Rapport du Comité de l'API sur la confidentialité

De nombreux commentaires ont été formulés sur la manière de gérer les risques et d’améliorer notre connaissance de ceux-ci. Voici quelques exemples : • « … j'ai apprécié être informé, p. ex., de la vulnérabilité des terminaux dans des systèmes qui semblent par ailleurs bien protégés » ; • « … que faire si les patients demandent à enregistrer leurs séances… mais avec les téléphones intelligents, l'enregistrement d'événements est devenu une activité presque quotidienne. » ; • « J'ai trouvé la liste des mesures qui peuvent être prises de manière réaliste à la page… plus utile que la discussion précédente qui, me semble-t-il, se plaint inutilement, que la sécurité à 100 % dans les communications électroniques ne peut pas être réalisée. » • « Comment dire aux patients les risques qu’ils prennent et leurs conséquences ? Même un téléphone portable dans le cabinet de consultation n'est pas sûr. C’est facile à comprendre s’il s’agit d’une dictature, mais les pirates informatiques ne connaissent pas de frontières étatiques. Nous devons également tenir compte du fait que dès que quelque chose se trouve sur Internet, il peut y rester pour toujours et que l'utilisation des services en nuage est dite aussi ouverte qu'une carte postale. » ; • « L’autre point pour lequel je suis reconnaissant est la nécessité de consulter régulièrement des experts en informatique sur les questions de confidentialité dans les télécommunications. Un analyste ordinaire peut avoir du mal à imaginer tous les dangers impliqués et ne sait pas quel type de mesures de sécurité doivent être prises. » Un répondant a souligné le fait que, dans le cadre classique, l’analysant est également responsable du cadre : « Quelles sont les responsabilités de l'analysant pour maintenir la spécificité du travail analytique ? Par exemple, avec ce que nous lui disons au sujet des rendez-vous manqués et d’autres problèmes liés au cadre. La présence de téléphones cellulaires maintenus ouverts ou susceptibles d’être accidentellement composés dans une poche. Devrions-nous souligner la responsabilité commune (analyste-analysant) de la protection du processus analytique (préjudice causé à l'analyse) afin que le problème ne soit pas exclusivement la protection de l'analyste ou le préjudice causé au patient ? » 10.7 Demandes de tiers Un répondant a écrit que « les conseils équilibrés donnés aux particuliers et aux sociétés, sur la manière d’envisager de se conformer ou de faire valoir leur résistance quant aux demandes formulées par un tribunal concernant la divulgation de documents confidentiels, étaient excellents »

51

Made with FlippingBook - Online Brochure Maker