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T H E N EWS

VOLUME 75 • NO. 13 • 12 PAGES • HAWKESBURY, ON • MERCREDI 7 AVRIL 2021

LES ÉCOLES SE SURPASSENT PAGE 3

VALORIS : UN RÔLE CRUCIAL DANS LA RÉGION PAGE 4 PROMOTION : SUPPLÉMENT AGRICULTURE PAGES 5-8

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C O L L E C T I V I T É

LETTRE DE LA RÉDACTRICE Ontario, malgré la pandémie, fait jaser. Mais les enfants ont ce besoin et ce désir d’être en classe, d’être auprès de ces leadeurs qui les poussent à se surpasser et à trouver leur voie.

Bientôt, ce sera votre tour.

«C’est à nous de leur dire que c’est correct de rêver!» -Père Jean Automne 1992. Première session au cégep. Premier appartement. J’habite à 7 minutes de trois cinémas, dont celui au centre Laval qui présente les films de réper- toire qu’on ne peut même pas se procurer dans mon club vidéo de campagne. Je vais voir, seule, Les pots cassés, de François Bouvier, un film mettant en vedette Gilbert Sicotte et Marie Tifo. Le film n’est pas passé à l’histoire, mais j’ai compris ce soir-là que le monde s’ouvrait à moi. J’avais accès à la culture, enfin! Je n’aime souvent pas les films que tout le monde aime. J’aime ceux qui gravent mon coeur pour m’avoir fait vivre de grandes émotions : Violon rouge, La Vita est bella, Babel, Monsieur Lazhar, et même, A star is born. Hier, j’ai repris contact avec la salle avec le Club Vineland. Dans le contexte, le bien que ça a produit est indescriptible. J’ai pleuré, j’ai réfléchi, j’ai été interpelé. Des tonnes de phrases coup de poing qui inspirent, des images inoubliables et des acteurs incarnés. On nous parle de cette différence qui fait la différence. Elle salue la verve de Père Jean, non-orthodoxe qui, comme plusieurs enseignants, réussissent la transmission du savoir en donnant le gout aux enfants d’apprendre. Nous sommes dans un collège privé de Charlevoix. «Jusqu’en juin vous êtes dans ma classe, pas dans un moulin à papier», d’avertir le Père Jean au petit nouveau du collège. Il deviendra celui allume le réverbère et qui sera tant apprécié par la mère qui veut le meilleur pour son enfant, qui ne cadre pas trop.... L’annonce du retour à l’école à temps plein au Québec et des écoles ouvertes en

Je suis de celle qui plonge allègrement dans les opportunités de la vie et ça se tra- duit aussi par la frayeur des pages blanches et par le plaisir d’écrire avec enthousiasme. En 6e année, c’est Francine Raymond, qui m’a donné cet amour pour le français. Qui sont les enseignants qui ont été l’étincelle de vos parents, vos amis et vos enfants? Dans ma vie, tout près de moi, j’ai un frère qui a changé la courbe de bien des jeunes d’ici. À la fin de l’année scolaire, il recevait des lettres de ses élèves qui pouvaient, souvent, lui tirer une larme. Il enseignait les mathématiques. Fallait le faire, être tant aimé alors qu’on enseigne la matière qui pousse la logique. On m’arrête souvent pour me dire : «Et que j’aimais ses histoires ou il m’a permis d’obtenir mon diplôme!» Pour mon plus vieux, c’est un enseignant du primaire, un des rares hommes à fouler les corridors des écoles primaires dans un autre contexte que dans les gymnases, qui lui a permis de prendre son envol. Marc- Antoine Bergeron est la vedette de bien des enfants qui ont côtoyé les classes du bain linguistique. Ces enseignants dévoués qui montrent à nos jeunes comment sortir du cadre, c’est tellement primordial. «Notre société change, avertit Père Jean. Le monde va changer pareil, avec ou sans nous.» Notre société évolue encore en 2021. Malgré la crise sans précédent que nous vivons, nos enfants sont ce que nous avons de plus précieux. La vie continue. Et comme le dit Père Jean d’entrée de jeu : «Le vrai courage, c’est d’avoir peur, mais d’y aller pareil.»

Le plan de vaccination de l’Ontario contribue à freiner la propagation et à sauver des vies. Des milliers de gens se font vacciner tous les jours aux quatre coins de la province. À mesure que les vaccinations se poursuivent, nous devons continuer de protéger nos proches. Portez un masque. Lavez-vous

les mains. Respectez l’écart sanitaire. Pour savoir où, quand et comment vous faire vacciner, consultez ontario.ca/planvaccinationcovid ou téléphonez au 1 888 999-6488 pour obtenir de l’aide dans 300 langues.

Payé par le gouvernement de l’Ontario.

