A C T U A L I T É S • N E W S
GRANDS, GRANDS EXCÈS DE VITESSE SUR NOS ROUTES
ANDRÉ FARHAT andre.farhat@eap.on.ca
*UHQYLOOHOHVGHX[KRPPHV¤J«VGH HWDQVURXODLHQWDXGHO¢GHNPK GDQVXQH]RQHGHNPK(QDSUªVPLGL XQKRPPHGHDQVD«W«LQWHUFHSW«VXUOD PRQW«H/D%UDQFKH¢ Brownsburg-Chatham. Le coureur du dimanche a été surpris en train de rouler 120 km/h sur cette route étroite, sinueuse et en relief où la limite permise est de 70 km/h. Les policiers lui ont remis en guise de prix une amende de 811 dollars et 10 points d’inaptitude. Ce dernier cas n’est pas sans rappeler l’inconduite d’un Lachutois de 41 ans qui s’est U«FHPPHQW fait coller une peine de 1233 dollars et 14 points d’inaptitude pour avoir fait grimper l’odomètre de son véhicule à 134 km/h sur la route des Seigneurs, une zone de 70 km/h. On pourrait aussi parler du cas du conduc- teur qui «clenche }VRQY«KLFXOHDXGHO¢GH NPK sur la route 158 et qui récolte une amende de 1533 $ et 18 points d’inaptitude. Ou encore du gaillard de 19 ans qui s’est fait épingler alors qu’il frôlait les 200 km/h sur l’autoroute 15, près de Saint-Jérôme.
Il n’y a pas à dire : la vitesse a la cote en campagne. Les policiers de la Sûreté du Québec (SQ), et d’ailleurs, en ont plein les bras ce printemps avec des pilotes au pied lourd pris en flagrant délit de grand excès de vitesse. Entre le 13 mars et le 13 mai, pas moins de 20 arrestations ont été recensées pour grand excès de vitesse dans les Laurentides. Ce type de comportement routier n’est pas propre à ce printemps, mais la fonte des neiges et l’arrivée de températures plus douces semblent stimuler les speed freaks et autres automobilistes insouciants. «Le beau temps amène certains comportements comme la grande vitesse, c’est sûr», a déclaré Marc Tessier, de la SQ. Par exemple, le 8 mai, entre 11h et 15h, des patrouilleurs ont arrêté trois hommes pour grands excès de vitesse. Les incidents sont survenus deux fois ¢*UHQYLOOHDXP¬PH HQGURLW , ainsi qu’ ¢ Brownsburg-Chatham.
La Sûreté du Québec a mis la main au collet d’une vingtaine de conducteurs avides de vitesse depuis le 13 mai dernier. Certains d’entre eux frôlaient les 200 km/h. —photo André Farhat
Dans la région «ODUJLH toutefois, la palme revient au conducteur d’un Dodge Challenger qui, au volant de son bolide équipé d’un moteur de 707 hp, a «W««S inglé alors qu’il roulait 270 km/h sur l’autoroute 417, près de Hawkesbury. Dans tous ces cas, les chauffards ont vu leurs permis suspendus pour sept MRXUV , ce qui est la norme pour ce genre d’infraction dans plusieurs juridictions. Et avec la levée des points de contrôle liés à la COVID-19, les patrouilleurs ont plus de temps pour s’attarder aux imprudents. Dans la majorité des cas U«SHUWRUL«V , les contrevenants sont des hommes ayant en moyenne plus de 35 ans. Ces données, bien qu’anecdotiques, n’en demeurent pas moins intéressantes.
Qu’est-ce qu’un grand excès de vitesse? Selon la Société de l’assurance-automo- bile du Québec (SAAQ), on considère comme grand excès de vitesse un dépassement de la limite permise de 40 km/h ou plus dans une zone où la limite est de 60 km/h ou moins, 50 km/h ou plus dans une zone où la limite est de plus de 60 km/h à 90 km/h, 60 km/h ou plus dans une zone où la limite est de 100 km/h ou plus Une telle accusation amène une suspen- sion immédiate du permis pour une période de sept jours, s’accompagne d’amendes et de points d’inaptitude et peut mener à la révocation du permis de conduire. Et bien entendu, c’est sans les extrêmes risques que la vitesse entraine – pour le conducteur, ses passagers et les autres.
