SURDOSES: LA MINISTRE YA’ARA SAKS DÉFEND LES INITIATIVES DE SON GOUVERNEMENT ACTUALITÉS STEPHANIE TAYLOR La Presse Canadienne
les gens ont détourné le regard, mais ils ne peuvent plus le faire maintenant», a-t-elle affirmé en entrevue récente à La Presse Canadienne. L’Agence de la santé publique du Canada a calculé que les surdoses de drogue ont tué en moyenne 23 personnes chaque jour l’année dernière. Plus de 40 000 personnes sont mortes des suites de décès liés aux opioïdes depuis 2016, date à laquelle l’agence a commencé à colliger de telles données. La majorité des morts par surdose entre janvier et juin de l’an dernier étaient imputables au fentanyl. Des observateurs affirment que des opioïdes sont de plus en
La ministre canadienne de la Santé mentale et des Dépendances, Ya’ara Saks, estime que la peur et la stigmati- sation expliquent certaines oppositions à la décision de son gouvernement de soutenir la prescription de produits phar- maceutiques aux toxicomanes pour lutter contre la crise des surdoses au Canada. Ya’ara Saks impute les réticences crois- santes au malaise que beaucoup ressentent face à une réalité qu’ils ne peuvent plus ignorer. «Le débat est difficile parce que
La ministre canadienne de la Santé mentale et des Dépendances, Ya’ara Saks, estime que la peur et la stigmatisation expliquent certaines oppositions à la décision de son gouvernement de soutenir la prescription de produits pharmaceutiques aux toxicomanes pour lutter contre la crise des surdoses au Canada. (Sean Kilpatrick, La Presse Canadienne)
La première ancêtre, Françoise Tourault, est née vers 1599 dans la paroisse Saint-Amant-de-Boixe au lieu-dit L’Ardillière près de Dompierre-sur-Mer dans la région de La Rochelle en Aunis. Elle est la fille de François et Marthe Lenoir. Elle arrive à Québec le 23 septembre 1646 avec son mari, Jacques Archambault, et six de leurs sept enfants tous nés en France. Seule leur fille Louise n’a pas traversé l’Atlantique parce qu’elle est décédée avant leur départ. Elle avait épousé Jacques le 24 janvier 1629 à Dompierre-sur-Mer. Elle décède le 9 décembre 1663 à Ville-Marie où elle y est inhumée le même jour. Cinq filles et deux fils sont issus de ce mariage. Jacques, son époux, se remarie le 26 janvier 1666 à Cap-de-la-Madeleine avec Marie Denot, f. d’Élie et Marguerite Lafond. Marguerite serait née vers 1606 Porcheresse dans la com de Blanzac-Porcheresse, Charente, France. TOURAULT Né F ière d’une race
plus contaminés par des substances encore plus toxiques. Au cours des deux derniers mois seu- lement, la police et des responsables de la santé de la Saskatchewan, de Thunder Bay et de Belleville, en Ontario, ont mis en garde contre les opioïdes, principalement le fentanyl, associés à un tranquillisant animal appelé xylazine. Les trafiquants mélangent souvent du fentanyl à d’autres substances parce que c’est moins cher que de fournir des opioïdes purs. La crise des surdoses s’est aggravée pendant la pandémie de COVID-19, avec des fermetures de frontières entraînant un approvisionnement en drogues plus contami- nées, des restrictions sanitaires entraînant un manque d’accès aux services de toxi- comanie et une augmentation du nombre de personnes consommant seules, ainsi qu’à des doses plus élevées. Cela a incité le gouvernement du Canada à permettre aux utilisateurs considérés comme présen- tant un risque élevé de surdose de se voir prescrire des alternatives pharmaceutiques plutôt que de prendre des drogues illicites toxiques. La Colombie-Britannique est devenue la première juridiction à tester une telle approche, Ottawa fournissant également des fonds pour des projets pilotes au Nouveau- Brunswick et en Ontario. Santé Canada a signalé les comprimés d’hydromorphone opioïde comme substitut le plus couramment prescrit. Une étude de ces projets pilotes commandée par le gou- vernement fédéral a révélé une diminution du risque de surdose et que les consom- mateurs de drogues pouvaient se procurer de la drogue de manière plus sûre que par l’intermédiaire de trafiquants de rue ou du travail du sexe. Dans le même temps, cependant, il a été signalé que certains utilisateurs de fentanyl avaient une tolérance trop élevée à l’égard de la quantité d’hydromorphone qui leur était prescrite. En conséquence, ils se sont retournés et ont vendu leurs médicaments prescrits dans la rue. Le problème a été signalé par la Dre Bonnie Henry, responsable de la santé publique de la Colombie-Britannique, comme un phéno- mène courant dans son récent examen du programme d’approvisionnement plus sûr de sa province.