A C T U A L I T É S LE RETOUR EN CLASSE À TEMPS PLEIN ÉTAIT ATTENDU

BENOIT DESCHAMPS bdeschamps77@icloud.com

Mme Lamarche raconte que l’équipe-école a travaillé d’arrache-pied depuis l’automne afin de soutenir ses élèves à distance. Le CSRDN a prêté des ordinateurs portables de type Chromebook à tous les élèves qui en ont fait la demande allant même jusqu’à fournir des clés LTE pour ceux n’ayant pas accès à l’internet haute vitesse. «Tous les enseignants ont mis la main à la pâte, que ce soit avec des appels téléphoniques, l’envoi de travaux via la plateforme Classroom ou l’enseignement en visioconférence sur Google Meet.» Les activités parascolaires sont présen- tement permises seulement pour les bulles- classes et chaque institution augmentera graduellement l’offre en toute sécurité. Quant à l’organisation d’une cérémonie de remise de diplômes, on prévoit faire le maximum à l’intérieur des consignes et recommandations de la Santé publique. La Santé publique a autorisé récemment le retour en classe à temps plein, d’abord en zone orange le 22 mars, et ensuite en zone rouge le lundi 29 mars dernier. «La situation que nous vivons depuis maintenant plus d’un an est exceptionnelle! Plus que jamais, les gens doivent faire preuve de solidarité et respecter les consignes, pour le bien commun. Jour après jour, le gouvernement prend des décisions difficiles et tente de protéger l’ensemble de la population. De notre côté, le mieux que l’on puisse faire est de nous assurer d’appliquer scrupuleu- sement les recommandations et les direc- tives de la Santé publique, afin de protéger nos élèves et la communauté, explique M. Robert, lui-même un ancien élève du collège et originaire de Lachute. Au Québec, nous sommes chanceux que le gouvernement ait décidé de prioriser l’éducation en permettant à nos jeunes de fréquenter l’école, lorsque la situation le permet. Nos élèves sont très reconnaissants. Ils sont conscients du rôle qu’ils peuvent jouer afin de freiner la propagation du virus.» Les écoles québécoises ont su s’adapter rapidement, tant au niveau des technologies de l’information que de l’organisation des ressources humaines et matérielles. Cette mobilisation imposée par la nature aura sans aucun doute mis en lumière l’efficacité et le dévouement des acteurs principaux du milieu de l’éducation. Souhaitons que la course entre les variants et la vaccination soit à l’avantage des jeunes et que l’actuelle pandémie n’ait pas trop d’effets négatifs sur leur santé psychologique d’ici la fin attendue

En mode présentiel un jour sur deux de façon exceptionnelle depuis le début cet automne, les élèves de 3e, 4e et 5e secondaire du Québec se réjouissent et saluent ce retour inespéré. Le journal s’est entretenu avec deux élèves des institutions d’Argenteuil : Elliott Bigras étudie en 4e secondaire option scientifique au SSC et Mathilde St-Jacques termine son secondaire en profil enrichi à la polyvalente Lavigne. Selon eux, la prin- cipale différence se situe au niveau de la motivation au quotidien. «À la maison, il y a beaucoup de distractions, et cela devient difficile de demeurer attentif. Le plus gros défi à distance, c’est l’éthique de travail!», déclare Elliott qui profitera certainement du retour à la normale. De son côté, Mathilde, récemment acceptée en sciences naturelles au Cégep Montmorency reprendra le collier avec joie. «Bien que je sois assez studieuse et organisée, je crois que nous profiterons tous des derniers mois de l’année scolaire en présence de nos enseignants et nos camarades de classe.» Au cours des derniers mois, le Séminaire a tout fait pour assurer la sécurité de ses élèves, mais aussi pour minimiser l’impact de la pandémie sur l’apprentissage. Dès le mois de mars 2020, les enseignants ont redoublé d’efforts, afin d’offrir des cours à distance aux élèves via le logiciel de confé- rence vidéo Teams (Microsoft) lié au Pluri- portail du collège. «Le personnel enseignant a accompli un travail remarquable! Que ce soit les suivis individualisés, l ‘enseignement en duo ou les évaluations sous différentes formes, nous étions prêts et équipés à faire face à la musique», mentionne le directeur des services pédagogiques au Séminaire du Sacré-Cœur de Grenville-sur-la-Rouge, M. Jean-Michel Robert. Même son de cloche à la Polyvalente Lavigne de Lachute. Nouvellement en poste, la directrice de l’établissement, Mme Christine Lamarche, apprécie les effets positifs, surtout pour ses élèves à besoins particuliers ou en difficultés scolaires : «La présence en classe s’avère essentielle pour plusieurs de nos élèves, le lien significatif avec leurs enseignants permet à chacun de maximiser son potentiel. L’enseignant peut aider davantage l’élève en classe, il peut mieux capter son attention et le guider efficacement.»

Rosalie Bertrand, Auré MJ e Dumonlin et Mathilde St-Jacques, de la polyvalente Lavigne, portent le masque afin de limiter la transmission du virus et souhaitent le retour en classe à temps plein jusqu’à la fin juin. —photo fournie

de la situation sanitaire d’urgence.

le mardi 6 avril, le Premier Ministre Fran- çois Legault avait annoncé une conférence de presse à 17h.

NDLR Au moment de publier cette édition

EST FIÈRE D’ACCUEILLIR UN NOUVEAU MEMBRE

LesCarrefours bien-être pour les jeunes sont là pour rester Le Carrefour bien-être pour les jeunes de Champlain-Est a ouvert ses portes à Cornwall et Rockland il y a un an. Malgré que les restrictions de la pandémie aient été un handicap, le Carrefour bien-être pour les jeunes de Rockland s’est depuis fermement établi comme moyen novateur d’offrir aux jeunes des régions urbaines et rurales de Prescott-Russell, l’aide dont ils ont besoin. Administré sous forme de service collaboratif entre 30 partenaires soucieux de la jeunesse, le carrefour offre des soins médicaux, du counselling, du soutien par les pairs et de l’aide aux jeunes qui vivent toutes sortes de situations.

DEVENEZ MEMBRE Visitez : www.hawkesburycommerce.ca NOUVEAU pour connaître les activités et les services offerts par la Chambre Tél.: 613-632-8066 151, rue Main E., Hawkesbury ON info@hawkesburycommerce.ca NOUVEAU

Le Carrefour bien-être pour les jeunes de Rockland est ouvert plusieurs jours par semaine, et les services sont gratuits aux jeunes âgés de 12 à 25 ans. Des visites sans rendez-vous sont les bienvenues au 1517 rue Laurier, et les jeunes peuvent appeler ou texter au 613-577-7219, ou envoyer un message @rocklandyouthhub pour obtenir de l’aide peu importe où ils se trouvent dans Prescott-Russell.

C O L L E C T I V I T É

PATRICK HACIKYAN patrick.hacikyan@eap.on.ca UN PLAN STRATÉGIQUE QUADRIENNAL ACCOMPLI POUR VALORIS (CTC) est un système de protection des communautés. Ce dernier s’affaire au déve- loppement de la jeunesse par la formation de comités de jeunes et de parents. On leur donne des possibilités de s’engager dans la communauté et de lui redonner. C’est ta communauté vise à réduire les problèmes de délinquance, de drogue et de violence chez les jeunes. Le CTC offre également des bourses de 750$ pour reconnaitre et favoriser le bénévolat des jeunes dans la communauté.

