Express_2013_03_08

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Des sous noirs et une bonne cause

Nos vies n’ont pas beaucoup changé depuis que la production des sous noirs s’est arrêtée le 4 février. Par ailleurs, nous pouvons aider à amé- liorer la qualité de vie en appuyant la dernière levée de fonds organisée au prof- it de l’Hôpital Général de Hawkesbury. Les Chevaliers de Colomb, Conseil 2183, ont lancé la collecte des cents afin de ra- masser des fonds pour la Fondation de l’HGH. Les sous noirs peuvent être déposés dans plusieurs «petites banques» dans dif- férents endroits de la région. Une liste plus détaillée est affichée au www.fondation- hgh.org. On peut imaginer que plusieurs autres organismes feront des collectes lors de la période de transition à un monde sans sous noirs. C’est bien évident que pour les gens qui travaillent dans les commerces de détail au Canada, la disparition des cents représen- te des changements majeurs. Bien que le plastique soit rendu plus populaire que la monnaie, au cours des derniers mois, les marchands avaient des préparatifs à faire. La majorité des commerces de détail du Canada était prête à la disparition graduelle de la pièce d’un cent et entend utiliser les lignes directrices du gouverne- ment fédéral sur l’arrondissement, selon un sondage mené par le Conseil canadien du commerce de détail (CCCD) auprès de petites, moyennes et grandes entreprises de détail. Diane Brisebois, présidente-directrice générale du CCCD, a laissé savoir que ces changements sont volontaires et qu’elle s’attend à ce que les détaillants prennent leurs décisions subséquentes de manière à servir le meilleur intérêt de leur clientèle. Bien que la majorité des détaillants suive les lignes directrices fixées par le gouver- nement fédéral, nombre d’entre eux con- tinueront toutefois de rendre la monnaie exacte jusqu’à épuisement de leur réserve de pièces d’un cent. D’autres adopteront des approches dif- férentes pour rendre la monnaie à leurs clients. L’arrondissement ne vise que les transac- tions en espèces et n’affecte aucunement les paiements effectués par voie électron- ique, tels que les transactions par carte de crédit ou carte de débit. En 2012, la Monnaie royale canadienne a cessé la production de la pièce d’un cent. Le CCCD a plaidé afin que l’élimination graduelle de la pièce d’un cent soit repor- tée après le fort achalandage du temps des Fêtes, ce que le gouvernement a ac- cepté de faire. Le 4 février, la Monnaie royale a cessé la mise en circulation de la pièce d’un cent auprès des institutions fi- nancières et les encouragerait également à lui retourner leur réserve restante de pièces d’un cent. Selon un sondage du CCCD, 74% des petits commerces de détail et 75% des en- treprises moyennes de détail arrondiront manuellement les montants à la caisse. Toutefois, 63% des grandes entreprises

modifieront leurs systèmes de point de vente. Il pourrait ainsi leur en coûter plus de 100 000$ pour ce faire. On voit partout des changements dra- matiques sur la scène commerciale dans la région de Hawkesbury. Le «deuxième cen- tre ville» sur le chemin de comté 17 évolue rapidement avec l’arrivée de nouvelles entreprises. L’impact sur les commerces existants a été ressenti au cours des derni- ers mois. La concurrence est bonne pour les con- sommateurs. Mais personne ne gagne si les nouveaux arrivants obligent les march- ands déjà établis à réduire le nombre d’employés ou à fermer leurs portes. On ne veut pas changer une piastre pour qua- tre 30 sous. C’est bien évident que les investisse- ments dans le secteur commercial sont des indices que les gens d’affaires sont optimistes. Trois entreprises sur cinq prévoient une croissance de leurs revenus en 2013. Environ 60% d’entre elles s’attendent au moins à une croissance modérée de l’économie canadienne. Alors que les décideurs aux États-Unis ont peiné pour gérer leurs dépenses à la fin de 2012, les dirigeants des entreprises canadiennes semblent avoir adopté une surprenante position en ce qui a trait à leurs perspectives économiques pour 2013. Selon un sondage réalisé auprès d’entreprises canadiennes par Léger Mar- keting pour le compte d’UPS Canada, les entreprises canadiennes surveillent de près la progression de l’économie au sud de la frontière et à l’échelle mondiale. «Malgré la grande incertitude qui règne, il est rassurant de voir une telle vague d’optimisme au sein des milieux d’affaires canadiens alors que nous amorçons l’année 2013», a déclaré Nicolas Dorget, vice-président chez UPS Canada. Les entrepreneurs attendent de multi- plier leur présence sur les médias sociaux, augmenter le budget accordé aux activités de marketing, lancer une nouvelle cam- pagne sur les médias sociaux et accroître leurs activités de commerce électronique. Même s’ils se disent confiants, les chefs d’entreprise prévoient que 2013 ne sera pas sans embûche. Un dirigeant sur cinq est d’avis que la concurrence accrue constituera son prin- cipal défi, alors qu’un sur dix croit qu’il aura de la difficulté à recruter du personnel qualifié. Par ailleurs, l’augmentation de la concurrence sur les marchés locaux pour- rait motiver les entreprises canadiennes à explorer des marchés internationaux; une initiative qui ne peut être que bénéfique. Mais un dirigeant sur six ne s’attend pas à rencontrer de défis considérables cette année. En effet, 20% des petites et moyennes entreprises sont d’avis qu’elles pourront éviter tout obstacle important au cours de la prochaine année. On espère que cette confiance soit justi- fiée et qu’en bout de ligne l’optimisme soit confirmé par un progrès concret.

