ACTUALITÉS
POURSUITE POLICIÈRE D’UN VTT afin de procéder à l’interception du conduc- teur, mais ce dernier a regardé les policiers et a accéléré pour tourner sur la rue Bank. Un peu plus loin, il s’est engagé trop rapi- dement dans une entrée d’un immeuble et a percuté une résidence. Le suspect n’a pas été blessé sérieusement. Il présentait de légères douleurs à la main.
RÉDACTION EAP nouvelles@eap.on.ca
à la demande d’un agent de la paix, avoir conduit un véhicule hors route sur un chemin public, avoir conduit un véhicule sans être titulaire d’un permis de la classe appropriée et pour ne pas s’être assurée de rester maître de son véhicule de façon à pouvoir se conformer aux devoirs de la prudence. Le propriétaire du véhicule, un homme de 50 ans, de Deux-Montagnes, recevra un constat d’infraction de 499$ pour avoir laissé conduire une personne qui n’était pas titulaire d’un permis de la classe appropriée
à la conduite du véhicule. Le véhicule a été saisi pour une période de 30 jours. Rappelons qu’il est interdit de circuler sur les chemins publics, sauf dans de rares exceptions prévues par la loi. On peut traver- ser un chemin public ou y circuler seulement si une signalisation routière permet de le faire. De plus, toute personne qui circule sur un véhicule doit porter un casque conforme à des normes de fabrication.
Vers 21h00 le 2 juillet dernier, les poli- ciers de la Sûreté du Québec, du poste de la MRC d’Argenteuil, étaient dans le stationnement d’un commerce de la rue des Érables, à Brownsburg-Chatham lorsqu’ils ont aperçu une personne cir- culer en VTT sur la rue Principale en direction ouest. Les policiers ont actionné les gyrophares
Après certaines vérifications, l’homme de 22 ans, de Brownsburg-Chatham, recevra des constats d’infraction totalisant 1917$ pour ne pas s’être immobilisée sans délai
LE MANQUE DE LOCAUX CAUSENT DES MAUX DE TÊTE À TOUS
SUITE DE PAGE 5
d’appartenance à leur école. Des parents nous indiquent que le local de musique sera transformé en un local d’anglais (la musique sera remplacée par l’art dramatique) et que les enseignants n’ont pas de local depuis quelques années. Mme Mallette a demandé pourquoi on n’ins- talle pas des modulaires, comme il a été fait à l’école L’Oasis. «Cela coûterait trop cher», lui a-t-on répon- du. De notre côté, Mme Brochu insiste sur la problématique vécue sur tout le territoire: «L’analyse de répartition des modulaires par le service de l’organisation scolaire est très complexe et on s’assure de répondre aux besoins d’un maximum d’élèves possibles pour prendre des décisions.» Il y aurait un maximum de modulaire dis- ponible pour tout le territoire et ils seraient
tous utilisés. De plus, «au lieu de 3 groupes, c’est 7 élèves seulement». Échange de terrain Étant donné l’augmentation de la clientèle dans Argenteuil (on se rappelle que la région s’est retrouvée dans le top 10 des régions s’étant le plus développées au Canada dans les deux dernières années), la construction de la nouvelle École Saint-Philippe sera plus que bienvenue. Lors de la séance du conseil de Browns- burg-Chatham, on apprenait qu’un échange de terrain entre la ville et le CSSRDN permet- trait, après analyse des sols, de construire l’école tout près du CPE Rêve de Caillette, plutôt qu’à même la cour arrière. Mme Brochu indique que le lancement du processus de plans et devis aura lieu dès cet automne. Selon la norme, il prendrait
environ 2 ans pour compléter un projet d’école primaire «lorsqu’il n’y a aucun pépin majeur», précise-t-elle. Donc si tout se déroule dans l’ordre, on pourrait espérer l’ouverture de la nouvelle école, un projet de plus de 20 millions de dollars, à la rentrée 2025. Puisque plusieurs projets immobiliers sont en cours, dont un à Lachute tout près du centre commercial (plus 800 logements), on comprend que les besoins seront encore à la hausse très rapidement dans toutes les écoles d’Argenteuil. Afin d’aider à cette croissance, la rénovation de l’ancienne école primaire Immaculée-Conception sera exécu- tée cette année pour y accueillir les classes du programme alternatif L’envol du Colibri, qui occupe un étage de l’école Saint-Julien.
année. Après, elle devrait assurer son transport. «On banalise la situation en nous men- tionnant que ce ne sera que pour une année, mais, nous, on veut s’assurer d’une stabilité pour nos enfants tout au long de leur par- cours scolaire». Dans la même politique, on indique toutefois qu’un élève ne peut être transféré plus d’une fois durant son parcours scolaire sauf s’il y a un changement de lieu de résidence ou un changement des périmètres (une partie du territoire du Centre de services scolaire desservi par une école). De côté du CSSRDN, Mme Brochu rap- pelle que c’est une situation extraordinaire et que cette solution était idéale puisque les petits n’ont pas encore de sentiment
Made with FlippingBook - Online magazine maker