L’équipe de Valoris vient de compléter les objectifs de leur plan stratégique des trois dernières années. «Notre équipe a été déterminante dans sa réalisation. Durant la dernière année, les 375 employés de Valoris ont continué à travailler malgré les défis personnels et collectifs. Ils ont maintenu le cap pendant un an et ça a été très impressionnant», souligne Hélène Fournier, directrice générale de Valoris à Hawkesbury. La dirigeante de l’organisme salue tout le travail accompli depuis le début de son plan stratégique en 2018. «Nous avons fixé des cibles particulières de performance clinique afin d’avoir un impact direct sur la qualité de vie des gens», explique Mme Fournier. Plusieurs outils de rétroaction, tels que des sondages et des questionnaires sont utilisés afin de s’assurer de l’efficacité des opérations et de l’appréciation du public ayant eu recours aux services de Valoris. Les activités de Valoris se sont déroulées sur plusieurs fronts. Entre autres, l’approche ds pratiques parentales positives peut compter sur 137 profes- sionnels accrédités en milieu de garderie à Prescott-Russell. Le programme C’est ta communauté

La Fondation Valoris s’occupe aussi d’aider les banques alimentaires locales. Elle a ramassé 30 000$ qu’elle a redonné à la communauté via les Lutins de Noël. «La fondation offre également des bourses d’études et des bourses spécifiques au travail social. Vous devinerez qu’on s’assure d’avoir une relève pour Valoris», mentionne la directrice générale de l’organisme. Valoris dessert des besoins particuliers qu’ont les familles et individus des diffé- rentes communautés de Prescott-Russell, particulièrement les plus vulnérables. L’organisme ne fonctionne pas de manière distante avec sa communauté. En effet, les membres du public sont invités à présenter un projet lorsqu’ils identifient des besoins. Plusieurs projets en matière d’inclusion et de protection des femmes et de populations vulnérables ont été initiés. Ce faisant, la

Hélène Fournier est la directrice générale de Valoris depuis 2014. —photo fournie

directrice signifie que l’organisme et sa fondation misent sur une communication bidirectionnelle avec sa communauté. Mme Fournier félicite Valoris du travail accompli durant les trois dernières années, grâce à son équipe, les paliers gouvernemen- taux et des dons provenant d’organismes tels que la Fondation Trilium de l’Ontario. Malgré cela, plusieurs défis demeurent dans la communauté. «Dans Prescott- Russell, un des besoins récurrents est le logement. Plusieurs de nos municipalités ont encore parfois des logis avec des pro- blèmes de construction ou d’insalubrité. C’est un facteur très important qui affecte le développement des enfants. Si l’on veut que nos communautés fleurissent, il faut que les enfants puissent avoir accès à des ressources de qualité», mentionne Mme Fournier. Le plan stratégique de Valoris a été complété le 31 mars dernier. L’organisme entame donc une autre période triennale avec des objectifs améliorés. «Nous avons l’espoir de continuer d’être un partenaire

important de Prescott-Russell. Les besoins dans une communauté sont toujours changeants. Valoris s’est donc adapté aux nouveaux besoins pendant la pandémie pour accomplir sa mission de service essentiel. Quoiqu’il arrive, nos 375 employés ont fait face à la situation, mettant de l’équipement de protection personnel lorsque nécessaire et a réussi à aller rejoindre les membres de la communauté dans le besoin», conclue Mme Fournier. Valoris est un organisme important pour Prescott-Russell, surtout en cette période marquée par la COVID-19 où la détresse psy- chologique et émotionnelle a été grandement affectée comme en témoignent plusieurs intervenants sociaux. À travers leurs interactions durant la dernière année marquée par la pandémie, le confinement et l’isolement général de la population qui en a découlé, ils ont été mis à rudes épreuves. Les citoyens de Prescott-Russell dans le besoin d’un ou l’autre service de la fondation Valoris sont invités à composer le 1 800 675-6168 ou à visiter le www.valorispr.ca .

NOUVELLE DG DE HAWKESBURY

GREGG CHAMBERLAIN gregg.chamberlain@eap.on.ca

directrice des ressources humaines de la ville, était directrice administratif par intérim depuis juillet dernier, lorsque le directeur administratif de l’époque, Daniel Gatien, a pris un congé autorisé. Il a ensuite présenté sa démission en décembre. En janvier, un processus d’embauche a été lancé pour trouver un nouveau DG. Alter- native RH, une société de consultants basée à Montréal, a été engagée pour trouver des candidats appropriés. La société a travaillé avec un comité consultatif temporaire mis en place pour examiner les candidatures. Le comité d’examen comprenait la mairesse Assaly et les conseillers Lawrence Bogue et Robert Lefèbvre.

Dominique Dussault n’est plus l’admi- nistrateur en chef par intérim de la ville de Hawkesbury. «Félicitations, Madame Dussault, pour votre nomination au poste d’administrateur en chef, a déclaré la mairesse Paula Assaly, lors de la séance du conseil du 29 mars. Vous avez déjà servi sur une base intéri- maire. Bonne chance.» Le conseil a approuvé à l’unanimité lundi la recommandation de nommer Mme Dussault au poste de directrice générale de l’administration (DG) de Hawkesbury. Dominique Dussault, qui est également

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Publié le jeudi par : La Compagnie d’édition André Paquette Inc. Imprimé par : Imprimerie Prescott et Russell, Hawkesbury, ON # convention : 0040012398

