Carillon_2020_05_20

JOURNAUX EN LIGNE www.editionap.ca

T H E N EWS

ÉDITION SPÉCIALE • 8 PAGES • HAWKESBURY, ON • 20 MAI 2020

UNE SOLUTION MADE IN HAWKESBURY

PAGE 3

Nouvelle application mobile! CHERCHEZ EAP - Journaux New mobile application! LOOK FOR EAP - Newspapers

A C T U A L I T É S • N E W S

DIX-SEPT HECTARES DE FLAMMES À BROWNSBURG-CHATHAM

ANDRÉ FARHAT andre.farhat@eap.on.ca

Un important feu de forêt s’est déclaré à Brownsburg-Chatham le jeudi 14 mai. Le lendemain, les pompiers, aidés de sapeurs de la Société de protection des forêts contre les feux et d’un avion-ci- terne, combattaient toujours le brasier. Une autre semaine, un autre feu de for ¬ t. Les pompiers en ont plein les bras, et la Soci « t « de protection des for ¬ ts contre les feux (SOPFEU) a d ½ d « ployer ses forces a « riennes une seconde fois en moins de 20 jours dans Argenteuil. La SOPFEU est venue porter mainforte au service des incendies de Brownsburg-Chatham, afin de contenir, maitriser et « teindre un massif feu de for ¬ t s’étendant sur 17,6  hectares, ou 42 acres. L’incendie a « t « signal « un peu apr ª s midi, le 14 mai, dans le secteur de la rivi ª re Ouest. Les troupes du service des incendies de Brownsburg-Chatham se sont imm « dia- tement mises en route, empruntant des chemins accident « s pour se rendre le plus pr ª s du feu. L’acc ª s a toutefois repr « sent « un enjeu majeur, autant pour les v « hicules que pour l’équipement et l’approvisionnement en eau. m On avait 1900 pieds de tuyaux ¢ transporter, plus les pompes } , a expliqué un pompier local. m On a pomp «¢ m ¬ me la rivi ª re, a ajouté un de ses collègues. Et il a fallu brancher plusieurs tuyaux ¢ une seule pompe, ce qui diminue la pression. } D’ailleurs, le d « placement des

Les pompiers ont combattu pendant deux jours l’intense brasier et la fumée toxique dans des conditions ardues dues au vent et à un accès difficile au site. — photo fournie

« quipements et des effectifs s’est fait partiellement par h « licopt ª re. Les flammes ont également profité des él «PHQWV pour s’alimenter. «Il y avait beau- coup de vent, alors © a avan © ait vite } , a racon- té un des sapeurs de Brownsburg-Chatham. ‚K ODEULJDGHG ’incendie locale a donn «OHUHODL¢ leurs coll ª gues de la Régie

pour prot « ger la tubulure, a-t-il affirm « . On aurait pu perdre jusqu’à 500  entailles } . M. Foucault a même participé au rep « UDJH par hélicoptère avec les sapeurs afin de leur montrer certains acc ª s possibles. Il a précis « que m le feu a m ¬ me travers « la rivière Ouest, en allant vers Pine Hill! } Les pompiers ont cri « une double victoire, ne rapportant pas de pompiers bless « s ni incommod « s. La cause exacte de l’incendie reste ¢ d « terminer, mais la SOPFEU confirme qu’elle est humaine. M « lanie Morin, de la SOPFEU affirme que m 100% des feux de for ¬ t et de broussaille ce printemps sont de cause humaine } . Les feux ¢ ciel ouvert et la n « gligence (les cigarettes jet « es au sol, par exemple) sont les instigateurs les plus souvent rapport « s par les services d’incendie. La SOPFEU et l’ensemble des municipa- lit « s d’Argenteuil rappellent que des r ª gles tr ª s strictes sont en vigueur en ce moment, notamment que les feux ¢ ciel ouvert sont interdits sur le territoire int « gral du Qu « bec.

