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VOLUME 73 • NO. 1 • 8 PAGES • HAWKESBURY, ON • JEUDI 10 JANVIER 2019
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DOSSIER
DE BONS CONSEILS POUR CETTE RÉSOLUTION DE REMISE EN FORME DU NOUVEL AN
GREGG CHAMBERLAIN gregg.chamberlain@eap.on.ca
Tout le monde fait au moins une résolution personnelle la veille du nouvel An. Le plus souvent, cette résolution peut impliquer quelque chose pour améliorer la santé et la condition physique personnelle. Plusieurs experts locaux donnent leurs conseils sur la façon d’aider à maintenir cette résolution et de ne pas la laisser s’estomper au cours des semaines et des mois à venir. À unmoment ou à un autre, tout lemonde a juré de s›inscrire au gymnase local, de pratiquer un sport récréatif ou même de commencer à faire de l›exercice à la mai- son ou de faire du jogging, avec l›idée de se mettre en forme, de perdre du poids et de se sentir mieux. La résolution sur la condition physique personnelle est une tradition du nouvel An et comme beaucoup de résolutions, elle devient souvent une promesse brisée bien avant que l›année ne soit terminée. « C’est souvent la période la plus occupée de l’année pour ce qui est de la résolution de l’activité physique, a déclaré Louise Stephenson, entraîneuse personnelle et propriétaire de Zudio, un centre de condi- tionnement physique situé à Vankleek Hill. Tous commencent avec une bonne idée. » Le problème, a-t-elle fait remarquer, avec les résolutions sur la condition physique personnel, c’est que les gens peuvent se décourager tôt pour diverses raisons et laisser leur promesse personnelle de remise en forme prendre fin. Mme Stephenson et plusieurs autres experts locaux de la santé et de l’exercice offrent quelques suggestions pour aider les gens à conserver leur résolution de remise en forme du nouvel An. TROUVERUNE PASSION Mme Stephenson donne trois conseils à tous ceux qui ont la forme physique à l’esprit au début de la nouvelle année. « Trouve quelque chose d’amusant, dit- elle. Tu dois aimer ce que tu fais, pour que ça devienne quelque chose que tu veux faire et non quelque chose qui te semble un travail. » Une fois que quelqu’un a choisi la rou- tine d’exercice ou le sport récréatif qui lui convient, le prochain conseil de Mme Stephenson est de faire preuve demodé- ration. La pire chose qu’une personne puisse faire au début de son nouveau OCCUPÉE DE L’ANNÉE POUR CE QUI EST DE LA RÉSOLUTIONDE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE. » « C’EST SOUVENT LA PÉRIODE LA PLUS
Sortir à l’extérieur pour quelques sports d’hiver est une possibilité pour n’importe quelle résolution de remise en forme du nouvel An. Mais même des activités simples comme un après-midi de raquettes exigent de la modération si une personne n’a pas fait d’activité physique depuis un certain temps. —archives
plan de conditionnement physique per- sonnel est de se voir devenir le prochain Dwayne « The Rock » Johnston ou Vanessa Williams en quelques semaines oumême en quelques mois. Ce qui arrive alors, c’est que les gens font trop d’entraînement, ils se fatiguent, ils ont mal aux muscles, ils se découragent et ils abandonnent parce qu’ils n’obtiennent pas les résultats qu’ils espéraient assez tôt. « Je dis toujours aux gens d’y aller à leur propre rythme, a conseillé Mme Stephenson. S’ils ne s’amusent plus, c’est qu’ils sont allés trop loin. » Ce conseil, a-t-elle fait remarquer, s’ap- plique aux personnes de tous âges. En tant que monitrice de conditionnement physique, elle adapte ses routines en fonction de l’âge et de la condition phy- sique actuelle de ses clients. Elle souligne également qu’une résolution de remise en forme du nouvel An exige une nouvelle attitude mentale. « Considérez cela comme une nouvelle habitude, a-t-elle dit, ajoutant qu’il est important de se fixer des objectifs raison- nables. Ne mettez pas trop de pression. Faites un ‘pas de bébé’. Il faut que ce soit amusant. » BILANDE SANTÉ Il est important de trouver un programme de conditionnement physique ou un sport qui vous passionne pour conserver votre résolution de remise en forme du nou- vel An. Il en va de même pour l’examen physique et l’approbation d’unmédecin,