Né d’une race FIÈRE LAUZON
Le premier ancêtre au pays est Gilles Lauzon, engagé de la recrue 1653, fils de Pierre et Anne Boivin, de Saint- Julien, Caën, Calvados, Basse-Normandie, France. Il épouse Marie Archambault, née vers 1644, (rec. 1666) (rec. 1667) (rec. 1681), fille de Jacques, premier puisatier de Ville-Marie, et Françoise Tourault, mariés vers 1621, de Dompierre-sur-Mer, Charente-Maritime, France. Neuf filles et quatre fils, tous baptisés à Ville-Marie (Montréal), sont issus de cette union. Gilles est inhumé le 27 septembre 1687 et Marie, le 8 août 1685, tous deux à Ville- Marie, Nouvelle-France. « Les Lauzon descendent de 3 pionniers, dont Gilles Lauzon, maître chaudronnier, époux de Marie (Marie- Anne) Archambault, ancêtre de la très grande majorité d’entre eux. Les deux autres, Daniel Lauzon et Pierre Laurent dit Lauzon, n’arrivent en Amérique qu’en 1755. Aucun Lauzon ne descend du célèbre Jean de Lauson, gouverneur de la Nouvelle-France de 1651 à 1656, qui a donné son nom à la ville de Lauzon, près de Québec. 1 » GÉNÉRATIONS 8e Joseph Donat Henri Lauzon, laitier – M. Yvonne Laurette Pharand, fille d’Hormisdas, cult., et Mathilde Chénier m. le 1936-04-21 à Saint-Hermas, Qc 7e Alexandre Lauzon, cult., vf de Célamire Lauzon – Éliza Damour, fille d’Étienne, cult., et Angèle Girard m. le 1889-04-22 à Saint-Joseph-du-Lac, Qc 6e Félix Lauzon – Narcisse Husereau, fille de Jean Baptiste et Susanne Baulnes m. le 1842-08-15 à Saint-Benoit, Qc 5e Étienne Lauson – Marie Louise Vinette, fille de François, cult., et Marie Élisabeth Daout m. le 1809-02-06 à Pierrefonds, Qc 4e Michel Lauzon, cult. – Marguerite Giroud, fille d’Étienne et Margueritte Rondeau m. le 1774-11-07 à Pierrefonds, Qc 3e Pierre Lauzon – Jeanne Roy, fille d’André et Jeanne Saint-Jean m. le 1732-10-12 à Pointe- Claire, N.-F. 2e Michel Lozon – Marie Anne Coitoux, fille de Jean Coitoux/Saint-Jean et Marie Petit m. le 1702- 05-15 à Pointe-aux-Trembles, N.-F. 1re Gile Lozon – Marie Anne Archambau, fille de Jacques et Françoise Torau m. le 1656-11-27 à Notre-Dame, Ville-Marie, N.-F. La graphie des patronymes est celle des actes de mariage eux-mêmes Que se passe-t-il en Nouvelle-France alors que Gilles et Marie Anne fondent leur famille ? Les concessions (seigneuries) suivantes ont été établies en 1656 : Cinquième-Rivière (1656)
Grande-Anse (1656) Normanville (1656) Notre-Dame de Québec (1656) Sainte-Marie (1656
Donat H. Lauzon (8e génération). « Né en 1911 à Hawkesbury, Ontario, j’ai commencé l’école en 1918 et ai quitté en 1924. À l’âge de 13 ans, j’ai été employé à Hawkesbury Dairy par M. Ben Chamaillard, propriétaire. En 1935, j’ai loué cette laiterie et en 1945, j’ai acheté son commerce. De 1924 à 1941, la livraison se faisait en voiture avec cheval. J’ai construit ma propre laiterie au coin des rues Sinclair et Catherine sous le nom de Laiterie Perfection Dairy. En 1973, j’ai discontinué les opérations après 49 ans dans le même commerce. » Collaborateur : Yvon Normand 1 https://actu.fondationlionelgroulx.org/Genealogie-des-Lauzon.html
Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1
Il y a quelques semaines, la Police provinciale de l’Ontario a arrêté ce véhicule qui circulait à 270 km/h sur l’autoroute 417. —archives
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