Vers des nouveaux imaginaire responsables et désirables
Depuis quelques années, les appels à se saisir des « imaginaires » pour réussir la transition écologique se multiplient. Pour les tenants d’un travail sur les « imaginaires », une des raisons de cet immobilisme réside dans la difficulté que nous avons à nous projeter dans un futur « désirable », où nos modes de vie seraient considérablement différents, de façon à respecter un plafond de deux tonnes de CO2 par habitant, en cohérence avec les Accords de Paris. Le principe ? Infléchir le paradigme dominant et insoutenable de notre société actuelle et proposer des « récits alternatifs mettant en visibilité les projets transformateurs » (CERDD) reposant sur de « nouveaux imaginaires ».
Made with FlippingBook - Online Brochure Maker