit dans le secteur de la rue Lansdowne. Néanmoins, les conseillers se sont montrés très pointilleux quant aux plans proposés et le déneigement pour ce futur

portion de la piste cyclable sur la rue Cécile a cependant semblé retenir l’attention du conseil dans lamesure où elle pourrait aussi servir sur la piste qui sera aménagée sur la rue Lansdowne. Comme la bande asphaltée de la piste n’est pas aussi robuste que la voie routière, en faire l’entretien avec la charrue risque de l’abimer avec le temps. Les élus ont mandatéM. Lavoie de s’infor- mer des prix d’un tel investissement. D’autre part, cela permettrait de régler un autre pro- blème, celui de l’accumulation de bancs de neige plus concentrés à cause de la nouvelle

conception, sur Cartier, bancs laissés par la charrue. Toujours selon M. Lavoie, ces dépôts de neige représentent, en mètres cube, la même quantité qu’autrefois mais sont disposés autrement. Ils sont conden- sés dans un espace plus étroit, ce qui peut porter à croire qu’ils sont plus importants. Néanmoins, la souffleuse permettrait de régler cette problématique. Une résidente de la rue Cartier a porté plainte et indiqué son intention de faire circuler une pétition. Le problème du dénei- gement de la rue demeure toutefois entier. policiers et d’avoir sa propre Commission des Services policiers. Pour l’inspecteur MacKillop, la Commission s’avère un lien précieux entre la municipalité, les citoyens et les policiers, vu la taille importante et le profil de la Ville. Hawkesbury verra sa facture diminuer à chaque année d’ici 2019. L’an dernier, les projections allouaient 4,1 millions $ pour les services policiers, ce qui représentait un coût de 730$ par propriété. Pour 2015, les projections sont de 3,88 millions $, ce qui équivaut à 700$ par propriété. Ainsi, jusqu’en 2018, 30$ par propriété seront retranchés à chaque année et 72$ en 2019. De cette façon, le coût global passera de 3,88 millions $ en 2015 à 2,9 millions $ en 2019, soit 538$ par propriété.

Le projet de réfection du secteur Cécile et Cartier à Hawkesbury n’est pas com- plété que, déjà, des lacunes importantes sont constatées. La nouvelle conception ne permet pas à la charrue de passer si des voitures sont stationnées, même en relevant la gratte. Interrogé par notre journal en décembre dernier, le directeur général de l’époque, Jean-Yves Carrier, avait répondu que le dé- neigement ne devrait pas être un problème et qu’il y aurait toujours moyen de trouver des solutions. Or, pour l’instant, la solution

Nouveau contrat avec la PPO

adoptée a été le dénei- gement de nuit, soit pendant la période où le stationnement est interdit. La situation demeure probléma- tique par contre, selon Alain Lavoie, surin- tendant des travaux

projet, en raison des déconvenues sur Cartier/Cécile qui sont revenues souvent sur le sujet au cours des dis- cussions, avec une certaine pointe de frustration.

CHANTAL QUIRION chantal.quirion@eap.on.ca

Le conseil municipal de Hawkesbury a pris la décision de conclure une nouvelle entente avec la Police provinciale de l’Onta- rio (PPO) pour une durée de cinq ans. Les élus se sont prononcés lors de la réu- nion ordinaire, le lundi 26 janvier. L’entente couvre la période de janvier 2015 au 31 dé- cembre 2019. L’inspecteur Bryan MacKillop avait fait valoir, lors d’une réunion précédente, que le fait d’avoir ou non un contrat n’influence pas vraiment le coût du service. Selon lui, les avantages du contrat résident plutôt dans un pouvoir accru de la Ville de pouvoir don- ner son opinion sur la gestion des services

publics par intérimà la Ville de Hawkesbury. Par exemple, elle ne permet pas l’épandage du sel pendant la journée et les caprices de damemétéo sont imprévisibles. En fait, cela pourrait se faire en retirant la gratte, mais il y aurait des coûts reliés à cette opération. D’une part, le temps, d’autre part, sau- poudrer un abrasif sur une chaussée ennei- gée est beaucoup plus onéreux, dit-il encore. Quant à interdire le stationnement de jour,

«On a fait confiance et on voit bien où cela nous a mené», a martelé la conseillère Johanne Portelance, au coordonnateur des projets capitaux pour la Ville de Hawkes- bury, Guillaume Boudrias, ainsi qu’à Roger Quesnel, gérant de projets pour la firme d’ingénierie Ainley Graham & Associates Ltd, venus pour présenter les plans sur Lansdowne. L’achat d’une souffleuse pour entretenir la

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