COLLECTIVITÉ
JOURNÉE PORTES OUVERTES À PERFORMANCE PLUS
MILIEUDE TRAVAIL Le directeur a réitéré que son centre mise beaucoup sur le rapprochement avec l’entreprise, en vue d’une formation accrue en milieu de travail. « On envoie nos élèves plus tôt en entreprise, avec un mentor qui va continuer à consolider leurs connaissances. Plutôt que de faire un stage seulement en fin de formation, on envoie les élèves en entreprise pendant deux ou trois semaines après six, sept, huit semaines de formation. Ils reviennent ici et on continue à construire leurs connais- sances, il y a des allers-retours », a souli- gné M. Laurence. Après avoir fait le tour des installations du centre, plusieurs visiteurs étaient conquis, à l’image de Guylaine Tardif accompagnée de ses enfants et de son époux. « On est allé voir l’hygiéniste dentaire et l’électro- mécanique qu’on vient d’installer, a-t-elle expliqué. L’hygiéniste dentaire, c’est le AU DÉBUT, ON VOUS DEMANDERA POURQUOI VOUS LE FAITES. PUIS ON VOUS DEMANDERA COMMENT VOUS L’AVEZ FAIT.
fun, ils ont tous les appareils et ils sont super bien installés. Ils ont des appareils de pointe. » M. Laurence a laissé entendre qu’il voulait « démystifier » aussi la formation profes- sionnelle au sujet de laquelle il y aurait des préjugés négatifs. « Il y a une connotation parfois péjorative face à la formation pro- fessionnelle. Les métiers ont changé au fil des ans, ce n’est plus comme dans les années 1960-1970. On demande un niveau de scolarité, de compréhension et c’est ce qu’on essaie d’expliquer », a-t-il déclaré. Il n’a pas manqué d’insister sur le fait que le Diplôme d’études professionnelles (DEP) délivré par le centre peut aussi per- mettre aux élèves de « sauver des crédits au Cégep. »
La journée portes ouvertes au Centre de formation professionnelle Performance Plus. —photo Frédéric Hountondji
FRÉDÉRIC HOUNTONDJI frederic.hountondji@eap.on.ca
expliquer les formations que nous dispen- sons et enmême temps, on a le souci, en les faisant visiter notre centre, demontrer les équipements qu’on a, a expliqué M. Laurence. On travaille en étroite collabo- ration avec les entreprises, les industries. C’est une formation de haut niveau et adaptée que l’on offre. » Le Centre Performance Plus offre les huit programmes que voici : Assistance technique en pharmacie, Assistance à la personne en établissement et à domicile, Assistance dentaire, Mécanique indus- trielle, Double DEP en électromécanique, Secrétariat, Comptabilité, Santé, assis- tance et soins infirmiers.
Se faire mieux connaître et mettre en valeur la formation professionnelle était l’objectif de la journée portes ouvertes tenue le 30 janvier dernier au Centre de formation professionnelle Performance plus à Lachute. Stéphan Laurence, directeur du centre, a mentionné que l’évènement intervenait dans un contexte de rareté de main- d’œuvre, où les entreprises ont un grand besoin de gens formés. « On veut leur
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monsieur et madame Tout-le-monde de mieux déceler et surtout de mieux com- prendre les maladies mentales, ces maux aussi invisibles que douloureux », a-t-elle souligné. DÉJÀ LE PREMIER ÉPISODE Le premier épisode de la série montre Francis Lavigueur, dont le parcours est teinté du trouble de l’anxiété généralisée. À part lui, Marie-Josée Lafortune s’ouvrira sur l’agoraphobie et l’hypocondrie tandis que Jean-Simon B. Veys dévoilera jusqu’où la dépression majeure l’a mené. Vanessa Massie révèlera ensuite comment l’hyper- phagie s’est immiscée dans sa vie. De son côté, Aline Lavergne racontera comment la bipolarité l’a rattrapée au fil des années et Lionel Laurin témoignera de son che- minement accompagné du trouble de la personnalité limite. La première diffusion a eu lieu le 30 janvier à 17 h 30, sur les chaines 9 et 609 pour les abonnés Vidéotron de Lachute et Brownsburg-Chatham. Les autres épi- sodes suivront les mercredis du mois de février (6, 13, 21, 27) et le 6 mars. Vous pourrez les retrouver au fur et à mesure sur le site Internet de la Télévision com- munautaire d’Argenteuil au www.tvcar- genteuil.com.
La Télévision communautaire (TVC) d’Argenteuil jette un coup de projecteur sur la santémentale, qu’elle décortique à travers une émission intitulée Et si c’étaitmoi… réalisée par Andrée-Anne Lefebvre. Six Argenteuillois ont accepté de témoi- gner avec franchise et ouverture sur le pro- blème de santémentale dont ils souffrent. Cette série de six épisodes, d’une durée de 30minutes chacun, dépeint le portrait d’un citoyen de la région aux prises avec un problème de santémentale. Elle donne également la parole à une professionnelle de la pédopsychiatrie, en la personne de la docteure Louise Gendron, qui explique dans les moindres détails les différentes caractéristiques de la maladie. La vidéo-journaliste Andrée-Anne Lefebvre signe la réalisation de cette émission. Ayant elle-même vécu de l’anxiété à plusieurs reprises dans sa vie, Mme Lefebvre croit qu’il est important de briser les tabous et préjugés reliés à la santé mentale. « L’objectif de cette émission est de mettre à l’avant-plan les personnes qui vivent avec un problème de santé mentale, afin de permettre à
Le chevalier du mois! De gauche à droite, Mario Bourgon responsable des nominations; Stéphane Braney grand chevalier; et André Jean Lavergne, le chevalier du mois. Il tient dans ses mains le nouveau souvenir qui sera remis au prochain chevalier méritant. FÉLICITATIONS!
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