incendie des Monts, de Sainte-Agathe, qui a assuré le combat contre les flammes jusqu’à 20 h. Opération aérienne à quatre Quatre avions-citernes de la SOPFEU se sont relay « s, en « quipe de deux, pour arroser le sol brulant. Les Canadair CL–215 et CL–415 se sont aliment « s dans la rivi ª re des Outaouais, ce qui a cr «« stupeur et « merveillement chez bien des curieux. Le lendemain, 13 sapeurs de la SOPFEU, men « s par le chef de lutte d’incendie Jona- than M « nard, et appuy « s par des pompiers locaux et de Sainte-Agathe, ont proc « d « ¢ l’extinction finale, ce qui consiste entre autres ¢ annihiler la fum « e au centre du sinistre. Un travail hors pair ‹ ric Foucault, propri « taire d’une des terres sur lesquelles le brasier a s « vi, a « t « tr ª s impressionn « par le travail des combattants du feu. M. Foucault poss ª de l’ « rabli ª re O-Nature sur place qui aurait pu bien y passer, n’e ½ t « t « efforts des pom- piers. m Ils ont vraiment fait tout un boulot

TÉLÉCHARGEZ NOTRE APPLICATION MOBILE! DOWNLOAD OUR MOBILE APPLICATION! Should this be the case, you can consult it online at www.editionap.ca/journaux-en-ligne-online-editions. You can also call us at 1-800-267-0850 to find out how you can get a copy. Thank you for your understanding. COVID-19 Veuillez noter qu’en raison des bouleversements causés par la pandémie de la COVID-19, il se pourrait que certains d’entre vous ne receviez pas l’exemplaire de votre journal. Dans cette éventualité, vous pouvez le consulter en ligne, www.editionap.ca/journaux-en-ligne-online-editions. Vous pouvez aussi nous appeler au 1-800-267-0850 pour savoir où vous procurer un exemplaire. Merci de votre comprehension. Please note that because of the COVID-19 pandemic, it is possible that you do not receive a copy of your newspaper.

DENTUROLOGISTE SUR RENDEZ-VOUS 408, rue Principale, Grenville 1-819-242-3618 Anciennement Germain Charron Magalie Hüpfer d.d. MAINTENANT DÉMÉNAGÉ

Un hélicoptère de la SOPFEU a permis de déplacer du personnel et de l'équipement dans des zones difficiles d'accès. — photo André Fahrat É PROFESSIONNELS

EDITION AP

CHERCHEZ EAP - Journaux LOOK FOR EAP - Newspapers

RAYMOND DALLAIRE

GESTION R & P DALLAIRE

www. editionap .ca

SUIVEZ-NOUS/FOLLOWUS: WWW.EDITIONAP.CA OU/OR FACEBOOK

Comptabilité • Impôt • Gestion • Gestion immobilière 162, rue Race Tél. : 1 613 632-5596 Hawkesbury (Ont.) K6A 1V2 Téléc. : 1 613-632-5306

T H E N EWS

A C T U A L I T É S • N E W S

TULMAR, ACTEUR IMPORTANT DANS LA LUTTE CONTRE LA COVID

GREGG CHAMBERLAIN gregg.chamberlain@eap.on.ca

Une entreprise de Hawkesbury se joint à la lutte contre le COVID-19 en fournis- sant à l’Hôpital général de Hawkesbury & District General Hospital des écrans faciaux réutilisables très nécessaires pour les médecins, les infirmières et les autres membres du personnel. «Nous avons eu un excellent partenariat avec l’Hôpital général de Hawkesbury, a déclaré Patrick Tallon, président de Tulmar Safety Systems Inc. lors d’un entretien téléphonique le 15 mai. L’hôpital est notre première priorité, mais nous recevons beau- coup de demandes d’ailleurs.» L’administration et le personnel de Tulmar ont découvert qu’il y a une énorme demande pour le dernier-né des équipements de pro- tection de l’entreprise. Il s’agit d’un bouclier intégral réutilisable destiné à protéger les travailleurs de la santé et les premiers inter- venants lorsqu’ils sont en service et qu’ils doivent s’occuper de personnes face-à-face pendant l’actuelle pandémie COVID-19. L’entreprise de Hawkesbury est surtout connue pour la conception et la fabrication d’équipements de protection individuelle et de sauvetage d’urgence de haute qualité pour l’industrie aérospatiale et l’armée. L’entreprise a contacté l’administration de l’hôpital général de Hawkesbury & District à la mi-mars, au début de la pandémie, pour demander si Tulmar pouvait aider à répondre à certains des besoins de l’hôpi- tal en matière d’équipement de protection individuelle (EPI). «Ils ont répondu presque dans l’heure», a déclaré M. Tallon, ajoutant que les trois articles dont l’HGH avait le plus besoin étaient les blouses de protection inté- grale, les écrans faciaux et les masques chirurgicaux. Le personnel de Tulmar a examiné la liste et a décidé de se concentrer sur les deux premiers points. Tallon a noté que deux de ses collaborateurs, Meagan Bocking et Amanda Howes, ont pris la tête du projet. «Elles sont devenues la force motrice de ce projet», a-t-il déclaré. Projet : Protection L’HGH a fourni à Tulmar des échantillons des types de blouses et d’écrans faciaux nécessaires à l’hôpital. Le personnel de Tulmar a ensuite vérifié l’inventaire des matériaux de l’entreprise pour voir ce qui était disponible et ce qui pourrait fonctionner, tandis que d’autres employés ont commencé à dessiner des modèles. Après avoir examiné l’inventaire des fournitures et fait quelques expériences, le personnel de Tulmar a convenu qu’il ne serait pas possible de produire une blouse de protection adéquate pour les travailleurs de la santé. «Le problème était d’obtenir le matériel, a expliqué M. Tallon. Le tissu de qualité médicale n’était tout simplement pas en stock.» L’équipe de conception de Tulmar a donc tenté de créer une blouse de protection en utilisant un type de tissu marin que l’entreprise avait en stock. Il était durable, mais le matériel ne pouvait pas résister à la température requise pour stériliser les équipements de protection des hôpitaux après chaque utilisation. L’équipe de conception s’est concentrée sur l’écran facial, qui s’est avéré un succès.

