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LE CONSEIL DISCUTERA DES COÛTS LIÉS À L’AJOUT DE BANCS ET DE POUBELLES SUR LES ROUTES COLLECTRICES URBAINES
ANIL JHALLI anil.jhalli@eap.on.ca
lire dans la motion présentée au conseil. « Les directives de conception et les normes d’ingénierie actuelles pour les routes col- lectrices n’identifient pas les possibilités d’installer des bancs et des poubelles. » Dans sa motion, M. Cardarelli note que si la Cité installe des bancs et des poubelles le long de ces routes, ils « amélioreront l’accessibilité, favoriseront la propreté, encourageront une communauté saine et s’adapteront à l’évolution démographique de notre ville. » Il a demandé que le personnel de la Cité de Clarence-Rockland examine et révise les lignes directrices de conception recomman- dées et les normes d’ingénierie pour les routes collectrices urbaines de la Cité, dans le but d’ajouter des bancs et des poubelles, et qu’il présente un rapport au conseil.
La conseillère du quartier 4 aimerait connaître les implications budgétaires et d’entretien à long terme de ces ajouts, afin de s’assurer qu’ils sont gérés de manière durable. j/PVTEFNBOEPOTTJNQMFNFOUBVQFS - sonnel de recueillir de l’information sur les impacts de ce genre de projets », a déclaré le conseiller, ajoutant que la rue Caron à Rockland serait considérée comme une route où ajouter des bancs et des poubelles, lors d’une entrevue avec La Vision. « Rame- nez-nous un chiffre et nous déciderons à ce moment-là. » La motion, qui a été appuyée par le conseiller municipal du quartier 3, Carl Grimard, sera examinée lors de la réunion régulière du conseil de la Cité de Clarence- Rockland le 13 novembre prochain.
Une motion d’un conseiller sera dis- cutée lors d’une prochaine réunion du conseil municipal de Clarence-Rockland. Le conseiller municipal Samuel Carda- relli, du quartier 4 de Clarence-Rockland, a présenté une motion lors de la réunion du conseil municipal de Clarence-Rockland du 9 octobre, demandant au personnel de la Cité d’examiner les coûts liés à l’ajout de bancs et de poubelles sur les routes collectrices urbaines de la Cité et d’en faire ensuite rapport au conseil. « La Cité de Clarence-Rockland a connu une croissance rapide, et il est essentiel que notre infrastructure publique reflète les besoins de tous les résidents », peut-on
City of Clarence-Rockland Councillor Samuel Cardarelli introduced a motion at this month’s council meeting, asking staff to review and report on the additional costs of adding benches and garbage cans to the City’s urban collector roads. (Sam Cardarelli, LinkedIn)
APPRENDRE UNE DEUXIÈME LANGUE, SURTOUT PLUS JEUNE, EST BÉNÉFIQUE POUR LE CERVEAU
l’apprentissage d’une seconde langue peut avoir un effet positif sur l’attention, le vieillissement en bonne santé et même la récupération après une lésion cérébrale. Cette nouvelle étude vient préciser davan- tage le rôle du bilinguisme par rapport à
la cognition, en montrant une plus grande efficacité de la communication entre les régions du cerveau. Les résultats de l’étude ont été publiés dans Communications Biology la semaine dernière.
ÉDITION ANDRÉ PAQUETTE INC.
The magnetic resonance brain imaging (MRI) device used by Carnegie Mellon University in Pittsburgh, Wednesday, November 26, 2014. (Keith Srakocic, AP Photo)
PIERRE SAINT-ARNAUD La Presse Canadienne
j/PT USBWBVY EPOOFOU Æ QFOTFS RVF l’apprentissage d’une deuxième langue pendant l’enfance aide à développer une organisation cérébrale plus efficace au plan de la connectivité fonctionnelle», a indiqué Zeus Gracia Tabuenca, auteur principal de l’étude. «Selon les résultats, plus l’expérience de la seconde langue est précoce, plus grande est l’étendue des zones cérébrales impliquées dans la neuroplasticité. D’où l’observation d’une connectivité accrue du cervelet avec le cortex lors d’expositions précoces à une seconde langue.» Le concept de neuroplasticité désigne la capacité du cerveau à établir des connexions à l’intérieur de lui-même, en s’adaptant à son environnement. La plasticité du cerveau est maximale pendant l’enfance, avec la formation de nouvelles voies en réaction à des stimuli tels que le langage. L'attention et le vieillissement y gagnent Ces résultats recoupent ceux d’études antérieures selon lesquelles les régions du cerveau ne travaillent pas isolément, mais en interaction avec d’autres pour comprendre et produire le langage. L’étude a aussi révélé que l’efficacité de l’ensemble du cerveau favorise les performances cognitives. D’après des études du passé,
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Le bilinguisme rend le cerveau plus effi- cace, surtout s’il est acquis en bas âge. C’est la conclusion à laquelle en vient une étude menée par des scientifiques de l’Institut neurologique de Montréal, affilié à l’Université McGill, l’Université d’Ottawa et M6OJWFSTJUÊEF;BSBHP[BFO&TQBHOF Les scientifiques ont ainsi recruté 151 personnes parlant soit le français, soit l’anglais, soit les deux langues – acquises à des âges différents – et les ont soumis à des examens d’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle (IRMf) afin de vérifier la connectivité du cerveau en entier plutôt que de se concentrer sur des régions précises, comme ce fut le cas d’études antérieurs sur le bilinguisme. Plus de connectivité Les chercheurs ont ainsi constaté que les sujets bilingues présentaient une plus grande connectivité entre les régions du cerveau que les sujets unilingues et que cette connectivité était plus forte chez ceux ayant acquis leur deuxième langue à un plus jeune âge. Ce phénomène était particulière- ment marqué entre le cervelet et le cortex frontal gauche.
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