Express_2013_07_05

OPINION

editionap.ca

«Nos commentaires visaient strictement d’informer la population»

This is a perfect time of year to discuss an issue that, thankfully, will never go away. Beer. Yes, once again, beer is making headlines in Ontario. In this case, Ontario Finance Minister Charles Sousa whipped up a bit of a froth lately by allowing that the Liberal government might slacken its conservative approach to booze sales. The province will not rule out the possibility of permitting alcohol to be sold in corner stores, Sousa mentioned. This change would mark a re- versal in a long-held Liberal stance, and would mean great news for dépanneur owners throughout eastern Ontario, espe- cially those in this district, where inconsis- tent retail liquor laws leave Ontario business people at a definite disadvantage. Outsid- ers are always bemused by our special regu- lations. You can buy alcohol at a dépanneur in St-Eugène and a L’Orignal grocery store, but you cannot buy the same products at a Hawkesbury corner store or supermarket. For guaranteed access to liquor, Hawkes- burgers are accustomed to crossing the bridge to Grenville. The Ontario Liberals are reconsidering their position after the latest push by convenience store owners who are urging the government to modernize its li- quor sales policies. And it’s all about the money. Mac’s Conve- nience Stores has said it would create 1,600 full-time jobs if its 547 Ontario outlets were able to sell booze. Not only would this new access boost the economy, and rejuvenate small businesses, the government would cash in because it would receive more rev- enues on the sale of wine, beer and spirits. Can you say win-win situation? Strangely, this is one area where the Conservatives have been far more enlight- ened than the Liberals. The Tories have actually suggested that beer prices ought to be dropped. That notion has tradition- ally sparked scolding from the Liberals, who have crazily cautioned that if people had access to cheaper beer, the masses would An issue that won’t go flat

et bénéfices supérieurs à 100 000$ par individu qu’on va créer de l’emploi dans le secteur privé. La création d’emplois d’une municipalité suit normalement et étroitement la croissance économique d’unemunicipalité. Ànotreavis, ça seraitune bonne gestion des ressources financières et une action raisonnable et responsable du conseil municipal d’attendre une telle croissance avant l’embauche d’employés. Il faut plutôtmieux gérer nos propres finances et dépenses afin de créer une atmosphère saine et prospère pour encourager le développement économique. Un exemple d’un nouveau poste crée par le budget 2013 est le poste de gérant de projet. Tout au long des discussions budgétaires, il a eu mention que c’est un poste qui s’autofinance mais il faut être réaliste, il n’existe pas nécessairement des projets 12 mois par année et à l’année longue. Aussi, nous n’avons pas de projets à tous les ans. Alors, ou est l’autofinancement? Nous avons demandé de nous fournir des renseignements et des chiffres pour justifier cette conclusion et nous attendons toujours cette information là. Il y a eu mention des négociations pour un parc industriel avec la municipalité de Champlain, mais, depuis quelques années, nous n’avons même pas donné à Champlain les coûts pour fournir les services d’eau et d’égout sur le côté sud de la route 17. Depuis ce temps-là, deux concessionnaires d’automobiles se sont établis et nous, la Ville de Hawkesbury, avons perdu le partage des taxes municipales et des frais de développement et le développement sur le côté sud de la 17 n’est pas fini. Nous, la Ville de Hawkesbury, sommes en train de manquer des opportunités pour des revenus additionnels! Il y a aussi eu mention que la somme de 40 000$ de la société d’Amoco, propriété de la Ville de Hawkesbury, a été utilisée pour développer un plan stratégique pour la Ville mais le coût final de ce plan se chiffre à plus de 100 000$. Il reste toujours le dévoilement de ce plan mais que seront les coûts d’implantation de ces idées souvent grandioses? Mais, malheureusement et entre-temps, la société d’Amoco, dont nous avons pris ces argents, n’a pas les ressources finan- cières puisque le revenu des locations ne couvre même pas la facture d’électricité. Ce n’est pas la façon de gérer cette société! Nous n’avons pas l’intention de faire des commentaires sur tous les propos émis, soit par M. Fraser ou M. Berthiaume. Notre intention originale était d’expliquer à la population nos raisons pour lesquelles nous n’avions pas voté pour le budget 2013, de donner une transparence complète et de laisser les payeurs de taxes former leurs propres conclusions. Nous avons émis ce deuxième communi- qué de presse pour prendre exception des nombreux commentaires dérogatoires faits par M. Fraser et par M. Berthiaume à notre égard puisqu’ils ne semblent pas reconnaî- tre que la démocratie permet aussi le droit de parole ainsi que le maintien des idées et des valeurs.

