Lancé au Japon en juillet 2020 par l’éditeur Shueisha sur son application Shonen Jump + , Kaiju n°8 a fait l’effet d’un coup de tonnerre en séduisant d’emblée les lecteurs tant par le rythme endiablé de son scénario que par ses qualités graphiques, notamment ses chara-design. Pour sa seconde série après Pochi & Kuro (Kazé Manga), Naoya Matsumoto rend ici hommage au « cinéma de monstres » (le kaijū eiga ) à travers le parcours d’un trentenaire pas comme les autres, Kafka Hi bino, métamorphosé lui-même dès le premier chapitre en kaiju !
Action et baston, des combats au sommet !
Kaiju n°8 se démarque d’entrée par la qualité et l’ultra-réalisme des chara-design des kaiju ! Ces monstres gigantesques, dont le plus connu est bien sûr Godzilla, sont apparus sur grand écran au Japon puis à Hollywood dans des block-busters mettant en scène leur pouvoir de des- truction de masse dans des contextes urbains. Au fil des pages de Kaiju n°8 , cela offre au lecteur des affrontements aussi épiques que titanesques !
Et évidemment, cela monte crescendo au fil des chapitres !
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