selon Emmanuel Lo Monaco, un physio- thérapeute de Hawkesbury. « La première chose à faire est d’aborder les problèmes médicaux, s’il y en a, a- t-il spécifié, ajoutant que toute routine de conditionnement physique doit cor- respondre aux capacités et à l’état de la personne. C’est très important. Il y a une
différence entre une personne qui a un problème de santé et une personne qui n’en a pas. » M. Monaco a insisté sur le fait que tout programme de conditionnement physique personnel ne se limite pas à l’instauration et au maintien d’une routine d’exercices réguliers. Pour que la résolution du nouvel
Se mettre en forme est pratiquement une résolution traditionnelle du nouvel An pour plusieurs. Les experts locaux en santé et en conditionnement physique offrent de bons conseils sur la façon de concrétiser cette résolution sans avoir à prendre rendez-vous avec un physiothérapeute. —archives
An soit respectée, il faut que le mode de vie global d’une personne change du tout au tout. « L’élément clé de la condition physique est un changement de style de vie, a-t-il dit, ajoutant que la condition physique personnelle dépend aussi d’un régime alimentaire approprié et d’un bon repos. L’activité physique n’est pas le seul élé- ment de la remise en forme. J’ai connu des gens qui faisait de l’exercice juste pour pouvoir manger plus. Ça ne marche pas comme ça. » La perte de poids est souvent unemotiva- tion pour toute personne qui entreprend une nouvelle routine de mise en forme. M. Monaco a noté que les personnes ayant cet objectif à l’esprit ne devraient pas s’attendre à des résultats rapides dès le départ. Leur poids peut changer très peu au début parce que l’excès de graisse corporelle qu’ils perdent est remplacé par une nouvelle masse musculaire plus dense. Ils doivent donc être à l’aise avec leur image de soi dès le départ. « Ils devraient pouvoir dire : Je veux être en forme. Je veux pouvoir me déplacer. Je me fiche de ce que j’ai l’air. » Ensuite, M. Monaco a fait remarquer qu’ils pourront poursuivre leur programme de mise en forme et être surpris et satisfaits de leur apparence et de leur bien-être à long terme. Toute personne qui décide de se mettre en forme doit également trouver une rou- tine ou un sport qui convient à son temps et à son budget financier. Investir du temps et de l’argent dans un programme qui est abandonné par la suite, ou dans de l’équipement qui finit par accumuler de la poussière, peut décourager toute tentative future de se remettre en forme. « C’est formidable d’avoir la motivation, mais il est important de pouvoir trouver le temps et l’espace dans la journée ou la semaine pour le faire, a déclaré M. Monaco. Ce que tout le monde doit
faire, c’est trouver quelque chose qu’il aime faire. Et ne faites pas d’exercices qui vous épuisent complètement. La clé, c’est de petites séances d’entraînement progressives qui vous permettent de vous habituer à votre nouveau mode de vie. » CONSEILS DES ATHLÈTES Revitaliser tout sonmode de vie et se fixer des objectifs raisonnables sont les prin- cipaux conseils de deux membres de la communauté sportive de Prescott-Russell. Dawn Catchpaugh, entraîneuse person- nelle et culturiste de compétition basée à Rockland, a souligné qu’un nouveau plan de conditionnement physique ne commence pas et ne se termine pas par une séance d’entraînement. « L’entraînement commence dans votre cuisine, pas dans votre gymnase, dit-elle en riant. C’est ce que tu mets sur ta four- chette. » Quiconque décide de commencer une routine d’entraînement ou d’exercice, que ce soit la gymnastique ou de sortir régulièrement avec des amis pour une partie amicale de hockey ou de basket- ball, et qui se remplit encore demalbouffe entre les routines ou s’attable devant les mêmes repas riches en calories que pré- cédemment, ne fera pas long feu avec un régime de perte de poids. « Je leur recommanderais fortement d’examiner leur alimentation, a déclaré Mme Catchpaugh. C’est une grosse partie de la remise en forme. » Se trouver un copain de conditionnement physique est sa prochaine suggestion. Faire de l’exercice seul peut être une expé- rience ennuyeuse. « Si vous avez un partenaire avec qui vous pouvez travailler, c’est fabuleux », a confié Mme Catchpaugh, ajoutant que les parte- naires peuvent se motiver et se soutenir mutuellement pendant une routine. La graisse se transforme en tissumuscu- laire dense au fur et àmesure qu’une per- sonne s’entraîne, a noté Mme Catchpaugh. Il se peut qu’il n’y ait pas beaucoup de