Meagan Bocking (à gauche) et Amanda Howes sont les deux employées de Tulmar Safety Systems Inc. qui ont été la principale force motrice de l’équipe de conception qui a créé l’écran facial réutilisable de protection personnelle Tulmar pour le personnel de l’hôpital général de Hawkesbury & District. L’équipement de protection personnelle fabriqué à Hawkesbury, qu’ils portent, aidera à protéger les travailleurs de l’hôpital local contre le risque de contagion par COVID-19 dans l’exercice de leurs fonctions. L’entreprise prévoit également de mettre le bouclier facial à la disposition des premiers intervenants. —photo fournie

Deux types de plastique vinylique ont été tes- tés, et celui qui a le mieux fonctionné était à la fois totalement transparent et capable de résister au processus de stérilisation encore mieux que prévu. L’HGH a demandé un écran facial réu- tilisable qui pourrait être utilisé au moins 10 fois, permettant la stérilisation entre chaque utilisation. L’écran facial de Tulmar a prouvé qu’il pouvait supporter la chaleur et être bon pour au moins 50 fois avant de ne plus être réutilisable. La seule chose dont l’écran facial avait besoin était de remplacer le protège-front en mousse, car elle ne survivrait pas au proces- sus de stérilisation. Le personnel de Tulmar a conçu un protège-front qui s’enclenche et se déclenche facilement, et la société s’est assurée que l’HGH disposerait d’un stock de protège-fronts avec sa cargaison d’écrans faciaux. Dans l’ensemble, a noté M. Tallon, le projet d’écran facial a pris environ trois semaines du début à la fin, y compris la conception et la fabrication initiale. L’HGH a reçu sa livraison d’écrans faciaux Tulmar prêts à l’emploi à la fin du mois d’avril. L’entreprise a mis de côté une partie des écrans faciaux de cette première série de fabrication pour en faire don au Service des incendies de Hawkesbury, afin de s’assurer que ses premiers intervenants disposent d’une protection adéquate lorsqu’ils sont

confrontés à des accidents ou à d’autres situations au cours desquelles ils pourraient être exposés au COVID-19. En garde maintenant L’écran facial EPI Tulmar destiné aux travailleurs de la santé et aux premiers inter- venants fera désormais partie de l’inventaire permanent de la société en matière d’équi- pement de protection individuelle disponible sur le marché. Pour l’instant, l’entreprise s’efforcera de répondre aux demandes d’EPI

pendant la pandémie de la part des secteurs des soins de santé et des interventions d’urgence, mais Tallon espère que d’autres entreprises pourront bientôt commander à Tulmar des boucliers faciaux fabriqués à Hawkesbury. «Nous sommes habitués à fabriquer des choses qui sauvent des vies, a déclaré M. Tallon. Nous sommes assez fiers de notre main-d’œuvre.»

