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ANDRÉ MCNICOLL SERA AUSSI CANDIDAT À LA PARTIELLE À BROWNSBURG-CHATHAM
FRÉDÉRIC HOUNTONDJI frederic.hountondji@eap.on.ca
laquelle se déroulent parfois les séances du conseil municipal de Brownsburg- Chatham. Pour lui, si certains intervenants lancent des injures, c’est parce qu’ils ne connaissent pas les règlements. Parlant du nouveau règlement sur les périodes de questions, il se réfère aux articles 331 et 332 de la Loi sur les Cités et
Villes pour conclure que c’est le président d’assemblée qui octroie le droit de parole. Il mentionne que si un individu empêche la bonne conduite de la séance, le pré- sident l’avertit de cesser immédiatement sous peine d’être évincé de la salle. « Le conseil de Ville sur l’avis de son directeur (ou avis juridique) a choisi cette méthode ‘légale’, mais néanmoins sévère », aux yeux d’André McNicoll.
Après Gilles Galarneau et Pierre Leclerc dans L’Argenteuil, c’est André McNicoll qui lève le voile sur sa candidature à l’élection partielle dans le district 1 de Brownsburg-Chatham. « Ce qui motive ma décision c’est que je trouve que les gens ne sont pas informés du fonctionnement d’unemunicipalité. Ils manquent d’informations et je me mets à la disposition des gens du secteur 1 pour leur expliquer en détail comment fonctionne unemunicipalité. Les lois, les règlements, les zonages, je connais tout ça par cœur », a juré M. McNicoll qui a été
LA POLICE SAUVE UNMOTONEIGISTE À SAINT-ANDRÉ D’ARGENTEUIL
André McNicoll sera candidat à la partielle dans le district 1. —photo fournie
Le 16 février dernier, vers 15 h 30, les moto- neigistes de la Sûreté du Québec étaient en direction de leurs postes respectifs, après une journée de travail dans les sentiers des MRC d’Argenteuil et de Deux-Montagnes, lorsqu’ils ont entendu sur les ondes radio qu’unmotoneigiste était en détresse dans le secteur de Saint-André d’Argenteuil. Le motoneigiste s’était égaré du sentier pour s’enliser sous les lignes de haute tension. Les policiers ont fait demi-tour pour se diriger dans cette direction. Avec l’aide de la géolocalisation effectuée par le personnel du centre d’appel de la SQ, ils ont été enmesure d’établir l’endroit où le motoneigiste se trouvait. Les policiers ont localisé l’homme vers 16 h 45 dans le secteur de la rue Bellevue. Ils ont utilisé leurs motoneiges pour sortir lamotoneige de sa fâcheuse position. L’homme de 57 ans de Boisbriand a été en mesure de poursuivre sa route. Il était très recon- naissant et impressionné par les moyens utilisés par l’organisation afin de lui venir en aide.
SOUPÇONS DE FUITE DE GAZ DANS UN MAGASIN
« JE TROUVE QUE LES GENS NE SONT PAS INFORMÉS DU FONCTIONNEMENT D’UNE MUNICIPALITÉ ».
Les pompiers de la sécurité Incendie de Lachute ont été appelés dans l’après-midi du 18 février par les employés de la boutique J. B. Dixon, sur la rue Principale, pour vérifier une fuite de gaz naturel. Les employés sentaient une odeur de gaz naturel dans le bâtiment et voulaient que les pompiers fassent les vérifications nécessaires. Le contrôle effectué dans la boutique à l’aide d’un détecteur par cinq sapeurs-pompiers dépêchés sur les lieux n’a rien révélé d’anormal et n’a pas conclu à une fuite de gaz. « La dame pensait que ça sentait le gaz naturel. C’est unemauvaise senteur dans le bâtiment, on ne sait pas c’est quoi, mais ce n’est pas du gaz. C’est peut-être les égouts. Nos détecteurs détectent des pro- duits inflammables, des combustibles,
mais pas les senteurs d’égouts. Il n’y avait aucune présence de gaz », a tranché André Larche, adjoint à la direction à la sécurité Incendie de Lachute. Il a fait remarquer qu’il ne devrait pas y avoir de neige sur une entrée de gaz et qu’il revenait aux propriétaires du commerce de veiller eux-mêmes au déneigement. M. Larche prévient du danger qui pourrait survenir en cas de non-déneigement. « Il ne devrait pas y avoir de neige sur une entrée de gaz, parce que s’il survient une surpression dans le tuyau, le gaz ne peut pas s’échapper. C’est là que ça devient dangereux parce que le gaz n’ira pas dans l’air, le gaz naturel est plus léger que l’air. Là, il va rester dans le banc de neige et peut s’accumuler. S’il y a un bris n’importe quand, on ne le saura pas, c’est ça qui est bien dangereux », a averti M. Larche.- Frédéric Hountondji
conseiller municipal pendant huit ans. L’homme, qui a servi dans l’armée pendant une trentaine d’années et qui est à la retraite, dit avoir beaucoup de temps à consacrer à ses concitoyens. « Je suis retraité, je suis disponible en tout le temps, c’est un grand atout. Il y en a plusieurs parmi eux (conseillers) qui ont des emplois et ne sont pas disponibles. » MCNICOLL ET LE NOUVEAURÈGLEMENT M. McNicoll déplore l’ambiance dans
Cinq pompiers ont été déployés sur le terrain pour les vérifications nécessaires, à la suite de soupçons de fuite de gaz. —photo Frédéric Hountondji
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