Les critiques du programme se sont emparées du problème. Le chef du Parti conservateur, Pierre Poilievre, a exprimé ses inquiétudes quant au fait que des stupéfiants détournés se retrouvent entre les mains de personnes d’âge mineur. M. Poilievre qualifie les programmes d’approvisionnement plus sûrs de «projet raté d’approvisionnement en drogues dures» du premier ministre Justin Trudeau et s’est engagé à réduire le finan- cement fédéral destiné à ces programmes s’il est élu. Il a déclaré qu’un gouvernement conservateur consacrerait cet argent à des programmes de réinsertion. La ministre Ya’ara Saks assure qu’elle a écouté les préoccupations liées la déjudi- ciarisation des drogues, notamment celles d’un groupe de médecins qui lui ont écrit directement. Elle a ajouté que l’automne dernier, elle a demandé aux responsables d’examiner les programmes d’approvision- nement plus sûr de fond en comble et d’y apporter les ajustements nécessaires. Malgré les réticences politiques et les inquiétudes concernant le détournement, Mme Saks a défendu le financement continu des programmes d’approvisionnement plus sûr comme étant nécessaires pour sauver des vies, mais elle a signalé qu’il ne s’agis- sait que d’une approche parmi d’autres pour faire face à la crise. «Une grande partie de ce qui anime le débat sur les alternatives aux prescripteurs est ancré, malheureusement par l’opposition, dans la stigmatisation et la peur.» Elle a néanmoins reconnu que le gouver- nement fédéral pourrait en faire davantage pour informer la population sur le fonction- nement de ces programmes. La semaine dernière, Ya’ara Saks s’est rendu à Belleville, après que la ville de 50 000 habitants de l’est de l’Ontario ait déclaré l’état d’urgence le 8 février en raison de surdoses. Les premiers intervenants ont fait face à 17 surdoses en seulement 24 heures. L’entourage politique du premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, a promis plus d’argent pour la ville, mais a déclaré qu’il n’envisageait pas de recourir à un approvi- sionnement plus sûr en médicaments. Le message de la ministre Saks à ceux qui contestent les programmes de réduction des méfaits est de discuter.
GÉNÉRATIONS
14e Christiane Therrien - Pascal Laliberté, f. d’André et Ginette Brazeau, m. le 1999-10-09 à Hawkesbury, Ont. 13e Monique Lepage - Raymond Therrien (1950-2020), f. de Joseph et Marie-Laure Levac, m. le 1972-03-04 à Alfred, Ont. 12e Lucia Mayer (1931-2019) - Armand Lepage (1927-2012), f. de France et Delphina Quevillon, m. le 1950-04-10 à Hawkesbury, Ont. 11e Bernadette Legault (1887-1969) - Esdras Mayer (1888-1948), fermier, f. d’Isaïe, fermier, et Rose Anne Cusson, m. le 1911-06-26 à Hawkesbury,Ont. 10e Georgiana Condon (1868-1933) - Jean Baptiste Legault (1857-1927), f. de Jean Baptiste, cult., et Virginie Rouillard, m. le 1885-08-26 à Saint-Jean-Baptiste, Montréal, Qc 9e Alphonsine Lavoie (1845-1908) - Joseph Condon (1835-1909), commerçant, f. de Joseph Israël et Scholastique Brunet, m. le 1862-05-19 à Notre-Dame, Montréal, Qc 8e Thérèse Laurent/Lorty (1804-1881) - Antoine Lavoie (1810-1890), cult., f. de Jean Baptiste, cult., et Clémence Longpré, m. le 1830-10-25 à Saint-Vincent-de-Paul-de-l’Île-Jésus, Laval, Qc 7e Marie Thérèse Brazeau (1783-1865) - Jean Laurent/Lorty (1783-1857), f. de Pierre et Marie Magdeleine Gravelle, m. le 1804-02-13 à Saint-Vincent-de-Paul-de-Île-Jésus, Laval, Qc 6e Thérèse Janviau (1740-1800), vve de Joseph Nicolas Déroché - François Brasseau (1733-1804), cult., vf d’Agathe Laporte en 1res noces et Françoise Coutineau en 2es noces – Thérèse Venne, f. de Gabriel et Angélique Andegrave [/Champagne], m. le 1782-10-28 à l’Enfant-Jésus-de-la-Pointe- aux-Trembles, Montréal, Qc 5e Madeleine ou Denise Thouin/Germain et Roch (~1706-1786) - Jean Baptiste Venne (1700-1766), f. de Jean Venne ou Voyne) et Françoise Beauchamp, m. le 1730-01-16 à l’Enfant-Jésus-de-la- Pointe-aux-Trembles, N.-F. 4e Madeleine Beaudoin (1685-1771) - Germain Thouin (1676-1740), f. de Roch et Denise Colin, m. le 1704-01-26 à Pointe-aux-Trembles, N.-F. 3e Marie Charlotte Chauvin (1651-1718) - Jean Beaudoin (1638-1713), f. de Jean et Jeanne Bertet, m. le 1663-11-27 à Ville-Marie, N.-F. 2e Anne Archambault (1631-1699) - Michel Chauvin (1612-1699), f. de Gabriel et Marie Drouard, m. le 1647-07-29 à Québec, N.-F. 1re Françoise Tourault (1599-1663) - Jacques Archambault (~1604-1688), f. d’Antoine et Renée Ouvrard mariés avant 1604, m. le 1629-01-24 à Dompierre-sur-Mer, Aunis, France Lorsque Françoise et Jacques arrivent en Nouvelle-France en 1646 avec leurs six enfants, « toute la colonie est concentrée dans trois villages situés le long du Saint-Laurent, Québec fondé en 1608, Trois-Rivières en 1634 et Ville- Marie en 1642 sur l’île de Montréal. À Québec on commence tout juste à tracer des rues pour faire apparaître un petit village. Trois-Rivières n’est encore qu’un poste de traite. Et Ville-Marie qui vient d’être fondé n’est habité que par quelques personnes dont des missionnaires et des autochtones qui s’activent à construire le premier fort. 1 » La graphie des patronymes est celle des actes eux-mêmes Collaborateur, Jacques St-Aubin 1 https://primaire.recitus.qc.ca/sujet/organisation/nouvelle-france-1645
Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1
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