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Richard.mahoney@eap.on.ca HAWKESBURY | Les membres du con- seil municipal de Hawkesbury ont coûté presque le même montant aux con- tribuables en 2012 qu’en 2011, selon un rapport présenté au conseil lundi soir. En 2012, les sept membres ont reçu un to- tal de 153 033$. En 2011, le conseil avait dé- boursé 153 100$ en salaires et rembourse- ments, comparativement à 151 597$ en 2010. Le maire René Berthiaume, qui avait tou- ché 43 237$ en 2011, a reçu 43 979$ en 2012. La rémunération totale de M. Berthiaume comprend son salaire de 33 362$ comme maire et son salaire de 3144$ comme mem- bre de la commission de police. M. Berthi- aume a reçu 3325$ pour ses déplacements et a dépensé 839$ pour des repas, 778$ en frais d’inscription aux congrès, 931$ pour le logement et 1599$ pour d’autres frais. Le maire a aussi reçu une allocation de 892$ pour un téléphone cellulaire. Le conseiller Alain Fraser a reçu 19 613$. Cette somme comprend son salaire de 17 447$, des frais de déplacements de 91$, des repas pour une somme de 132$, des frais d’inscriptions de 576$, des frais d’hébergement de 661$ et d’autres dépenses de 703$, y compris une allocation de 470$ pour un téléphone mobile. La conseillère Johanne Portelance a reçu 18 200$, ce qui comprend son salaire de 17 447$ et 223$ pour des frais de déplace- ment. Parmi les «autres dépenses» de 530$, on retrouve une allocation pour un télé- phone mobile de 480$. Le conseiller Michel Beaulne a reçu 17 927$ – son salaire de 17 447$ et une alloca- tion pour un téléphone mobile de 480$. Le conseiller André Chamaillard a reçu 17 821$, ce qui comprend son salaire de 17 341$ et une allocation pour un télé- phone cellulaire de 480$. Le conseiller Michel Thibodeau a reçu 17 761$, ce qui comprend son salaire de 17 447$ et une allocation pour son téléphone mobile de 313$. Le conseiller Marc Tourangeau a obtenu 17 729$, ce qui comprend son salaire de 17 447$ et 281$ pour un téléphone cellulaire. Les coûts du conseil demeurent à 153 000$ Des lumières « vertes » La Ville de Hawkesbury participe à un programme qui rendra trois édifices mu- nicipaux plus efficients. Dans le cadre d’une initiative gérée par Hydro Hawkes- bury, la municipalité recevra des subven- tions afin de payer la somme de 7381$ pour installer des luminaires T8 à l’hôtel de ville, au Club de l’âge d’or et au Complexe sportif Robert Hartley. L’argent vient d’un programme provincial qui aide dans le remplacement de l’éclairage inefficace par de nouveaux produits éconergétiques. Quelques 350 ballasts seront installés par l’électricien de la ville.
L’ennemi numéro un des aînés : l’ennui
mauvais œil. Le seul fait de savoir qu’un bilan comporte toujours des gains et des pertes permet d’agir pour rétablir un cer- tain équilibre. La vigilance du personnel de la résidence et de la famille s’impose pour s’assurer que l’individu surmonte son appréhension. Il faut savoir que l’ennui est l’ennemi numéro un des personnes âgées. Il peut se manifester dans une foule comme dans un endroit perdu. Même la vie de château peut être source d’ennui. Toutefois, l’ennui bat en retraite dès que l’intérêt est capté. Par ailleurs, si la vie en résidence brise l’isole- ment, il n’en demeure pas moins que rien ne pourra jamais remplacer les visites réguliè- res des membres de la famille! Si la vie en résidence brise l’isolement, rien ne pourra jamais remplacer les visites régulières des membres de la famille!
Se retirer de la vie professionnelle tout en demeurant socialement actif — voilà la clé d’une retraite réussie. L’énergie vous fait défaut et vous jugez bon d’accrocher vos patins? Sachez qu’il y a, au Québec, plus de 2000 résidences pour personnes âgées répondant à des besoins divers, dont près de 90 % à but lucratif. Les raisons pour lesquelles les person- nes âgées optent pour la résidence sont nombreuses. Certaines décident de penser à elles et le font en se libérant du fardeau des tâches quotidiennes. Un tel virage peut aussi être motivé par la perte d’un conjoint, une santé fragile ou la crainte qu’elles soi- ent prises au dépourvu si leur condition se détériore. D’autres s’y sentent moins seules et plus en sécurité. Et c’est sans compter les aînés qui ne peuvent ni ne veulent être pris en charge par leurs proches. L’état d’esprit accompagnant cette décision influe sur la capacité d’adaptation. Il est probable que les aînés qui vivent dans le regret du passé et font des choix à reculons seront portés à voir la vie en résidence d’un
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L’âge n’a rien à voir avec la réussite d’un traitement implantaire. Les gens qui se disent trop vieux se sont fait à l’idée qu’ils ne seront peut-être pas capables d’endurer une telle procédure ou que ça ne vaut tout simplement pas la peine. Si nous nous fions aux commentaires de nos patients, la plupart réalisent que s’ils avaient su tous les bénéfices reliés à des prothèses stables, ils l’auraient fait il y a 10 ans. Alors pourquoi ne pas changer cette attitude et se dire plutôt : le temps qu’il reste, j’aimerais le passer en profitant de la vie au maximum : en mangeant ce que je veux, sans inconfort et sans toujours craindre de perdre mes prothèses en public. C’est une simple question de point de vue. Consultez-nous pour évaluer vos options. www.lacroix-dent.ca
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