La Ville tente de régler les inondations
Richard.mahoney@eap.on.ca H AWKESBURY
Lafrance. « Il est aussi intolérable que j’ai du moi-même comme propriétaire subir 4 inondations à l’intérieur de 6 ans alors qu’un de mes voisins a été victime de refou- lements dans son sous-sol 4 fois en 6 ans et ce, malgré le fait qu’il dispose d’un clapet et malgré le fait que nous avons tous les deux effectué des réparations majeures sur nos fondations. Pour ma part, ces réparations ont été faites il y a environ 6 ans alors que, pour l’autre propriétaire, ces réparations ont été faites l’année dernière afin d’éviter de futures inondations et, malgré tous nos efforts et nos réparations coûteuses, nous avons été inondés les soirs du 12 et 13 septembre 2011! » Il y a deux ans, selon M. Lafrance, deux témoins ont remarqué, lors des réparations effectuées dans la rue, que l’un des tuyaux avait été installé en U, « et non pas directe- ment relié pour aller se jeter jusqu’au bas de la rue, ce qui peut risquer un amoncelle- ment d’eau à cet endroit pouvant causer du refoulement. Les témoins ont fait remar- quer ce détail aux ouvriers de la ville ainsi qu’à l’ingénieur sans recevoir de réponse à leur question». M. Lafranceaffirme : « Des solutions tem- poraires et permanentes existent. Le mieux serait, bien évidemment, de remonter à la source du problème et de limiter, voire ré- gler de façon définitive, le problème du système d’aqueduc (pluvial/drain) sur la rue Chamberlain ». « Cette lettre a également pour but de demander la possibilité de dédommage- ments financiers à l’égard des victimes de ces plus récents refoulements d’eau qui ont lieu les 12 et 13 septembre der- niers car certains propriétaires sont assurés par leur compagnie d’assuran- ces (moyennant une franchise de 2 000 $) mais, par contre, d’autres propriétaires ne le sont pas ».
« Il est aussi intolérable que j’ai du moi-même comme propriétaire subir 4 inondations à l’intérieur de 6 ans [...] » - S TÉPHANE L AFRANCE
La ville de Hawkesbury tente de remédier la cause des inondations des sous-sols sur la rue Chamberlain, une situation qui a provoqué une demande de dédommagement financier de la part de certains résidents. Le problème récurrent réside dans l’inefficacité du système d’égout plu- vial, soutiennent les 11 résidents qui ont signé une pétition « pour deman- der la réparation du système d’aqueduc (pluvial/drain) sur la rue Chamber- lain le plus rapidement possible et aussi sur la possibilité de dédommage- men t s f i nanc i e r s su i t e à de s inondations résidentielles qui ont eu lieu les 12 et 13 septembre 2011 ». Le conseil municipal a décidé que la municipalité doit engager un ingénieur afin de regarder de près la source des refoulements que les gens endurent depuis plusieurs années. Le plus récent refoulement a fait des dommages sérieux dans neuf maisons situées au coin des rues Lansdowne et Chamberlain.
Photo Richard Mahoney Stéphane Lafrance, porte-parole des résidents de la rue Chamberlain, revendiquent une solution aux inondations de leur sous-sol.
Deux propriétaires témoignent avoir vu, les soirs du 12 et 13 septembre, un employé de la ville soulever le couvercle de l’un des égouts de la ville pour remarquer qu’il y avait de l’eau jusqu’au rebord, selon Stéphane Lafrance, porte-parole d’un groupe qui a présenté leurs plaintes lundi soir au conseil municipal. « Ce qui n’est pas normal! » « Il est intolérable que près d’une di- zainedepropriétairesde la rueChamberlain aient du subir des dommages lors de ces deux soirées du 12 et 13 septembre et ce, jusqu’à 5 pouces d’eau », écrit Stéphane
325, rue Régent Street Hawkesbury, Ont. 613 632-2867
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363 résidents locaux avisés Exposition possible à des infections
Ouvert le dimanche de 9 h à 15 h / Open Sunday 9:00 a.m. to 3:00 p.m.