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Quand l’aide vient des airs

Supplément Agriculture

Quand l’aide vient des airs

Par souci de l’environnement, des maraîchers et des vignerons font désormais appel à des oiseaux et à des chauves-souris pour contrôler les insectes ravageurs. En installant des nichoirs dans leur ferme, ils favorisent le retour d’espèces en déclin qui leur rendent en contrepartie un précieux service. Au printemps, Yan Gordon voit virevolter plusieurs couples d’hirondelles bicolores au-dessus des Potagers des nues main. « Je suis content de voir revenir les hirondelles. L’espèce est endéclin, et en tant qu’agriculteur, contribuer au maintien de la biodiversité est encourageant », affirme-t-il. Depuis que ce producteur maraîcher a fait installer une vingtaine de nichoirs pour hirondelles bicolores et merlebleus de l’Est ainsi que deux dortoirs pour chauves- souris sur sa terre il y a quelques années, il perçoit une baisse de la pression d’insectes ravageurs comme la teigne du poireau, la pyrale du maïs et le doryphore. « D’autres

facteurs ont peut-être contribué à cette amélioration, mais une chose est sûre : les oiseaux passent leur journée à survoler mon champ, surtout avant le coucher du soleil. J’utilise beaucoup moins de pesticides qu’avant. » Grâce à l’initiative de l’organisme d’intégration professionnelle et sociale Pleins rayons de Cowansville, plus de 600 nichoirs ont été aménagés chez près d’une vingtaine de producteur depuis 5 ans. Le Vignoble de L’Orpailleur s’en est procuré 90 à lui seul. L’un des propriétaires, Charles-Henri de Coussergues, note lui aussi une diminution des insectes nuisibles dans ses vignes. « Dans un esprit d’agriculture raisonnée, il était important pour nous d’avoir une population d’oiseaux insectivores sur le vignoble et ç’a été un grand succès, assure le vigneron. Ils font partie d’une stratégie avec d’autres mesures, comme l’installation d’herbes entre les rangs qui attirent certains insectes prédateurs. »

Depuis l’installation de nichoirs à oiseaux sur sa terre, le producteur maraîcher Yan Gordon affirme

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La culture de la patate douce gagne du terrain

Le retour du lait fermier québécois

estime que les volumes vendus par les laiteries fermières demeureront marginaux, c’est-à-dire moins de 1 % des 3,3 milliards de litres produits par tous les producteurs laitiers québécois. Mais les astres s’alignent, selon lui, pour que d’autres fermes désirant embouteiller leur propre lait voient le jour. « Il yades consommateurspour qui l’aspect local et terroir devient le plus important critère d’achat. Les laiteries artisanales viennent répondre à ce besoin. De plus, elles ont la sympathie du public et amènent une belle image à l’industrie », analyse-t-il.

Jadis présentes dans pratiquement chaque village, les laiteries artisanales ont disparu en raison des normes de salubrité, mais voilà que plusieurs fermes s’équipent pour pasteuriser et embouteiller leur lait. C’est le retour du lait fermier. En Abitibi, les ventes de la laiterie artisanale Boréalait ont surpassé du double le chiffre d’affaires de la ferme laitière de 48 vaches des propriétaires. « On a dépassé le cap du demi- million [de revenu brut pour la laiterie]. C’est une belle évolution », dit la copropriétaire Évelyne Rancourt. Pour l’éleveuse de la Montérégie Caroline Pelletier, réaliser des ventes directes répond au rêve de partager avec la population le lait « au goût exceptionnel et unique » de son petit troupeau de vaches Jerseys. Au Centre d’expertise fromagère du Québec, la conseillère Louise Lefebvre remarque un intérêt réel pour cette production artisanale. Elle explique que des fermes laitières préfèrent désormais s’orienter vers la production de produits ultrafrais comme le lait et le yogourt, qui seront moins susceptibles de subir la compétition des entreprises européennes, comme c’est le cas avec les fromages.

provenant de Caroline du Nord et leur plantation, qui doit se faire manuellement parce qu’elle se fait sous pellicule de plastique. On a fait appel à une quarantaine de personnes — des travailleurs étrangers, des jeunes et des membres d’équipes sportives locales — pour nous donner un coup de main », précise-t-il. « Il y a vraiment des conditions très strictes à respecter pour garantir le succès de la culture, explique l’agronome Gilles Hamel. La patate douce est un tubercule très sensible au froid. Il faut prendre garde au gel, tardif au printemps et hâtif à l’automne, qui peut compromettre la croissance. » L’agronome suit de près l’expériencedelafamilleRichardetdequelques autres producteurs, en Montérégie et dans Lanaudière, notamment. Mais la culture de la patate douce, si elle est marginale, n’est pas nouvelle. Depuis environ 20 ans, la Ferme Onésime Pouliot, a développé une expertise en la matière.

Un nombre croissant de producteurs de pommes de terre mettent une petite touche « d’exotisme » dans leur champ en faisant l’essai de la culture de patate douce, un tubercule plutôt habitué aux climats plus chauds et secs. « Les résultats semblent assez encourageants, surtout avec la nouvelle variété canadienne Radiance », explique Samuel Richard, producteur de pommes de terre et propriétaire avec son frère Gabriel de Proculteur et Pro-bio. Les deux frères explorent cette avenue comme culture de remplacement dans le processus de conversion de leur terre en mode biologique. Ils connaissent bien l’ampleur de la tâche qui les attend. À elle seule, l’opération de piquage des boutures au début du mois de juin est un véritable défi, rappelle Samuel.

« On dispose d’une période maximale d’une semaine entre la coupe des boutures

L’éleveuse de vaches Jerseys Caroline Pelletier, de la Ferme Missiska en Montérégie, fait partie de la dizaine d’agricul- teurs québécois qui embouteillent leur propre lait fermier.

Pour sa part, Charles Langlois, directeur du Conseil des industriels laitiers du Québec,

Les trois piliers de Proculteur : Guillaume Allyson ainsi que Samuel et Gabriel Richard.

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À la recherche du soleil japonais

Un taux de mortalité important dans les érablières

dormance l’hiver par manque de lumière, explique-t-elle. D’où l’hypothèse : si je leur donne la bonne lumière, est-ce que je peux écourter leur cycle de production? » Depuis janvier 2020, la productrice met à l’essai ces nouveaux luminaires à DEL dotés de micro-ordinateurs, conçus et assemblés par la jeune entreprise québécoise Sollum. Les jours où la luminosité naturelle est plus faible, elle sélectionne les couleurs, l’intensité et la période d’éclairage des luminaires de façon à recréer à petite échelle les cieux nippons. « Pendant l’hiver, j’ai pu mettre un peu plus de rouge en début de journée pour reproduire le lever de soleil et en fin d’après-midi, je les partais pour rallonger mes journées », raconte la serricultrice. O’Citrus étant l’une des rares fermes dans le monde à faire pousser des agrumes en serre avec des lumières artificielles, Vicky Vaillancourt procède par essais et note ses observations en vue d’atteindre son but.