Nous,

Michel

Thibodeau,

André

go berserk and civilization as we know it would end. The apparent logic behind the status quo argument is that if booze is easier to ob- tain, there will be more underage drinking, crime, drunkenness, moral decay, etc., etc. Ontario has cobbled together a strange system since the original set-up was estab- lished in 1927. Most corner stores in the province cannot dispense alcohol. But in designated zones, private stores can house LCBO outlets. That is because they are far enough from the nearest LCBO store and do not compete with the official government- controlled stores. Access is now controlled by the Liquor Control Board of Ontario and The Beer Store. Owned by behemoth beer makers, the Beer Store sells about 80 per cent of all the suds consumed in Ontario. Critics say that the beer business is less competitive now than it was in the 1940s, before the big companies took over beer stores, and formed Brewers Retail Inc. Surveys continually show that most On- tario residents support expanding the alco- hol retailing system to allow beer and wine to be sold by more types of retailers. Polls have shown that about 67 per cent of consumers support private retailers, like convenience stores, selling alcohol. A ma- jority of Ontarians across all regions also support the idea, with Eastern Ontarians showing the highest level of support (71%). Last year, the Ontario Convenience Stores Association presented a petition signed by 112,500 people from 220 communities call- ing for alcohol sales at convenience stores. The OCSA also unveiled a study that showed convenience stores were the best at age checks -- better at denying sales of age-restricted products to minors than the Beer Store and the LCBO. Now, after defending the archaic rules, the Liberals are showing signs of seeing the light. One thing is sure -- Eastern Ontario dépanneur owners and consumers would toast a modernization of alcohol sales rules.

Chamaillard Portelance, conseillers pour la Ville de Hawkesbury, avons émis un communiqué de presse quelques semaines passées dans le but d’expliquer aux contribuables les raisons pour lesquelles nous avons voté contre le budget 2013. Nos commentaires visaient strictement d’informer la population et présenter les faits. Ces commentaires ne visaient aucun individu. Cependant, depuis quelques semaines, nous avons été critiqués par (le conseiller) M. Alain Fraser, lors de l’assemblée du conseil télévisé, en nous traitant de «négatifs». Aussi, dans un récent article dans le journal Le Droit , (le maire) M. René Berthiaume nous caractérise comme étant anti-démocratiques. Et maintenant, dans la Tribune-Express, on se sert maintenant des adjectifs comme «blocage systématique», «agenda politique personnel» et «négatifs» contre nous afin d’attaquer notre crédibilité. Dans notre communiqué de presse, aucune attaque personnelle n’a été faite. Mais, cependant, il est important de noter que les faits que nous avons identifiés dans notre communiqué de presse original n’ont pas pu être répudiés ou contestés par Messieurs Fraser et Berthiaume. MM. Fraser et Berthiaume continuent de nous critiquer et de tenir responsable le bureau d’évaluation pour une partie des augmentations des taxes. C’est complètement faux! C’est la responsabilité du conseil municipal de décider les montants que les contribuables doivent payer et non pas le bureau d’évaluation. Et c’est une simple majorité du conseil qui a voulu augmenter les taxes cette année de 8 770 878$ $ à 9 484 809$ en 2013, soit une augmentation 8,15%! M. Fraser, dans un article publié dans la Tribune-Express , mentionne que c’est l’ancien conseil municipal qui est responsable et à blâmer pour les 11M$ du 27M$ des dettes pour la partie municipale pour l’agrandissement de l’usine de traitement des eaux usées et pour les améliorations sur la rue Higginson. Comme nous savons tous, l’amélioration du plant des eaux usées et le remplacement des égouts pluviaux sur la rue Higginson étaient nécessaires afin d’éviter le refoulement des égouts dans le sous-sol des propriétés et pour aussi éviter le «gel» de toute forme de développement économique par le ministère de l’Environnement. Le ministère de l’Environnement avait poursuivi la Ville et des amendes avaient été émises contre la municipalité. . M. Fraser pourrait-il répondre à la question suivante: est-il contre la décision de l’ancien conseil d’avoir assumé des dettes pour ces travaux afin d’éviter des dommages aux propriétés des résidents et d’aussi éviter le «gel» au développement économique? Dans le communiqué de presse émis par M. Berthiaume, où il parle au nom de trois autres membres du conseil, les articles suivants sont identifiés, dont les postes supplémentaires qui ont été créés en anticipation du développement économique. Ce n’est pas en créant des postes municipaux avec des salaires et Johanne

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