En vigueur du samedi 22 octobre au vendredi 28 octobre 2011 • Valid from Sat., October 22 to Fri.,October 28, 2011.
nouvelles@eap.on.ca E ST -O NTARIEN
millions pour l’hépatite C et moins de 1 sur 3 milliards pour le VIH. Les lettres comprennent de l’informa- tion pour les patients qui souhaiteraient être testés. Il s’agit de tests sanguins gra- tuits et les patients devront se présenter dans un laboratoire pour demander une prise de sang. Diverses options, telles que décrites dans la lettre, sont offertes aux patients qui désirent être testés. Santé publique Ottawa a mis sur pied une ligne d’information spé- ciale à l’intention des résidents qui ont des questions à ce sujet.
The following establishment has applied to the Alcohol and Gaming Commission of Ontario for a liquor licence under the Liquor Licence Act: Application for a Sales Licence EAU BIZLOU 420 ST. PHILIPPE STREET, C.P. 715 ALFRED (Indoor area) Any resident of the municipality may make a written submission as to whether the issuance of the licence is in the public interest having regard to the needs and wishes of the residents. Submissions must be received no later than November 10, 2011. Please include your name, address and telephone number. If a petition is submitted to the Commission, please identify the designated contact person. Note: The AGCO gives the applicant copies of any objections. Anonymous objections are not considered. The personal information gathered is collected under the authority of the Liquor Licence Act. The principal purpose of the collection is to assess eligibility for the issuance of a liquor sales licence. Copies of all objections are given to the applicant. The information may also be disclosed pursuant to the Freedom of Information and Protection of Privacy Act. Questions about this collection should be directed to the Manager, Licensing and Registration, Alcohol and Gaming Commission of Ontario at the address, telephone numbers or e-mail address listed below. Submissions to be sent to: Licensing and Registration, Alcohol and Gaming Commission of Ontario, 90 Sheppard Avenue East, Suite 200, Toronto, ON M2N 0A4. Tel: 416-326-8700 OR Toll-free in Ontario: 1-800-522-2876. Fax: 416-326-5555. E-mail: licensing@agco.on.ca Pour des renseignements en français concernant cette annonce, veuillez écrire à : Direction de l’inscription et de la délivrance des permis, Commission des alcools et des jeux de l’Ontario, 90, rue Sheppard Est, bureau 200, Toronto, ON M2N 0A4. Tél. : 416 326-8700 ou 1 800 522-2876 (interurbains sans frais en Ontario). Téléc. : 416 326-5555. Courriel : licensing@agco.on.ca Notice of Liquor Licence Application
Quelques 363 résidents des cinq comtés de l’Est sont parmi les patients qui recevront une lettre recommandée suite à l’enquête d’une clinique médicale privée à Ottawa. Lors de l’enquête, il a été découvert que les protocoles de nettoyage et de prévention des infections n’ont pas toujours été respectés. À titre préventif, des let- tres sont envoyées à environ 6 800
patients qui ont subi un examen à la clinique en question entre avril 2002 et juin 2011. La clinique, gérée par la D re Christiane Farazli, est située au 1081, avenue Car- ling, bureau 606. D re Farazli collabore avec Santé publi- que Ottawa (SPO) depuis le début de l’enquête. Elle a d’ailleurs co-signé les lettres en-
Toute personne ayant subi un examen endoscopique dans la clinique en question, lors de la période de temps sus- mentionnée, qui n’a pas reçu de lettre d’ici mardi le 25 octobre est priée de com- muniquer avec Santé publique Ottawa. Pour joindre la Ligne info-santé
publique spécialement prévue à cet effet, veuillez composer le 613 580-2888, du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 21 h 30, et le samedi et le dimanche, de 8 h 30 à 15 h 30. Pour de plus amples renseignements, visitez le ottawa.ca/sante. Les patients sont tenus de ne pas aller à l’urgence de l’hôpital pour demander une prise de sang. Les hôpitaux leur demande- ront de téléphoner à Santé publique Ottawa afin de prendre des dispositions en vue d’un test sanguin.
voyées à ses patients. Le Bureau de santé de l’est de l’Ontario a été en contact régulière- ment avec SPO à propos de cette situation. « Malgré le fait que le risque d’avoir con- tractéune infectionest très faible, lespatients qui reçoivent une lettre devraient communi- quer avec leur médecin pour discuter des tests de dépistage, » a dit le Dr Paul Roumeliotis, médecin hygiéniste au Bureau de santé de l’est de l’Ontario. En fait, ces risques sont estimés inférieurs à 1 sur 1 million pour l’hépatite B, moins de 1 sur 50
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