perte de poids au cours des premières semaines ou des premiers mois d’un pro- gramme de conditionnement physique. Mais, a-t-elle ajouté, certains de ses clients remarquent que leurs vêtements semblent plus amples, ce qui est un signe que la routine d’exercice fonctionne. François Belle-Isle est un enseignant de l’école secondaire de Hawkesbury qui par- ticipe à des compétitions de triathlon et qui a parcouru de nombreux kilomètres en course à pied, en vélo et en natation. M. Belle-Isle recommande d’établir des objectifs à court, moyen et long terme pour toute nouvelle routine de condi- tionnement physique. Le temps alloué pour chaque objectif peut êtremesuré en semaines et en mois. Au fur et à mesure que chaque objectif est atteint, de nou- veaux objectifs à court, moyen et long terme prennent leur place. « Et soyez cohérent avec vos habitudes
alimentaires et vos activités, a-t-il com- menté. Notez vos objectifs et vérifiez-les de temps en temps. » Il a déconseillé de consulter l’Internet pour trouver une routine d›exercice. Le Net, a-t-il fait remarquer, est une bonne source d›information sur les types d›exercices disponibles, mais vous ris- quez de choisir un programme de condi- tionnement physique qui est conçu pour une personne en particulier ou pour des personnes d›un certain âge et d›une certaine condition physique. Il ne s›agit pas de programmes de conditionnement physique « uniformes » et ils pourraient décourager quelqu›un qui n›a jamais fait d›activité physique auparavant ou qui revient tout juste à la forme après de nombreuses années d›inactivité. « Quoi que vous fassiez, dit M. Belle- Isle, vous devez être capable d›adapter
Se mettre en forme avec des amis ou un copain de conditionnement physique est beaucoup plus amusant que de le faire seul. L’entraîneuse personnelle Louise Stephenson recommande également de trouver une activité qui suscite la passion lorsqu’on envisage une résolution pour le nouvel An. —supplied photo
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DOSSIER
« OUI. JE VIS AVEC L’ALZHEIMER » : UNE CAMPAGNE DE SENSIBILISATION
paroles désobligeantes ou malveillantes à l’égard de la maladie. « On vous colle immédiatement une étiquette sur le front », a déclare Keith Barrett, 59 ans, atteint de la maladie d’Alzheimer à début précoce. M. Barrett est cofondateur et directeur d’un petit organisme basé à Ottawa qui soutient les personnes atteintes de toute une gamme de handicaps physiques et développe- mentaux. Il continue de travailler malgré son diagnostic. « Nous ne voulons pas être traités différemment. Nous voulons nous sentir acceptés et rendre acceptable le fait de parler franchement au sujet des maladies cognitives. Il faut veiller l’un sur l’autre. » En plus d’aider les Canadiens à mieux comprendre les maladies cognitives, la campagne propose une plateforme pour les personnes comme M. Robert et M. Barrett, qui leur permet de se définir en tant que personne plutôt que de se laisser définir par ces maladies. Tout au long dumois de janvier et pour le restant de l’année, les Canadiens sont invités à se rendre sur le site Web de la Société Alzheimer consacré à la campagne, pour lire et regarder les histoires fascinantes de personnes qui continuent à vivre malgré leur maladie cognitive. Ils y trouveront aussi des conseils sur comment aider à mettre un terme à la stigmatisation, pour- ront tester leurs propres attitudes à l’égard des maladies cognitives et télécharger d’autres ressources utiles.