225719

OUVERT 7 JOURS SEMAINE

LINDA BOYER-FAWCETT linda@vapesolution.ca

Hawkesbury Mall 250, Main E. Hawkesbury ON 613 632-1876

547, rue Principale Lachute QC 450 562-9493

A C T U A L I T É S • N E W S

GRANDS, GRANDS EXCÈS DE VITESSE SUR NOS ROUTES

ANDRÉ FARHAT andre.farhat@eap.on.ca

‚*UHQYLOOHOHVGHX[KRPPHV¤J«VGH HWDQVURXODLHQWDXGHO¢GHNPK GDQVXQH]RQHGHNPK(QDSUªVPLGL XQKRPPHGHDQVD«W«LQWHUFHSW«VXUOD PRQW«H/D%UDQFKH¢ Brownsburg-Chatham. Le coureur du dimanche a été surpris en train de rouler 120 km/h sur cette route étroite, sinueuse et en relief où la limite permise est de 70 km/h. Les policiers lui ont remis en guise de prix une amende de 811 dollars et 10 points d’inaptitude. Ce dernier cas n’est pas sans rappeler l’inconduite d’un Lachutois de 41 ans qui s’est  U«FHPPHQW fait coller une peine de 1233 dollars et 14 points d’inaptitude pour avoir fait grimper l’odomètre de son véhicule à 134 km/h sur la route des Seigneurs, une zone de 70 km/h. On pourrait aussi parler du cas du conduc- teur qui «clenche }VRQY«KLFXOHDXGHO¢GH NPK sur la route 158 et qui récolte une amende de 1533 $ et 18 points d’inaptitude. Ou encore du gaillard de 19 ans qui s’est fait épingler alors qu’il frôlait les 200 km/h sur l’autoroute 15, près de Saint-Jérôme.

Il n’y a pas à dire : la vitesse a la cote en campagne. Les policiers de la Sûreté du Québec (SQ), et d’ailleurs, en ont plein les bras ce printemps avec des pilotes au pied lourd pris en flagrant délit de grand excès de vitesse. Entre le 13 mars et le 13 mai, pas moins de 20 arrestations ont été recensées pour grand excès de vitesse dans les Laurentides. Ce type de comportement routier n’est pas propre à ce printemps, mais la fonte des neiges et l’arrivée de températures plus douces semblent stimuler les speed freaks et autres automobilistes insouciants. «Le beau temps amène certains comportements comme la grande vitesse, c’est sûr», a déclaré Marc Tessier, de la SQ. Par exemple, le 8 mai, entre 11h et 15h, des patrouilleurs ont arrêté trois hommes pour grands excès de vitesse. Les incidents sont survenus deux fois ¢*UHQYLOOHDXP¬PH HQGURLW , ainsi qu’ ¢ Brownsburg-Chatham.

La Sûreté du Québec a mis la main au collet d’une vingtaine de conducteurs avides de vitesse depuis le 13 mai dernier. Certains d’entre eux frôlaient les 200 km/h. —photo André Farhat

Dans la région «ODUJLH toutefois, la palme revient au conducteur d’un Dodge Challenger qui, au volant de son bolide équipé d’un moteur de 707 hp, a «W««S inglé alors qu’il roulait 270 km/h sur l’autoroute 417, près de Hawkesbury. Dans tous ces cas, les chauffards ont vu leurs permis suspendus pour sept MRXUV , ce qui est la norme pour ce genre d’infraction dans plusieurs juridictions. Et avec la levée des points de contrôle liés à la COVID-19, les patrouilleurs ont plus de temps pour s’attarder aux imprudents. Dans la majorité des cas  U«SHUWRUL«V , les contrevenants sont des hommes ayant en moyenne plus de 35 ans. Ces données, bien qu’anecdotiques, n’en demeurent pas moins intéressantes.

Qu’est-ce qu’un grand excès de vitesse? Selon la Société de l’assurance-automo- bile du Québec (SAAQ), on considère comme grand excès de vitesse un dépassement de la limite permise de 40 km/h ou plus dans une zone où la limite est de 60 km/h ou moins, 50 km/h ou plus dans une zone où la limite est de plus de 60 km/h à 90 km/h, 60 km/h ou plus dans une zone où la limite est de 100 km/h ou plus Une telle accusation amène une suspen- sion immédiate du permis pour une période de sept jours, s’accompagne d’amendes et de points d’inaptitude et peut mener à la révocation du permis de conduire. Et bien entendu, c’est sans les extrêmes risques que la vitesse entraine – pour le conducteur, ses passagers et les autres.

