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L’IMPORTANCE DU LOOK POUR SALLY FOLK

ARTS

ELLE ET LE BAR Sally Folk tenait un bar à Montréal. Elle a décidé de se retirer pendant un an pour se réorienter. C’est là qu’elle a commencé à écrire des chansons et à jouer de la guitare. « C’était devenu un projet, a-t-elle expliqué. En 2009, j’ai rencontré Michel Dagenais qui est mon collaborateur sur les albums. Tout a commencé par un petit démo et finalement, on a fait un album, puis un autre album et un autre album. » La marque de fabrique de Sally Folk est son habillement bien étudié et bien pensé, pour faire ressusciter les années 1950 et 1960 dans tout ce qu’elles avaient d’élé- gant, de gracieux et de pimpant. « Je fais partie des bars. Dans les bars, j’ai appris qu’on recherche toujours l’ambiance, toujours lamême expérience, a estimé la chanteuse. Dans le show business, je regrette un peu les années passées. Je trouve que les artistes, qui ont maintenant la soixantaine, mettaient le paquet sur le look. On a perdu ça et on a beaucoup d’artistes en one-man-show qui sont en t-shirt sale. »

à faire des reproches aux hommes. Sans toutefois manquer de s’en prendre à elle- même aussi. Son humour ravageur sème donc à tout vent. « Je touche à des sujets qui sont parfois très sensibles et difficiles pour certaines personnes. Je tourne un peu à la blague, un peu à l’autodérision, un peu à la légè- reté. C’est ça qui est très drôle. J’exprime mes relations amoureuses qui n’ont pas fonctionné, toujours avec une dose d’humour », a-t-elle déclaré.

FRÉDÉRIC HOUNTONDJI frederic.hountondji@eap.on.ca

Le sarcasme et l’autodérision sont mis en musique pour faire danser, chanter et réjouir. C’est la belle trouvaille de la chanteuse québécoise Sally Folk.

À travers ses textes, elle s’amuse à racon- ter la vie des femmes sous divers angles et

Pour Sally Folk, le look fait partie intégrante du spectacle. —photo Frédéric Hountondji

Né d’une race FIÈRE LAROCHE

Le premier ancêtre arrivé au pays est Jean Laroche né vers 1696 à Chef Boutonne, Poitou, France, du légitime mariage de Jean Laroche et Antoinette Larose. Il épouse Marie Suzanne Turpin le 29 octobre 1723 à l’église Notre-Dame de Montréal. Onze enfants, sept garçons et quatre filles, sont issus de ce mariage pour engendrer une longue lignée de Laroche dont certains descendants se sont établis très tôt dans l’est ontarien dans la région de Bourget. Jean Laroche décède la 7 avril 1753 à 57 ans et est inhumé à Longueuil. Son épouse, Suzanne, trépasse le 25 octobre 1797 à l’âge de 92 ans et est inhumée à L’Acadie dans le comté de Saint-Jean. GÉNÉRATIONS 8e Sylvio Laroche (1937-2011) – Monique Martel, fille de Moïse et Jeannette Martel m. le 1960- 07-09 à Bourget, Prescott-Russell, Ont. 7e Urbain Laroche (1913-1965) – Laurette Raby (1911-1961), f. de Félix et Marie Louise Leduc m. le 1935-07-03 à Thurso, Papineau, Qc 6e Napoléon Laroche (1881-1968), cult. – Marie Louise Cardinal (1884-1926), f. de Félix et Martine Lussier m. le 1902-06-16 à Bourget, Prescott-Russell, Ont. 5e Jean Baptiste Laroche (1843-1898), cult., vf d’Émilie Baillargeon – Marie Demers (1854-1956), f. de François et Marie Végiard m. le 1880-08-08 à Saint-Chrysostome, cté Chateauguay, Qc 4e Abraham Laroche (1813-1894) – Angélique Paillant (1813-1892), f. de Dominique et Marie Odelin m. le 1841-10-18 à Saint-Édouard, cté Napierville, Qc 3e Jean Baptiste Laroche (1785-1862) – Marie Reine Monet Laverdure (1794-), f. de Joseph François et Reine Rémillard Rouillard m. le 1810-01-29 à L’Acadie, cté Saint-Jean-sur-le- Richelieu, Qc 2e Gabriel Laroche (1740-1802) – Marguerite Surprenant (1759-1830), f. de Jean Baptiste et Marie Anne Jeanne Babeu m. le 1762-01-25 à Saint-Constant, cté Laprairie, N.-F. 1re Jean Laroche (1696-1753) – Marie Suzanne Turpin Sandrille (1705-1797), f. de Pierre Alexandre et Marie Josephte Marguerite Gauthier/Sanguingorra m. le 1723-10-29 à Montréal, Nouvelle- France Au moment où Jean Laroche et Suzanne Turpin fondent leur famille, Philippe de Rigaud de Vaudreuil est gouverneur de la Nouvelle-France et fait construire un hôtel particulier sur la rue Saint-Paul à Montréal pour l’héberger lors de ses visites dans la cité. Il décèdera quelques années plus tard, le 10 octobre 1725. Charles de Beauharnois de La Boische d’Orléans lui succédera. On avait assisté à l’ouverture des premières écoles primaires l’année précédente dans la colonie. C’est en 1723 que débute la reconstruction de l’Hôtel-Dieu de Montréal, ayant été la proie des flammes en 1695. Collaborateur : Jacques St-Aubin, membre de La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury.

Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèque publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1

Le Carillon, Hawkesbury ON.

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Le jeudi 3 mai 2018

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