D’intrigantes lueurs rouges émanent chaque matin de la serre d’agrumes de Vicky Vaillancourt. Un phénomène surnaturel? Plutôt un lever de soleil japonais format miniature rendu possible par une jeune entreprise québécoise. La propriétaire d’O’Citrus, une division de la Ferme Vaillancourt à Laval, allume depuis son application cellulaire les douze luminaires multicolores suspendus au-dessus des arbres produisant yuzus, mains de Bouddha, kuats, limes keffir et autres agrumes exotiques qui pous- sent naturellement à l’autre bout du Pacifique. Aussitôt, on est ébloui par cette vive lumière, qui n’est pas sans rappeler celle du soleil. Avec l’aide de ces luminaires à DEL capables de générer l’ensemble des couleurs du spectre lumineux, Vicky Vaillancourt souhaite reproduire le cycle et l’intensité lumineuse que reçoit le Japon en saison de croissance afin d’améliorer sa production d’agrumes. « Ces arbres se trouvent en serre depuis 15 ans. Ils produisent des fruits, mais tombent en

grands. Car en plus des frais occasionnés par la location d’une érablière voisine et de l’installation d’équipement nécessaire à son exploitation (tuyauterie, camion-citerne, etc.), l’entreprise acéricole a perdu une partie de son quota, qui est automatiquement réattribué au propriétaire de l’érablière louée. Les infestations de chenilles de la livrée des forêts se produisent de manière cyclique à des intervalles d’environ 13 ans pour l’érable à sucre. Selon le ministère de la Faune, des Forêts et des Parcs, le cycle actuel d’infestation, qui a commencé autour de 2016, est bel et bien terminé.

Des acériculteurs resteront marqués par la dernière invasion des chenilles de la livrée des forêts. Le taux de mortalité des érables plus important que prévu a même entraîné un transfert de contingent chez certains producteurs. L’érablière Les Sucreries Jetté de Mirabel, dans les Basses-Laurentides, a été frappée de plein fouet au plus fort de l’épidémie en 2017 et en 2018. Sur un total de 17 500 érables, 3 000 ont été décimés par les chenilles défoliantes. « Quand on observe d’en haut, c’est comme si une bombe avait explosé à ces endroits », illustre Judith Jetté, l’une des copropriétaires. Le directeur général des Producteurs et productrices acéricoles du Québec (PPAQ), Simon Trépanier, indique que plusieurs producteurs ont vécu une situation semblable au terme de la dernière infestation. « Ce n’est pas la plus impressionnante épidémie en ce qui a trait à la quantité de chenilles, mais elle se démarque par un taux anormalement élevé de mortalité des érables », précise l’ingénieur forestier de formation. Pour pallier la perte de milliers d’entailles, les propriétaires des Sucreries Jetté, comme quelques autres acériculteurs, ont opté pour un transfert de contingent afin de maintenir leur rythme de production de sirop d’érable. Les impacts d’un tel transfert sont toutefois

La propriétaire d’O’Citrus, Vicky Vaillancourt, teste les luminaires de l’entreprise Sollum dans l’espoir

de recréer la lumière des pays asiatiques pour ses agrumes.

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Une étable pas comme les autres

Qui a dit que le souci d’esthétisme devait être réservé seulement aux humains? Pour construire sa nouvelle étable inaugurée en mars 2019, la ferme Au gré des champs a fait appel à une firme d’architecture qui a dessiné un bâtiment à la fois lumineux et aéré, au grand bonheur du troupeau. En tant que fromagerie bio qui transforme son lait à la ferme, l’entreprise de Saint- Jean-sur-Richelieu en Montérégie a le bien- être animal au cœur de ses préoccupations. Lorsque l’ancienne étable est arrivée en fin de vie utile, il allait de soi pour Marie-Pier Gosselin, relève et fille des propriétaires Suzanne Dufresne et Daniel Gosselin, que la nouvelle construction devait assurer un confort optimal au troupeau. « Le côté esthétique était également important, puisqu’on est en agrotourisme. Ça correspond à la vision à moyen et à long terme de l’entreprise. Quand nos consommateurs viennent à la ferme, ils veulent voir les vaches et connaître les

conditionsd’élevage», explique l’agricultrice. Pour mener à bien son projet, la ferme a retenu les services de la firme montréalaise La Shed. En collaboration avec les Consultants Lemay & Choinière pour le volet du génie agricole, les architectes ont conçu une vaste étable dont les façades nord et sud laissent entrer la lumière naturelle du jour grâce à des panneaux en polypropylène clair. Quant aux façades latérales du bâtiment, elles sont munies de volets pouvant s’ouvrir de façon indépendante afin d’y laisser circuler l’air. coûté « un peu plus cher » qu’une construction traditionnelle, Marie-Pier Gosselin ne regrette pas ce choix. « L’investissement en a valu la peine. On passe beaucoup de temps dans cette étable, donc ça prenait un lieu qui nous ressemblait. Je retire aussi beaucoup de bonheur en voyant que mon troupeau va bien. » Bien que cette étable ait

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PÂQUES AU BORD DE LA RIVIÈRE C O L L E C T I V I T É

PATRICK HACIKYAN patrick.hacikyan@eap.on.ca BOURSE POUR ÉTUDIANTES FRANCOPHONES Cette dernière est à la tête du Regrou- pement étudiant de common laws en français dans son université, qui a pour mission de représenter les droits des étudiants francophones ou francophiles du programme de common law.