Né d’une race FIÈRE LAUZON

Le premier ancêtre au pays est Gilles Lauzon, engagé de la recrue 1653, fils de Pierre et Anne Boivin, de Saint- Julien, Caën, Calvados, Basse-Normandie, France. Il épouse Marie Archambault, née vers 1644, (rec. 1666) (rec. 1667) (rec. 1681), fille de Jacques, premier puisatier de Ville-Marie, et Françoise Tourault, mariés vers 1621, de Dompierre-sur-Mer, Charente-Maritime, France. Neuf filles et quatre fils, tous baptisés à Ville-Marie (Montréal), sont issus de cette union. Gilles est inhumé le 27 septembre 1687 et Marie, le 8 août 1685, tous deux à Ville- Marie, Nouvelle-France. « Les Lauzon descendent de 3 pionniers, dont Gilles Lauzon, maître chaudronnier, époux de Marie (Marie- Anne) Archambault, ancêtre de la très grande majorité d’entre eux. Les deux autres, Daniel Lauzon et Pierre Laurent dit Lauzon, n’arrivent en Amérique qu’en 1755. Aucun Lauzon ne descend du célèbre Jean de Lauson, gouverneur de la Nouvelle-France de 1651 à 1656, qui a donné son nom à la ville de Lauzon, près de Québec. 1 » GÉNÉRATIONS 8e Joseph Donat Henri Lauzon, laitier – M. Yvonne Laurette Pharand, fille d’Hormisdas, cult., et Mathilde Chénier m. le 1936-04-21 à Saint-Hermas, Qc 7e Alexandre Lauzon, cult., vf de Célamire Lauzon – Éliza Damour, fille d’Étienne, cult., et Angèle Girard m. le 1889-04-22 à Saint-Joseph-du-Lac, Qc 6e Félix Lauzon – Narcisse Husereau, fille de Jean Baptiste et Susanne Baulnes m. le 1842-08-15 à Saint-Benoit, Qc 5e Étienne Lauson – Marie Louise Vinette, fille de François, cult., et Marie Élisabeth Daout m. le 1809-02-06 à Pierrefonds, Qc 4e Michel Lauzon, cult. – Marguerite Giroud, fille d’Étienne et Margueritte Rondeau m. le 1774-11-07 à Pierrefonds, Qc 3e Pierre Lauzon – Jeanne Roy, fille d’André et Jeanne Saint-Jean m. le 1732-10-12 à Pointe- Claire, N.-F. 2e Michel Lozon – Marie Anne Coitoux, fille de Jean Coitoux/Saint-Jean et Marie Petit m. le 1702- 05-15 à Pointe-aux-Trembles, N.-F. 1re Gile Lozon – Marie Anne Archambau, fille de Jacques et Françoise Torau m. le 1656-11-27 à Notre-Dame, Ville-Marie, N.-F. La graphie des patronymes est celle des actes de mariage eux-mêmes Que se passe-t-il en Nouvelle-France alors que Gilles et Marie Anne fondent leur famille ? Les concessions (seigneuries) suivantes ont été établies en 1656 : Cinquième-Rivière (1656)

Grande-Anse (1656) Normanville (1656) Notre-Dame de Québec (1656) Sainte-Marie (1656

Donat H. Lauzon (8e génération). « Né en 1911 à Hawkesbury, Ontario, j’ai commencé l’école en 1918 et ai quitté en 1924. À l’âge de 13 ans, j’ai été employé à Hawkesbury Dairy par M. Ben Chamaillard, propriétaire. En 1935, j’ai loué cette laiterie et en 1945, j’ai acheté son commerce. De 1924 à 1941, la livraison se faisait en voiture avec cheval. J’ai construit ma propre laiterie au coin des rues Sinclair et Catherine sous le nom de Laiterie Perfection Dairy. En 1973, j’ai discontinué les opérations après 49 ans dans le même commerce. » Collaborateur : Yvon Normand 1 https://actu.fondationlionelgroulx.org/Genealogie-des-Lauzon.html

Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1

Il y a quelques semaines, la Police provinciale de l’Ontario a arrêté ce véhicule qui circulait à 270 km/h sur l’autoroute 417. —archives

