" ' ' " * 3 & 4 r # 6 4 * / & 4 4 20 000$ POUR LES JEUNES DE PRESCOTT-RUSSELL
ONTARIO TEACHERS READY TO STRIKE
GREGG CHAMBERLAIN gregg.chamberlain@eap.on.ca
It could be a very cold Christmas season for the education commu- nity in Ontario with the threat of a province-wide teachers’ strike. The Ontario Secondary School Tea- chers Federation (OSSTF/FEESO) held a strike vote, November 18, and received huge support from its membership for a walkout, if there is no satisfaction from the present round of negotiations with the provincial government. Education workers represented by the OSSTF voted 92 per cent in favour of strike action while teachers, both full-time and part- time, gave the union a 95.5 per cent vote of support. “This is a powerful mandate from our members,” stated Harvey Bischof, OSSTF/FEESO president, in a news release issued after the Monday night vote. “And it sends a compelling mes- sage. Our members are committed to defending the quality of education in Ontario against a government that is determined to undermine it, and they are absolutely prepared to defend their ability to provide the best possible learning environment for the students they work with.” While the union has its strike man- date, Bischof stated that the OSSTF/ FEESO will continue to negotiate with the provincial government. But he warned
CRISTIANA MANDRU nouvelles@eap.on.ca
selon Mme Arcand, qui résume que l’un des objectifs du financement « c’est que ça ne s’arrête pas là, mais que l’initiative fasse des petits. Cette initiative-là, qu’un centre de services à l’emploi puisse avoir un pied-à-terre dans des écoles secondaires sur un territoire donné, ça peut se reproduire dans d’autres régions ailleurs en Ontario », a assuré Mme Arcand. « Nous allons mesurer les impacts du partage des compétences du CSEPR et les bénéfices du projet, mais je suis convain- cue que ça va être à la fois bénéfique pour les étudiants dans chacune des écoles secondaires des deux conseils; ça va être bénéfique pour le personnel scolaire aussi de se sentir appuyé, parce que nous voulons aller prêter mainforte jusque dans la limite de notre compétence, qui est vraiment au ni- veau du marché du travail, le développement économique…les perspectives d’emploi, les demandes, les tendances, etc. » Plus concrètement, les élèves auront accès à de précieuses ressources qui seront une véritable passerelle pour leur perfection- nement, le développement de leur employa- bilité, répondront à leurs besoins et leur fourniront des contacts avec les employeurs qui cherchent du talent dans la communauté. C’est aussi une mesure préventive contre le décrochage scolaire, puisque 30 % d’entre ces jeunes-là ne sont pas intéressés à faire des études postsecondaires, selon M. Dubois, donc ils voudront savoir vers qui se tourner afin d’intégrer le marché du travail plus rapidement. C’est alors que la présence sur place de conseillers du CSEPR pourra s’avérer bénéfique, afin de les informer sur toutes les possibilités existant dans leur communauté immédiate. D’un côté, les jeunes ne détiennent pas toute l’information nécessaire pour prendre des décisions éclairées concernant leur avenir; d’un autre côté, le CSEPR n’a pas accès à ces jeunes-là, avant qu’il ne soit trop tard, avant qu’ils doivent ramasser les pots cassés, selon M. Dubois. C’est donc ainsi que les bureaux satellites du CSEPR dans les écoles permettront de rapprocher deux mondes, jusqu’ici éloignés l’une de l’autre, mais en besoin pressant de rapprochement.
that the union’s members are losing patience. “They are telling us, quite emphati- cally,” he stated, “that they are losing patience with a government that refuses to engage in meaningful discussion about major issues that affect the quality of learning in their schools. We gave our notice to bargain, almost seven months ago, but we are still waiting for even one meaningful, serious response to our key proposals that address the quality of publicly funded education.” Elementary teachers Ontario’s elementary teachers are also in a legal position to strike, starting on November 25. But the Elementary Teachers Federation of Ontario (ETFO) is also staying at the bargaining table. The ETFO received its strike mandate from the membership November 8. The union, representing teachers employed with English Catholic schools in Ontario, has also received a strike mandate from its membership. French teacher unions have not declared whether they are also seeking a strike mandate from their members.
Un investissement de 20 000 $ permet- tra aux élèves des écoles francophones du territoire d’être mieux outillés pour le marché de travail. Cette initiative permettra à la région de mieux s’équiper pour garder ses jeunes engagés dans la communauté. On en a fait l’annonce le 14 novembre dernier, lors d’une conférence de presse tenue au Centre de services à l’emploi de Prescott-Russell (CSEPR), à Hawkesbury. Francis Drouin, député de Glengarry-Prescott- Russell était sur place et a tenu à souligner l’importance du partenariat pour la circons- cription qu’il représente. « Je veux dire à quel point je trouve cela très intéressant. Je sais que ce programme aura un impact sur nos jeunes pour les garder ici. J’ai très hâte de voir le produit de ce travail-là dans les mois à venir », a-t-il dit. De son côté, Caroline Arcand, directrice générale du CSEPR, a remercié son collègue Jean Dubois pour lui avoir donné l’idée d’un partenariat. « Il faut qu’on se rapproche des écoles; ce serait bien qu’on ait un pied dans les écoles, m’avait dit Jean. Alors, je suis partie avec ça », a-t-elle ajouté. Je suis telle- ment fière que ça se concrétise aujourd’hui, mais je suis surtout fière parce que c’est un projet qui est né d’une collaboration entre différents partenaires de la communauté. » L’idée l’a amenée vers un partenariat qui réunit maintenant l’Assemblée de la Francophonie de l’Ontario (AFO), le Conseil des écoles publiques de l’est de l’Ontario (CEPEO) et le Conseil des écoles catholiques de l’Est ontarien (CSDCEO), des conseil- lers en orientation, la direction et le CA du CSEPR. Bien entendu, toute idée de cette enver- gure demande des ressources matérielles et des ressources financières. C’est là qu’entrent en scène l’AFO et les Comtés unis de Prescott et Russell, à travers le financement de FedDev-Ontario, une insti- tution fédérale. Le projet s’encadre dans le programme de l’AFO, Effet Multiplicateur. L’Effet Multi- plicateur, ce sont des initiatives qui portent,
227589
Made with FlippingBook - professional solution for displaying marketing and sales documents online