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ACTUAL I TÉ

Whissell défend son projet d’usine d’enrobés bitumineux

STÉPHANE LAJOIE stephane.lajoie@eap.on.ca

d’enrobés bitumineux sur l’avenue Spence. Rappelons que cette usine devrait être opé- rationnelle en 2016. En entrée, David Whissell a rappelé qu’une consultation publique a eu lieu en 2014 et que toutes les démarches, dont une étude d’impact, ont été faites en bonne et due forme. « Avant de faire la transaction avec les

hommes d’affaires, on a pris soin de vérifier le zonage et les capacités du terrain à accueillir diverses entreprises et nous avons par la suite demandé à la ville une confirmation à l’effet que le zonage actuel de lamunicipalité permettait le genre d’établissement que nous

employés externes, a-t-il rajouté. Le but est de construire, d’engager des gens et ensuite d’offrir des services et des produits sur le territoire, où il y a une lacune sérieuse, soit une seule entreprise qui fabrique de l’enrobé bitumineux (Colacem-Division Bertrand),

À la suite de plusieurs appels et de ques- tions des citoyens, la Ville de Hawkesbury a invité le président et directeur général d’Uniroc, David Whissell, à la réunion du conseil municipal du 24 août, pour qu’il puisse faire la lumière sur son projet d’usine

souhaitions implan- ter. Avant d’acheter, j’ai fait faire deux études, dont une environnementale, qui permettaient de caractériser les diffé- rents paramètres au niveau de la qualité de l’air, du bruit et des vibrations. (…) L’étude a confirmé que la disposition du

dont son principal créneau n’est pas ce marché. » David Whissell a aussi défendu son projet en indi- quant que le terrain industriel sur l’ave- nue Spence était le dernier de sa taille sur le territoire de Hawkesbury et que d’y implanter une

« Avant d’acheter, j’ai fait faire deux études, dont une environnementale, qui permettaient de caractériser les différents paramètres au niveau de la qualité de l’air, du bruit et des vibrations. (…) L’étude a confirmé que la disposition du terrain permettait de rencontrer les normes provinciales en matière d’environnement. »

terrain permettait de rencontrer les normes provinciales enmatière d’environnement. » Cet été, David Whissell a confirmé que l’usine portera le nomd’une nouvelle entité créée spécialement pour le marché onta- rien. Bien qu’il soit encore trop tôt dans le processus demise enœuvre pour divulguer les plans de l’usine, les enrobés bitumineux seront la principale production de l’usine, en plus de l’équipement de construction. « Le projet qu’on a est un projet créateur d’emplois et on n’arrivera pas ici avec des

usine serait bénéfique pour lesmunicipalités environnantes, au niveau de l’approvision- nement pour les travaux publics. « Il y a un vide à combler et en exemple, il y a quelques semaines, il y a de l’asphalte qui a été posé non loin d’ici et il venait de Cornwall et c’étaient des gens de Cornwall qui sont venus le poser et ce sont des camionneurs de Cornwall qui l’ont amené ici. » En ce moment, Uniroc continue de pré- parer le terrain sur l’avenue Spence, qui a dû être défriché au printemps dernier.

Des moustiques porteurs du virus du Nil occidental détectés dans la région David Whissell a défendu son projet d’usine d’enrobés bitumineux, lors de la séance du conseil municipal du 24 août, à Hawkesbury. Photo Stéphane Lajoie

Le Bureau de santé de l’est de l’Ontario (BSEO) a émis un avis concernant la pré- sence du virus du Nil occidental chez des populations demoustiques dans la région. Le BSEO rapporte qu’aucun cas humain n’a été signalé dans l’Est ontarien, mais que des cas ont été confirmés dans la province. « Cette découverte récente démontre que le virus du Nil demeure une préoccupation dans notre région, d’affirmer le Dr Paul Rou- meliotis, médecin hygiéniste du BSEO. Il est important que les résidents soient avertis et qu’ils continuent de prendre les précautions nécessaires contre le virus pour leur propre protection et celle de leur famille. » Le virus du Nil occidental se transmet aux humains par la piqûre d’un moustique qui est infecté. Pour la majorité des gens, le risque de maladie est faible, mais chez

d’autres, le virus peut causer de graves com- plications. Pour réduire les risques de contracter ce virus, le BSEO suggère l’application d’un insectifuge à usage personnel et le port de vêtements pâles et longs. Il conseille aussi d’éviter les sorties à la tombée de la nuit et à l’aube, car les moustiques y sont plus actifs. Il recommande finalement de vider réguliè- rement les récipients pouvant contenir de l’eau, comme les pataugeoires et les sou- coupes sous les pots à fleurs et de s’assurer que les moustiquaires, les fenêtres et les portes soient bien scellés pour éviter l’entrée de moustiques. Plus de renseignements sont disponibles sur le site Web du Bureau de santé de l’est de l’Ontario au www.bseo.ca ou au 1-800- 267-7120.

Pour les heures de messes à une paroisse près de chez-vous, visitez www.CatholiqueOƩawa.ca (disponible aussi en anglais à www.CatholicOƩawa.ca) LES PAROISSES CATHOLIQUES

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