à lamaladie d’Alzheimer, permet d’écouter les histoires, à la fois diverses et uniques, de personnes à travers tout le pays at- teintes de lamaladie d’Alzheimer ou d’une autre forme de maladie cognitive. Son objectif consiste à changer les attitudes à l’égard de la maladie et à dissiper la stigmatisation : la vie continue après un diagnostic. « Nous laissons les experts s’exprimer, a déclaré Pauline Tardif, chef de la direction de la Société Alzheimer du Canada. Nous croyons que le fait de faire connaître les histoires de Canadiens atteints d’une maladie cognitive alimen- tera un dialogue plus ouvert, favorable et inclusif au sujet des maladies cognitives, et qu’il donnera aussi confiance aux autres personnes atteintes de vivre leur vie de manière optimale. » Les recherches démontrent que la stigma- tisation entourant les maladies cognitives est omniprésente. Dans une enquête com- mandée par la Société Alzheimer l’année dernière, un Canadien sur quatre déclare qu’il se sentirait honteux ou embarrassé s’il était atteint d’une maladie cognitive, tandis qu’un sur cinq admet utiliser des
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ans, il était sous le choc. Cependant, quand il a compris la réalité de la nouvelle, il a décidé qu’il n’y avait qu’une seule voie à suivre : rester positif et continuer à vivre. Après tout, il avait encore une liste de choses à faire sur laquelle figuraient cer- tains objectifs qu’il souhaitait atteindre, comme aller à l’université. M. Robert étudie maintenant l’âgisme au King’s University College à London et termine un document de recherche portant sur les avantages de l’éducation chez les per- sonnes atteintes d’unemaladie cognitive. Lorsqu’il n’est pas sur les bancs de l’école, il reste actif physiquement et socialement : il se rend partout à pied et passe du temps avec sa famille. M. Robert a encore telle- ment de choses à vivre et c’est la raison de la campagne nationale de la Société Alzheimer. La campagne, lancée le lundi 7 janvier 2019, pendant lemois de la sensibilisation
Les Canadiens atteints d’une maladie cognitive mènent la campagne de la Société Alzheimer : « Oui. Je vis avec l’Alzheimer. Laissez-moi vous aider à comprendre. » Partout au pays, des personnes courageuses et passionnées parlent à l’unisson pour remettre en question les attitudes et mettre un terme à la stigmatisation. « La vie est parsemée d’embuches. Ma maladie cognitive en est une et on ne baisse pas les bras dès qu’on rencontre un obstacle », a déclaré Ron Robert, 81 ans, pour qui lamaladie d’Alzheimer n’est pas étrangère. Lamaladie a emporté trois de ses frères et sœurs et un oncle. Mais, lorsqu’il a reçu son diagnostic, il y a trois
Publié le jeudi par : La Compagnie d’édition André Paquette Inc. Imprimé par : Imprimerie Prescott et Russell, Hawkesbury, ON # convention : 0040012398
BERTRAND CASTONGUAY Président bertrand@eap.on.ca
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Les Canadiens atteints d’une maladie cognitive mènent la campagne de la Société Alzheimer : « Oui. Je vis avec l’Alzheimer. Laissez-moi vous aider à comprendre. » Partout au pays, des personnes courageuses et passionnées parlent à l’unisson pour remettre en question les attitudes et mettre un terme à la stigmatisation. —photos fournies
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Une charte pour protéger les gens atteints d’une maladie neurodégénérative
Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques... vous ou un de vos proches êtes atteint d’une maladie neurodégénérative? En janvier, à l’occasion du Mois de la sensibilisation à la maladie d’Alzheimer, la Fédération québécoise des Sociétés Alzheimer est fière de promouvoir la nouvelle Charte canadienne des droits des personnes atteintes de maladies neurodégénératives. Élaborée par le groupe consultatif de la Société Alzheimer, cette charte lancée en septembre dernier est la toute première au Canada qui vise spécifiquement à renforcer la capacité à faire respecter les droits des personnes et des familles touchées par une maladie neurodégénérative. • Ne pas subir de stigmatisation ou de discrimination; • Exercer tous leurs droits civiques et juridiques; • Participer à l’élaboration et à la mise en œuvre de toute politique affectant leur vie; • Avoir accès à des mesures de soutien leur permettant de vivre de manière aussi indépendante que possible et de rester actifs dans la collectivité; • Obtenir l’information et le soutien dont ils ont besoin pour participer aussi pleinement que possible aux décisions qui les affecteront, y compris celles concernant les soins; • Recevoir des soins par des professionnels formés adéquatement dans le domaine des maladies neurodégénératives; • Être traités avec respect et dignité par des professionnels qui sont tenus de protéger leurs droits fondamentaux; • Avoir accès à des procédures efficaces de plainte et d’appel lorsque ces droits ne sont pas respectés. Ainsi, tous les Canadiens doivent désormais s’efforcer de protéger et de respecter les droits des malades, notamment :