L’Association des juristes d’expres- sion française de l’Ontario (AJEFO) a octroyé deux bourses à des étu- diantes, dont une de Prescott-Russell. Deux étudiantes ont été primées par L’Association des juristes d’expression française de l’Ontario (AJEFO). Mélanie Laframboise, de l’Université d’Ottawa, ainsi que Rossanna Scaramella, du col- lège La Cité, ont respectivement reçu une bourse de 2500$ puis de 1500$. Cette bourse leur a été octroyée, car elles ont démontré l’importance de la Francophonie en Ontario et leur désir de travailler dans la langue de Molière. La plus grande des deux bourses a été offerte à Mélanie Laframboise, puisque celle-ci étudie au niveau universitaire. Elle étudie le programme de Common law en Français à l’Université d’Ottawa. Elle est également originaire de Prescott-Russell.

«Cette bourse représente une excel- lente conclusion à mon programme d’études, lors duquel j’ai toujours tenté de revendiquer le respect des droits de la population étudiante francophone» a déclaré Mélanie Laframboise, à cette occasion. J’ai bien hâte de poursuivre mes efforts de revendication des droits des francophones et d’accès à la justice en français!» L’AJEFO travaille pour permettre une offre de services juridiques de qualité en français, partout en Ontario. La bourse décernée à ces deux étudiantes est ren- due possible par son fonds Pour l’amour de la justice. Le fonds a pour but de pérenniser la relève juridique d’expres- sion française en Ontario.

La fin de semaine de Pâques à Hawkesbury a été tranquille avec le début d’une nouvelle période d’activité restreinte pour tout l’Ontario à partir de samedi dans le but de limiter la propagation du virus COVID-19 original et de ses variantes. Certains résidents de Hawkesbury ont célébré le dimanche de Pâques en passant une matinée tranquille sur la rive de la rivière des Outaouais. —photo Gregg Chamberlain

CONCOURS MON 1 ER ARTICLE DANS LE JOURNAL LE CARILLON

Pour tous les jeunes de la 5 e à la 12 e année qui demeurent dans Hawkesbury et les environs ainsi que dans Argenteuil. Présentez un texte à caractère journalistique d’environ 200 mots sur une personnalité de votre région qui vous inspire. Dites-nous pourquoi et comment son implication est importante dans notre communauté.

Le texte choisi sera publié dans le journal Le Carillon lors de la semaine de relache de l’Ontario le 15 avril 2021.

Envoyez votre texte avant le vendredi 9 avril à mylene.deschamps@eap.on.ca Objet : Concours

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Hôpital de Hawkesbury Il y a 70 noms sur la liste Soleil de l’Hôpi- tal général de Hawkesbury et du district (HGH) pour 2020. En tête de liste des 10 premiers : Marc Leboutillier, directeur général de l’HGH, gagne 222 509,69$ ; Marcel Leclair, vice- président des finances et des services généraux, qui gagne 207 586,62$ et le troisième, Hristo Radilov, infirmier diplômé, avec 196 738,95$. Le reste du top 10 de HGH est composé de : Marilyn San Pablo, infirmière autorisée, avec 189 131,85$ ; Gisèle Larocque, vice- présidente des ressources humaines et des services généraux; Imrana Jeoffrey, vice-pré- sidente des soins ambulatoires, de la qualité et de l’informatique, avec 157 669,73$; Julie Milks, directrice clinique, à 150 332,90$ ; Sylvie Lefebvre, directrice de l’intégration critique et de la sensibilisation communautaire, avec 147 441,83$ ; Sylvain Grenier, directeur clinique, à 139 729,70$ et Chelsea Albright, infirmière autorisée, à 136 345,08 $. Bureau de santé Il y a 36 noms sur la liste Sunshine pour le Bureau de santé de l’est de l’Ontario

(BSEO). En tête des dix premiers salaires du BSEO se trouve le Dr Paul Roumeliotis, médecin hygiéniste et chef de la direction, avec 357 436,14$. La deuxième est Patricia Gauley, directrice du BSEO, avec 172 623,15$. La troisième est Nicole Laplante, directrice du BSEO, avec 172 623,14$. Les dix premiers salaires du BSEO sont les suivants : Thérèse Bourgeois, directrice du BSEO, avec 157 317,78 $ ; Frank Spa- gnolo, directeur du BSEO, avec 148 726,22 $ ; Linda Cleroux, directrice du BSEO, avec 141 625,01 $ ; Karine Hébert, gestionnaire des communications, avec 127 436,10 $ ; Caroline Kuate, gestionnaire de programmes, avec 12,5 millions de dollars. 10 $ ; Caroline Kuate, gestionnaire de programme, à 126 193,58 $ ; Joanne Porporo, gestionnaire des services d’information, à 124 952,76 $ ; et Shawn Pilon, gestionnaire de bureau, à 121 152,76 $.

Le gouvernement provincial a publié sa Sunshine List annuelle des salaires du secteur public les plus élevés et ce sont ceux du secteur de la santé qui sont les plus élevés. La Sunshine List est un évènement annuel depuis 1996 en raison de la Loi sur la divulgation dans le secteur public du gouvernement progressiste-conservateur de Mike Harris. Elle énumère tous les employés du secteur public dont le salaire annuel est de 100 000 $ ou plus au cours de la dernière année, dont tous les employés de la fonction publique provinciale et munici- pale, les employés des districts scolaires, les employés des hôpitaux et tous ceux qui travaillent pour des organismes non gouvernementaux du secteur public. La Sunshine List 2020 indique que les personnes employées dans le secteur de la santé, soit comme médecins et infirmières, soit comme techniciens médicaux ou person- nel de soutien, gagnent les salaires les plus élevés parmi les travailleurs de la fonction publique de l’Ontario.

