Argenteuil_2024_03_08

ACTUALITÉS DEUX OPÉRATIONS ANTIDROGUES À LACHUTE EN DIX JOURS

Crues printanières : nos équipes au travail

Tout au long de l’année, nos spécialistes travaillent activement pour limiter les impacts des changements de niveau et de débit des cours d’eau sur les populations riveraines. C’est particulièrement vrai à la fonte des neiges, en prévision de la crue printanière. Les réservoirs diminuent toujours l’ampleur des crues L’hiver, alors que la consommation d’électricité est à son maximum, nos réservoirs se vident graduellement. Au printemps, ils sont donc prêts à emmagasiner de très grandes quantités d’eau. Le saviez-vous ? Au nord des bassins versants de la rivière des Outaouais et de la rivière Saint-Maurice, les réservoirs peuvent retenir 40 % de l’eau qui s’écoule sur le territoire. Toutefois, l’eau restante, qui s’écoule au sud des réservoirs, ne peut être ni gérée ni retenue. Les centrales au fil de l’eau n’ont pas d’impact sur l’ampleur des crues La majorité de nos centrales situées dans le sud du Québec sont des centrales au fil de l’eau. Comme elles n’ont pas de réservoir, elles ne peuvent pas retenir l’eau. En période de crue, il faut simplement ouvrir les vannes pour laisser libre cours à la rivière. Nos spécialistes toujours à l’œuvre À l’hiver et au printemps, nous effectuons des relevés de neige au sol afin de connaître la quantité d’eau présente dans la neige et, ainsi, de prévoir l’impact de la fonte des neiges sur les cours d’eau. Chaque jour, nos équipes de météorologues, d’ingénieurs, d’ingénieures et d’hydrologues étudient les prévisions météorologiques et le comportement des rivières afin de prévoir les interventions à faire. Et les changements climatiques dans tout ça ? Les changements climatiques font varier l’ampleur, l’intensité et le moment des crues. Nous adaptons donc nos pratiques afin de toujours faire le maximum pour limiter les impacts des crues sur le milieu.

La SQ a effectué deux perquisitions dans des résidences de Lachute les 20 février et 1er mars derniers. Ces perquisitions ont permis de saisir du cannabis, du crack, des médicaments d’ordonnance et une arme prohibée. Deux hommes de 33 ans ont été arrêtés et libérés en attendant leur comparution au palais de justice de Saint-Jérôme. (Photo d’archives)

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de possession de stupéfiants dans le but d’en faire le trafic, d’infractions relatives au cannabis et d’infractions relatives aux armes à feu. De même, le 20 février, la police a effec- tué une perquisition dans une résidence de la rue Principale à Lachute, également avec la coordination du Service des stupéfiants de niveau 1 de l’Outaouais, ce qui a mené à l’arrestation d’un autre homme de 33 ans, en lien avec le trafic de stupéfiants. Les policiers ont saisi de petites quanti- tés de cannabis, de cannabis traité (Wax), de médicaments d’ordonnance et de haschisch. Il a été remis en liberté et devra com- paraître à une date ultérieure au palais de justice de Saint-Jérôme pour faire face à des accusations de possession de stupéfiants dans le but d’en faire le trafic et d’infractions à la Loi sur le cannabis. La Sûreté du Québec rappelle que toute information relative au trafic ou à la produc- tion de stupéfiants peut être communiquée en tout temps et de façon confidentielle à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.

Deux opérations menées à Lachute à dix jours d’intervalle ont mené à des arrestations pour possession et trafic de stupéfiants, selon la Sûreté du Québec de la MRC d’Argenteuil. Le 1er mars, les policiers de la SQ de la MRC d’Argenteuil, sous la coordination du Service des stupéfiants de niveau 1 de l’Outaouais, ont effectué une perquisition dans un logement de la rue Mitchell à Lachute, ce qui a mené à l’arrestation d’un homme de 33 ans en lien avec le trafic de stupéfiants. L’enquête policière a été amorcée grâce à des informations partagées par le public, selon la SQ. Lors de la perquisition, les policiers ont saisi de petites quantités de cannabis, du crack, des médicaments d’ordonnance, une somme d’argent et une arme prohibée. L’homme a été libéré par la suite et doit revenir devant la justice au palais de justice de Saint-Jérôme à une date ultérieure, faisant vraisemblablement face à des accusations

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