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Ne soyez pas surpris si vous apercevez plusieurs flèches dans l’aréna Jean-Marc Lalonde. Les membres du club de tir à l’arc Rockland Field Archers pratiquent dans l’aréna chaque jeudi soir, de 18 h 30 à 20 h 30. —photo Francis Racine
LES FLÈCHES VOLENT À ROCKLAND
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CINÉMA
Les Rockland Field Archers utilisent l’aréna en hiver et un terrain extérieur en été. Le club, qui compte plus de 100membres, a été fondé au début des années 1980. Ses membres proviennent de tous les coins de Clarence-Rockland et se composent d’archers de différents horizons, ainsi que de familles entières. « Notre plus jeune membre a moins de dix ans, a souligné M. Lacasse. Notre aîné a 84 ans et tire toujours ! » Le président a expliqué que le club est ouvert à tous ceux qui s’intéressent à ce sport. « Nous leur montrerons l’essentiel dans un environnement très sûr, a-t-il dit. Nous tenons à souligner que les enfants de moins de 18 ans doivent être accom- pagnés d’un adulte. » M. Lacasse a aussi souligné le fait que le sport est l’un des moins chers à pratiquer. « L’arc d’un débutant coûte entre 200 $ et 300 $, a-t-il ajouté. Nous fournissons les cibles. » De plus, l’organisation possède plus de 50 répliques animales « 3D ». Ses membres participent également à plusieurs concours annuels. M. Lacasse a expliqué que toute personne intéressée à se joindre au club devrait d›abord lui téléphoner au 613-808-8961.
FRANCIS RACINE francis.racine@eap.on.ca
Si vous vous aventurez dans l’aréna Jean-Marc Lalonde les jeudis, entre 18 h 30 et 20 h 30, vous serez peut-être surpris de voir plusieurs individus tirer des flèches sur des cibles et des répliques d’animaux. Ils sont tous membres des Rockland Field Archers . « Nous avions l’habitude de nous entraîner dans une école locale, mais ils ont installé un nouveau plancher de vinyle cousiné dans leur gymnase, alors nous avons dû nous déplacer ici, a déclaré le président du club de tir Martin Lacasse. Mais on se plaît bien ici. Il y a beaucoup d’espace pour nos membres. »
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Elle est décédée paisiblement le jeudi 13 décembre 2018, avec son époux Robert bien- aimé à ses côtés. Elle était la fille de feu Noël Goulet et feu Alida Girouard. Outre son époux, elle laisse dans le deuil son frère, Réal Goulet; sa sœur jumelle, Dianne Goulet; son beau- frère, Carmand Joly; ses belles-sœurs : Émilie Bois et Marie-Blanche Lalonde ainsi que les frères de Robert : Jacques (Liliane) et Jean (Lisette) et sa sœur, Lise. Prédécédée par sa sœur, Jacqueline Joly et ses frères : Gaëtan et Jean-Guy (Rachel). Elle laisse également dans le deuil de nombreux neveux, nièces, cousins et cousines. Elle a travaillé pendant 42 ans à Statistiques Canada. Un service privé a eu lieu au cimetière et Services funéraires Beechwood. Pour ceux qui le désirent, des dons en la mémoire de Suzanne à la Fondation canadienne des tumeurs cérébrales, 2018, rue Horton Est, Suite 203, London (Ontario) N6B 1K7, seraient appréciés.
MONSIEUR DANIEL BERNIQUEZ La famille Berniquez désire remercier tous les parents et amis qui, lors du décès de M. Daniel Berniquez, survenu le 13 décembre 2018, à l’âge de 57 ans, lui ont témoigné des marques de sympathie soit par dons, fleurs, cartes, visites ou assistance aux funérailles. Que chacun trouve ici l’expression d’une reconnaissance et considère ces remerciements comme personnels.
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MONSIEUR JÉRÔME PILON La famille Pilon ainsi que son épouse Mélanie Grenon désirent remercier sincèrement tous les parents et amis qui, lors du décès de Jérôme Pilon, survenu le 18 novembre 2018, à l’âge de 42 ans, leur ont témoigné des marques de sympathie soit par messages de condoléances, offrandes de messe, fleurs, dons, cartes, visites ou assistance aux funérailles. Grâce à votre générosité, un don de trois (3) mini-frigos sera remis aux unités d’hématologie-oncologie de l’Hôpital Général d’Ottawa. À tous et chacun, nous vous prions de considérer ces remerciements comme personnels.
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