A C T U A L I T É S • N E W S

BOURSES EN AGRICULTURE POUR ÉTUDIANTS FRANCOPHONES RÉDACTION EAP nouvelles@eap.on.ca

Les intéressés ont jusqu’au 15 aout 17h afin de soumettre leur dossier. Ces bourses sont possibles grâce au Fonds de la relève agricole, un partenariat entre la Fondation franco-ontarienne et l’UCFO établi depuis 2006. L’objectif du programme de bourses du Fonds de la relève agricole c’est d’encou- rager la relève et les entreprises de langue française dans les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire en Ontario. Le Fonds de la relève agricole franco-ontarienne favorise l’éducation, le démarrage, l’établis- sement et le développement de nouvelles entreprises agricoles franco-ontariennes. Les bourses d’études, d’une valeur de 500 $, sont accessibles aux étudiants âgés de 16 à 25 ans inscrits dans un domaine admissible en lien avec l’agriculture. Les bourses de projets d’entreprise, d’une valeur de 6 000 $, appuient les initiatives de jeunes entrepreneurs agricoles. L’Union des cultivateurs franco-onta- riens a été fondée en 1929. Elle a pour mission de représenter et de défendre les intérêts des agriculteurs et producteurs franco-ontariens. En 2006, le président à l’époque, Pierre Bercier, décide de créer le Fonds de la relève agricole. À ses yeux, il était tout simplement «inacceptable» que les jeunes qui se dirigeaient en agriculture n’aient pas le privilège de bénéficier d’un coup de pouce financier. Aujourd’hui, plus de 70000 dollars en bourses ont été distri- bués depuis 2015. «Pierre Bercier était un visionnaire, a déclaré Danik Lafond, directeur général de l’UCFO. Le Fonds de la relève agricole a permis d’aider financièrement et d’encou- rager plusieurs étudiants en agriculture et appuyé le démarrage de nombreux pro- jets d’entreprise. La crise de la COVID-19 semble redonner ses lettres de noblesse aux agriculteurs et producteurs qui assurent la souveraineté alimentaire. Les personnes qui décident d’œuvrer en agriculture ou en agroalimentaire méritent qu’on les appuie.» Pour plus d’informations ou proposer sa candidature à ces deux bourses, les intéressés peuvent consulter le site de l’UCFO : http://ucfo.ca/ fonds-de-releve-agricole-franco-ontarienne/.

L’Union des cultivateurs franco-onta- riens (UCFO) lance une fois de plus son appel aux candidatures pour bénéficier de bourses d’études ou de bourses de projet d’entreprise en agriculture ou agroalimentaire.

LA SDCPR ANNONCE LE LANCEMENT DU FONDS D’AIDE ET DE RELANCE RÉGIONALE

La Société de développement com- munautaire de Prescott-Russell a annoncé la semaine dernière le lan- cement du Fonds d’aide et de relance régionale (FARR) de Prescott-Russell . L’objectif du FARR est de fournir des contributions financières (prêts sans intérêt) pour aider à soutenir les frais d’exploitation fixes des PME, lorsque leurs revenus ont été affectés par la pandémie de COVID-19. «Dès le premier jour de la pandémie de COVID19, la Société de développement communautaire de Prescott-Russell, son conseil d’administration et le personnel ont rédigé et mis en oeuvre des mesures souples concrètes pour soutenir ses clients et d’autres petites entreprises de Prescott-Russell», a déclaré Éric Drouin, président de la SDCPR. Il poursuit : «Ces petites entreprises sont le coeur et l’âme de toutes nos collectivités et ne font pas exception au besoin de soutien financier, et le Fonds d’aide et de relance régionale de Prescott- Russell contribue à ce que bon nombre de petites entreprises poursuivent leur exploitation tout en les préparant à la reprise économique.» Pour en savoir davantage, les intéres- sés peuvent consulter www.sdcpr-prcdc.ca

L’Union des cultivateurs franco-ontariens lance une fois de plus son appel aux candidatures pour bénéficier de bourses d’études ou de bourses de projet d’entreprise en agriculture ou agroalimentaire. —photo tirée d’une banque d’images OTTAWA ENVOIE JUSQU’À 500 $ AUX AINÉS

Le gouvernement du Canada offrira jusqu’à 500 dollars de plus aux ainés. Cela s’ajoute aux subventions consa- crées aux organismes qui leur viennent en aide. Les annonces de prestations, de réa- justements et de bonification se suivent à un rythme tel qu’il est difficile de faire la part entre les nouveaux dollars et les fonds recyclés. Or, Ottawa vient d’annoncer un apport de 2,5 milliards de dollars pour les ainés.