La Sunshine List est disponible sur https://www.ontario.ca/page/public-sec- tor-salary-disclosure-2020-all-sectors-and- seconded-employees. Le secteur des soins de santé offre certains des salaires les plus élevés parmi les employés de la fonction publique de l’Ontario, comme l’indique la liste ensoleillée 2020, maintenant disponible sur le site Web du gouvernement provincial. La Sunshine List comprend tous les employés du secteur public de l’Ontario qui ont un salaire annuel de 100 000 $ ou plus. —photo d’archives LE TEST BUCCAL S’IMPOSE DANS LA RÉGION PATRICK HACIKYAN patrick.hacikyan@eap.on.ca

profiter de cette solution de rechange pour freiner la propagation du virus», a commenté Rosemonde Landry, présidente-directrice générale du CISSS des Laurentides. Par contre, les tests buccaux par gar- garisme ne sont pas encore disponibles dans la région de Prescott-Russell, du côté ontarien. Pourtant, au mois de septembre 2020, la compagnie Dynacare avait déjà procédé à des tests auprès de 432 patients de deux hôpitaux de l’Ontario: Sunnybrooke et North York, pour homologuer une nouvelle méthode d’échantillonnage salivaire. Les tests ont été concluants, mais n’ont pas été immédiatement approuvés par la Santé publique du Québec. Interrogé sur la non-disponibilité des tests buccaux dans les centres de dépistage de Hawkesbury et des autres municipalités de Prescott-Russell, Dr Paul Roumeliotis, directeur général du Bureau de santé de l’est de l’Ontario a signifié qu’ils sont sur le point d’être implantés. Bien que d’autres comtés ontariens aient débuté l’utilisation du test buccal, tel n’est pas encore le cas dans Prescott-Russell. «Nous travaillons actuellement sur ce dossier, pour rendre le test salivaire disponible à la population. Nous avons des équipes qui travaillent en ce moment pour que cela puisse être mis sur pied. Nous n’avons pas encore d’infor- mation pour savoir la date exacte à laquelle le dépistage buccal sera offert» a expliqué Dr Roumeliotis. La situation du coronavirus est stable dans les Laurentides avec 359 cas actifs de COVID-19 au 1er avril 2021. La MRC d’Argenteuil compte 21 cas actifs en date du 1er avril. Le comté de Prescott-Russell compte pour sa part 169 cas actifs à pareille date. Le centre de vaccination de Lachute desservant la MRC d’Argenteuil et situé à l’aréna Keven-Lowe – Pierre-Pagé a manqué de vaccins dans la journée du vendredi 2 avril et a donc dû fermer pour la journée. Les vaccins ont depuis recommencé à être distribués. Les 60 ans et plus peuvent désormais prendre leur rendez-vous pour se faire vacciner. De plus en plus, la liste de priorisation commence à faire jaser.

Né d’une race FIÈRE CASTONGUAY

Alors que le test buccal par gargarisme est maintenant généralisé dans les Laurentides, les habitants de Prescott- Russell attendent toujours pour la dispo- nibilité de cette méthode moins invasive de test COVID-19. Depuis le 17 mars dernier, les hôpitaux, centres de dépistage, CHSLD et ressources d’hébergement de la région des Laurentides offrent le test COVID-19 buccal, ne nécessi- tant pas l’utilisation d’écouvillons. Toute la population âgée de plus de six ans a donc maintenant accès à ce type de test. Ce test ayant été approuvé pour utilisation générale à Laval dès le 9 novembre 2021, toutes les régions ne l’ont pas encore déployé. «Plusieurs élus se sont manifestés lors de discussions avec le directeur de la santé publique des Laurentides, le Dr Éric Gohier, afin d’obtenir l’implantation de ce test dans les Laurentides, ce qui est maintenant fait. Je suis heureuse que le test salivaire soit maintenant disponible pour la région. Les personnes plus réticentes pourront plus facilement aller se faire dépister s’ils le désirent», a noté Agnès Grondin, députée d’Argenteuil. Le test buccal offre plusieurs avantages sur le test par l’écouvillon oronasopharyngé. Il ne nécessite pas de technique invasive et est aussi précis que ce dernier, sauf pour de rares exceptions. Le test salivaire ne nécessite pas de personnel qualifié pour être effectué. Les explications à donner au patient sont plus simples, les tests ne dépendent pas d’un approvisionnement en écouvillon oronasopharyngé, et la manipulation des échantillons et leur dépistage sont moins couteux. «Les tests par gargarisme sont beaucoup moins invasifs et représentent un atout de plus dans notre lutte contre la COVID-19. La validité de ce type d’échan- tillon a été prouvée et toutes les équipes de nos cliniques désignées de dépistage sont prêtes à procéder. Nous invitons donc les citoyens ayant des réticences à passer le test de dépistage régulier par le nez à

>Les descendants de Pierre Gauthier/Saguingoira sont à l’honneur cette semaine. Armand Lapierre membre de la Seigneurie, centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, a préparé cette chronique généalogique pour rendre hommage à ses descendants. Un contrat de mariage avait été préalablement préparé le 3 novembre 1668 par le notaire Bénigne Basset dit Deslauriers. Pierre Gauthier/Saguingoira, fils de Jacques Gauthier et Marie Boucher de Saint-Gilles, Surgères, Charente-Maritime, France, épouse Charlotte Roussel, fille de Thomas et Barbe Poisson, fille du roi (landry 366, dumas 329), de Notre- Dame-de-la-Ronde, Eure, France. GÉNÉRATIONS 8e Joseph Castonguay, cult. – Émiliana Levacque, fille de Jean-Baptiste et Clarisse Ladurantaye, m. le 1892-10-24 à Fournier, Ont. 7e Joseph Théophile Castonguay - Marie Reine Provost, fille d’Antoine, cult. et Marie Reine Poirier, m. le 1860-10-02 à Saint-Polycarpe, Qc 6e Paschal Castonguay, cult. - Lucie Leduc, f. d'Augustin, cult. et Eugénie Séguin m. le 1824-11-08 à Saint-Michel, Vaudreuil, Qc 5e Pélagie Gauthier - Pierre Gastongué (Castonguay), cult., fils de Pierre et Anastasie Raizaine (Raizenne), m. le 1777-10-20 à Saint-Michel, Vaudreuil, Qc 4e Joseph Amable Gautier - Pélagie Leduc, fille de Pierre et Pélagie Tougas m. le 1756-01-12 à Sainte-Anne-de Bellevue, N.-F. 3e Joseph Gautier – Marie Rose Lalonde, fille de Jean Baptiste de Lalonde,

capitaine de la Coste Sainte-Anne, et Jeanne Gervais, m. le 1728-11-09 à Sainte-Anne-de-Bellevue, N.-F.