Photo Richard Mahoney

Like other area residents, Nabi Gulam was dealing with snow, slush and water in the aftermath of recent snowstorms. But the Hawkesbury dépanneur owner was dealing with an additional problem – the melting snow was having an impact on his sales. A large puddle in front of his Dépanneur Roy convenience store on Nelson Street is bad for business. Every year, the pool keeps away potential customers, he says. The trouble is that the store is located in a depression, a few feet from a street drain. Land lines best for calling 9-1-1 CANDICE VETTER candice.vetter@eap.on.ca Russell. “We have to go through Bell, give them information, and then they can ping the phone by triangulating between three towers, and where the pings meet we can estimate the area.”

Emergency Services authorities say that using telephones with land lines to call 9-1-1 in emergencies is still the fastest way to get help sent to the right place. In spite of the increase in global posi- tioning systems (GPS) in cellular phones now, calls from cell phones are much more difficult to accurately place, and 9-1-1 dispatchers must rely on spoken instructions. Voice over internet protocol (VOIP) systems, such as Skype, are unreli- able, and can result in calls being taken by a 9-1-1 operator in another city or town or in another province or state entirely. “A cell call without good directions is way more difficult than a land line,” says Michel Chrétien, Director of Emergency Services with the United Counties of Prescott and

Chrétien says, “For every land-based phone number an address was entered into the system, and about 10 years ago zones were developed for closest responders. With a land line call the location comes up on a screen automatically and we have it right away.”He said they frequently get calls from persons with cell phones on Highway 417 and many callers aren’t sure where they are on the four-lane highway. “We ask if they know which exit they just passed, but a lot of people don’t remember. Callers can help pinpoint the accident location from the kilometre markers all along that road.” He also said texting does not work at all. “Over 50 percent of calls from cell phones are texts, which we’re not set up for. Please call, don’t text.”

38 500 copies

Bertrand Castonguay , President, bertrand@eap.on.ca Roger Duplantie , D.G. / G.M., roger@eap.on.ca François Bélair , Sales & Development, fbelair@eap.on.ca François Legault , Directeur de l’information/News Editor, francois.legault@eap.on.ca Yvan Joly , Sales director (Hawkesbury), yvan@eap.on.ca François Leblanc , Directeur (Lachute), francois.leblanc@eap.on.ca Gilles Normand , Production & Distribution Mgr., gilles.normand@eap.on.ca Julien Boisvenue , Layout & Prepress Mgr., julien.boisvenue@eap.on.ca

Publié le vendredi par/Published on Friday by : La Compagnie d’édition André Paquette Inc. Imprimé par/Printed by: Imprimerie Prescott et Russell, Hawkesbury, ON Bureau Hawkesbury Office: 1100, rue Aberdeen St., Hawkesbury, ON Tel.: 613 632-4155 • Fax.: 613 632-8601 • 1 800 267-0850 Bureau Lachute Office : 52, rue Principale St., Lachute, QC J8H 3A8 Tel.: 450 562-8593 • Fax.: 450 562-1434 • 1 800 561-5738 # convention : 0040012398 Toute reproduction du contenu est interdite à moins d’autorisation écrite au préalable. No content may be reproduced without prior written permission. Avis : En cas d’erreur ou d’omission, la responsabilité du journal ne dépasse, en aucun temps, le montant de l’espace de l’erreur en cause. Attention : In case of error or omission, in no way will the publisher be liable for more than the amount charged for space concerned. Représentation nationale/National representation Sans frais / Toll free : 1-800-361-6890 Nous invitons les lecteurs à nous faire parvenir leurs lettres qui ne doivent pas dépasser 300 mots. Nous nous réservons le droit de les modifier ou de refuser de les publier. L’expéditeur doit inclure son nom, prénom, adresse et numéro de téléphone. Readers are invited to send us their letters that must not exceed 300 words. We reserve the right to modify them or to refuse to publish them. The writer must include their names, address and telephone number.

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