Cette somme prendra la forme de verse- ments uniques non imposables de 300 $ aux quelque 6,5 millions d’ainés qui sont admissibles à la pension de la Sécurité de la vieillesse (SV). Les 2,2 millions de Canadiens de 65 ans qui ont droit au Supplé- ment de revenu garanti (SRG) verront celui-ci bonifié d’un paiement supplémentaire de 200 dollars. Le versement de ces sommes se fera automatiquement, avec le dépôt de leur pension ou SRG.

GARDERIES: NOTE PARFAITE POUR LE PERSONNEL

Publié le jeudi par : La Compagnie d’édition André Paquette Inc. Imprimé par : Imprimerie Prescott et Russell, Hawkesbury, ON # convention : 0040012398

BERTRAND CASTONGUAY Président bertrand@eap.on.ca YVAN JOLY Directeur des ventes yvan@eap.on.ca FRANÇOIS LEGAULT

1100, rue Aberdeen Street, C.P. / P.O. Box 1000, Hawkesbury, ON K6A 3H1 1-800-267-0850 Fax.: 613-632-6383

Directeur de l’information francois.legault@eap.on.ca GILLES NORMAND Directeur de Production et Distribution gilles.normand@eap.on.ca MARCO BLAIS, CARL LALONDE Infographie et prépresse pub@eap.on.ca Publicité : yvan@eap.on.ca Nouvelles : nouvelles@eap.on.ca CLASSÉES • CLASSIFIED: reception@eap.on.ca

Nous invitons les lecteurs à nous faire parvenir leurs lettres qui ne doivent pas dépasser 300mots. Nous nous réservons le droit de les modifier ou de refuser de les publier. L’expéditeur doit inclure son nom, prénom, adresse et numéro de téléphone.

Au cours de la semaine dernière, les ambulanciers paramédicaux des Comtés unis de Prescott-Russell ont prélevé des échantillons par écouvillonnage sur le personnel de quatre des six garderies que les Comtés unis de Prescott-Russell ont mis sur pied pour les parents travaillant pour des services essentiels. Tous les tests sont revenus négatifs pour le COVID-19. —photo fournie

Avis : En cas d’erreur ou d’omission, la responsabilité du journal ne dépasse, en aucun temps, le montant de l’espace de l’erreur en cause.

Toute reproduction du contenu est interdite à moins d’autorisation écrite au préalable.

www.editionap.ca

TÉLÉCHARGEZ NOTRE APPLICATION MOBILE! DOWNLOAD OUR MOBILE APPLICATION!

1

EDITION AP

CHERCHEZ EAP - Journaux LOOK FOR EAP - Newspapers

AUTORISEZ VOS NOTIFICATIONS ET TENEZ-VOUS AU COURANT DES PLUS RÉCENTES NOUVELLES SUR LA COVID-19 ET D’AUTRES SUJETS D’INTÉRÊT. CONSULTEZ ÉGALEMENT DERNIÈRE HEURE .

ACTIVATE YOUR NOTIFICATIONS AND STAYABREAST OF THE MOST RECENT INFORMATION ON COVID-19 AND OTHER TOPICS OF INTEREST. YOU CAN ALSO CONSULT DERNIÈRE HEURE.

Lisez le journal numérique EAP tous les jeudis Read the EAP digital newspaper every Thursday

SUIVEZ-NOUS/FOLLOWUS: WWW.EDITIONAP.CA OU/OR FACEBOOK

T H E N EWS

Nos efforts contribuent à protéger la collectivité de la COVID-19 Alors que les entreprises commencent à rouvrir, restons vigilants pour nous protéger les uns les autres.

Respectez l’écart sanitaire de deux mètres avec autrui

2 m

Quand c’est difficile ou impossible de respecter l’écart sanitaire, portez un masque

Lavez-vous les mains soigneusement et fréquemment

Chez vous ou ailleurs, soyez prudents. Sauvez des vies.

Payé par le gouvernement de l’Ontario Pour en savoir plus, consultez ontario.ca/nouveaucoronavirus

Page 1 Page 2 Page 3 Page 4 Page 5 Page 6 Page 7 Page 8

Made with FlippingBook Annual report