Express_2013_07_26

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Reaping rare finds RICHARD MAHONEY RICHARD.MAHONEY@EAP.ON.CA DUNVEGAN | Antiques are like land – they don’t make them anymore.

from the past. “It is a fascination. You can’t go to the store and buy it,” remarks the Vankleek Hill farm implement fan, who is on the road almost every summer weekend, showing off some of his collection at fairs and antique shows. His most recent stop was the Glengarry Pioneer Museum’s Appraisal and Collector’s Day, also known as “What ‘s It Worth?” Day, held Sunday. The itinerary this summer includes Ste- Anne, Maxville, Cumberland and William- stown. Hadley is a member of the Vintage Iron and Traditions of Eastern Ontario group, an organization that is dedicated to sharing and preserving rural technology. Years ago, people fashioned their own tools, using whatever was available. A garden planter, made in the early 1920s, is evidence of ingenuity. Made from wood, the hopper is equipped with an adjustable feeder, so it can handle different sizes of seeds. This is a popular item, relates Hadley. He faced stiff competition from other collec- tors when he spotted it at a sale. Other treasures are located in less obvi- ous places. A 1788 Groundhog thresher will soon be on display. “I found that in the bush.” About 20 private collectors took part in “What’s it worth?” Day, which again drew a large crowd. Many visitors brought trea- sures that were assessed by expert apprais- ers. There was also a silent auction of an- tiques and collectibles and a vintage vehicle show.

Des leçons à tirer

Pour des générations de Canadiens, les trains ont un cachet romantique. Le sifflet d’une locomotive signale un lien avec notre histoire. Les chemins de fer ont servi au cours des décennies comme l’épine dorsale de notre pays. Dans plusieurs communautés à travers l’Amérique du Nord, les services ferroviaires sont disparus depuis longtemps. Par exemple, l’ancienne ligne de service passager de VIA Rail dans Prescott-Russell est maintenant devenue un sentier récréatif. Un peu par- tout au Canada et aux États-Unis, les rails ont été remplacés par des sentiers. Par ailleurs, le train demeure un moyen de transport populaire et des locomotives et des wagons chargés de produits dangereux roulent à travers plusieurs villes et villages dans notre région. Depuis le 6 juillet, tout le monde parle des trains et des dangers que ces machines puissantes représentent. Les faits tragiques du désastre à Lac-Mégantic sont maintenant très familiers. Un train à la dérive. Plusieurs wagons d’un train-bloc exploité par la compagnie ferroviaire Montreal, Maine & Atlantic Railway (MMA), transportant du pétrole brut, ont déraillé. Un incendie s’est déclaré et des explosions se sont produites. Quelque 50 personnes sont mortes alors que le centre de la ville a été détruit. Il s’agit fort possiblement de l’accident ferroviaire le plus dévastateur de l’histoire du Canada. «Personne n’est indifférent», a dit le directeur général du village de Casselman, Marc Chénier. Est-ce qu’un incident comme celui de Lac-Mégantic pourrait arriver ici? «Tout le monde pose la même question», a mentionné M. Chénier. «Avant ça, je ne pense pas que beaucoup de gens réfléchissaient à ce qui était transporté à travers nos communautés.» Les édiles veulent en savoir davantage sur le contenu des trains de fret, afin que les autorités municipales puissent modifier leurs plans d’urgence communautaires et être mieux préparées, si le pire se produisait. C’est inquiétant de savoir que les accidents ferroviaires ne sont pas des cas isolés. Le Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST) a, par le passé, enquêté sur des centaines et des centaines d’accidents ferroviaires — dont plusieurs trains ayant déraillé. Jean Laporte, administrateur en chef des opérations au BST, a promis: «Nous veillerons à donner à la communauté, ainsi qu’à tous les Canadiens, les réponses qu’ils cherchent.» Selon M. Laporte, «En définitive, nous dirons aux Canadiens ce qui s’est passé, pourquoi ça s’est passé et ce qui doit être fait pour veiller à ce que ça n’arrive plus jamais». Le résultat final de cette enquête sera l’amélioration de la sécurité du transport. Des leçons seront tirées, a-t-il dit. «Nous identifierons clairement les moyens d’améliorer la sécurité des chemins de fer pour les Canadiens et pour nos villes et municipalités. C’est l’engagement du BST envers cette communauté et envers tous les Canadiens». Tout le monde espère que le BST puisse respecter cette promesse. Si les efforts portent les résultats désirés, c’est possible que quelque chose de bien ressorte de cette tragédie. Des crimes déshonorants Partout dans le monde, les trafiquants de cuivre et de bronze volent des plaques com- mémoratives et historiques. Ils ciblent des lieux historiques, des cimetières et des en- droits publics. Le problème est rendu tellement grave que certaines compagnies, dans le but de confondre les criminels, produisent des plaques qui ne contiennent pas de mé- tal convoité mais donnent l’apparence qu’elles sont fabriquées de bronze ou de cuivre. Nous avons parlé dernièrement du vol d’une plaque au monument des anciens combat- tants à L’Orignal. Ces criminels n’ont pas d’honneur et ce type de vol est particulièrement dégoûtant.

That is one of the reasons collectors such as Gordon Hadley are so fixated on things

Gordon Hadley, of Vankleek Hill, with a feed bag from the defunct William Ew- ing Seed Company.

Bev MacLennan, Apple Hill, has an as- sortment of hand-powered kitchen tools.

Phil Arber evaluates a treasure.

36 700 copies

Bertrand Castonguay , President, bertrand@eap.on.ca Roger Duplantie , D.G. / G.M., roger@eap.on.ca François Bélair , Sales & Development, fbelair@eap.on.ca François Legault , Directeur de l’information/News Editor, francois.legault@eap.on.ca Yvan Joly , Sales director (Hawkesbury), yvan@eap.on.ca François Leblanc , Directeur (Lachute), francois.leblanc@eap.on.ca Gilles Normand , Production & Distribution Mgr., gilles.normand@eap.on.ca Julien Boisvenue , Layout & Prepress Mgr., julien.boisvenue@eap.on.ca

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Photos Richard Mahoney

Len Dupuis sizes up an item under the watchful gaze of some of the many who brought treasures to be assessed.

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