2e Joseph Gautier – Clémence Jarry, vve d’André Rapin, fille d’Éloi Jarry/ Lahaie et Jeanne Marrain, m. le 1699-08-16 à Ville-Marie, Nouvelle-France 1re Pierre Gauthier/Saguingoira – Charlotte Roussel m. le 1668-11-12 à Ville-Marie, N.-F.

Que se passe-t-il en Nouvelle-France l’année où Pierre et Charlotte fondent leur famille ? « Entre 1635 et 1760, plus de 300 000 Britanniques (Anglais, Écossais, Gallois et Irlandais) ont quitté la Grande- Bretagne pour la seule Amérique du Nord. Par ailleurs, les deux tiers des Français sont repartis en France après quelques années, alors que plus de 90 % des colons anglais sont restés en Nouvelle-Angleterre. Un sujet britannique sur six vivait dans les colonies, contre un sujet français sur 300! De son côté, le ministre Colbert a toujours cru naïvement que pour peupler le Canada il fallait dépeupler la France! Voici ce qu'il écrivait à l'intendant Jean Talon le 5 janvier 1666 (« Correspondance entre la cour et l'intendant Talon »): « Le Roi ne peut convenir de tout le raisonnement que vous faites sur les moyens de former au Canada un grand et puissant État, y trouvant divers obstacles qui ne sauraient être surmontés que par un très long espace de temps, parce que quand même il n'aurait pas d'autre affaire, et qu'il pourrait employer, et son application, et sa puissance à celle-là, il ne serait pas de la prudence de dépeupler son Royaume comme il faudrait faire pour peupler le Canada. 1 » 1 http://www.axl.cefan.ul/aval.ca/francophonie/HISTfrQC_s1_NlleFrance.htm#7.1_Le_d%C3%A9ficit_d%C3%A9mographique_

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Madame Pierrette Daoust, de Hawkesbury, est décédée le lundi 22 mars 2021, à l’âge de 82 ans. Elle était la tendre épouse de feu Gérard Martin; la fille de feu Joseph Daoust et de feu Dorilla Lacombe; la mère bien-aimée de Françoise (Luc), André (Dawn) et Paul (Anne); la grand-mère adorée de Serge, Julie, Eric, Mélanie, Clarissa, Rebecca, Nohemy et Paul-André; l’arrière-grand-mère de plusieurs petits-enfants; la chère sœur de Gilbert. Elle fut prédécédée par ses 15 frères et sœurs. Lui survivent également plusieurs neveux, nièces et amis. La famille aimerait remercier les infirmières et les préposés de l’Hôpital général de Hawkesbury ainsi que le personnel du Service d’assistance Prescott et Russell, pour leurs bons soins prodigués. La direction des funérailles a été confiée au SALON FUNÉRAIRE FAMILIAL BERTHIAUME, 416, rue McGill, Hawkesbury (Ontario) 877-632-8511. Un service aura lieu en privé. Pour ceux qui le désirent, des dons à la Banque Alimentaire Centrale de Hawkesbury, 57, rue Main Ouest, Hawkesbury (Ontario) K6A 2H3, seraient appréciés. Pour offrir vos condoléances par télécopieur, composez le 613-632-1065 ou visitez notre site Internet : www.salonfuneraireberthiaume.com

Rollande Millette, de L’Orignal, est décédée paisiblement le jeudi 1 er avril 2021, à l’âge de 73 ans. Elle était la fille de feu Hilaire Millette et de feu Emilia Beaudry. Elle laisse dans le deuil sa meilleure amie, Louise Bissonnette; ses nièces : Sylvie, Valérie et Isabelle ainsi que plusieurs cousins, cousines, amis et 20 autres neveux et nièces. Elle fut prédécédée par ses six frères et quatre sœurs. La famille aimerait remercier Dr. Savoyard, Dr. Courchesne, Fanny Théorêt ainsi que tout le personnel de l’Hôpital général de Hawkesbury, pour les bons soins prodigués. Sa famille et amis vont se rappeler d’elle comme étant une grande amoureuse de chats; elle aimait n’importe quoi qui en faisait référence. Elle aimait aussi lire ses cartes tarot pour d’autres gens, même que ceux-ci venaient de loin pour la voir. La direction des funérailles a été confiée au SALON FUNÉRAIRE FAMILIAL BERTHIAUME, 416, rue McGill, Hawkesbury (Ontario) 877-632-8511. Un service aura lieu en privé. Pour ceux qui le désirent, des dons à la Fondation Hôpital général de Hawkesbury, 1111, rue Ghislain, Hawkesbury (Ontario) K6A 3G5, seraient appréciés. Pour offrir vos condoléances par télécopieur, composez le 613-632-1065 ou visitez notre site Internet : www.salonfuneraireberthiaume.com

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Veuillez faire parvenir votre CV à la Rédactrice en chef, Mylène Deschamps, mylene.deschamps@eap.on.ca. Pour de plus amples renseignements : 1-800-267-0850

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Ivaco Rolling Mills LP, un important producteur d’acier dans la région de Hawkesbury, Ontario, est à la recherche de journaliers motivés pour combler des postes dans ses départements de productions et de qualités. Les personnes intéressées doivent détenir un diplôme d’études secondaires et devront démontrer leur compréhension en lecture et en résolution de problèmes. L’expérience dans un environnement de production est un atout. Nous offrons un salaire compétitif, des avantages sociaux concurrentiels ainsi qu’un plan de pension a contributions définies. Les personnes intéressées sont priées de faire parvenir leur curriculum vitae, en toute confidence, à l’adresse suivante : Ivaco Rolling Mills – Ressources Humaines C.P. 322 L’Orignal, Ontario K0B 1K0 Courriel : mcleroux@ivacorm.com Une vérification du casier judiciaire doit être fournie à l’embauche seulement et est une condition d’emploi. Ivaco Rolling Mills tient à remercier toutes les personnes qui soumettront leur candidature, cependant, nous communiquerons seulement avec les candidats choisis.

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