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Berthiaume châtie deux conseillers
Shiny, sleek and seductive, this import from the United States of America casts an alluring spell over all who are subjected to its charms. Realizing that resistance is futile, a victim inevitably succumbs and indulges in a spree of excessive consumption, throwing caution to the wind, only to get a rude awakening a month later, when the honking credit card bill arrives. Yes, shoppers, once again the “Black Friday” spending frenzy has invaded The Great White North. South of the international border, the day after American Thanksgiving has traditionally kicked off the Annual Go Crazy Christmas Shop Until Your Bank Ac- count Drops Season in the United States. Our neighbours to the south know a thing about marketing, and madness. The bargains there are to die for, literally. For example, in 2008 two people were fatally shot during a fight at a Toys ‘R Us store in California while a store employee was trampled by a mob of rabid shoppers in New York State. In recent years, obviously, more and more Canadian businesses have adopted “Black Friday” sales pitches. This year, November 29 marked the final sprint of a shopping marathon that starts after Halloween and ends Boxing Day. So far, the Black Friday rushes in Canada have not been as violent as those in the US of A. But the ongoing movement towards 24-7 hyper-promotion merely underlines the cynics’ contention that the Holiday Season has become too commercial. No kidding, Sherlock. Since everyone is so politically correct, and the mere mention of “Christmas” apparently disturbs some sensitive souls, the only non-divisive icons of the Season are Santa Claus and shopping. Which is all good, because spending is good for the economy. We do not want to put a damper on the festive spirit. However, there are some issues that cannot be ignored. For instance, this is the time of year when disparity between the “haves” and “have notes” is underscored. HungerCount 2013 shows that the number of Canadians helped each month by food banks is now 25 per cent higher now than it was five years ago. A study by Food Banks Canada relates that in a typical month, food banks in Canada provide food to more than three quarters of a million separate individuals - 833,000 people - and nearly four in 10 of those helped are children. “Far too many people are looking into an empty fridge and wondering how they’re going to feed themselves and their kids,” said Katharine Schmidt, Executive Director of Food Banks Canada, which coordinated the national study involving more than 4,000 food programs. The HungerCount 2013 study found that: Each month, 80,000 Canadians are forced to ask for help from a food bank for the first time. Nearly 40,000 of those helped each month are seniors with incomes too meagre to afford enough food. One in six house- holds assisted by food banks has employment income, yet still can’t make ends meet. “The inability to obtain enough food, when it is abundant all around us, is physi- cally and psychologically scarring,” continued Schmidt. “It is simply unacceptable in a nation as prosperous as Canada. We are calling on the federal and provincial govern- ments to make real investments in policies that will reduce the need for food banks.” OK, all this talk of poverty is a bit of a lunch bag letdown when everyone is supposed to be gushing about love, joy, peace, new gadgets, upgraded apps, etc., etc. Fortunately, although everyone is always so busy, many people still find the time to help out good causes, such as food banks and snowsuit drives. Although things are always changing, one dictum remains apt – it is better to give than to receive. Black, broke, festive
membres essaient de dénigrer et intimider le conseil et les employés», a lancé M. Ber- thiaume. Ces commentaires ont été faits lorsque M. Berthiaume a présenté son Rapport du maire, qui par coutume relate les activités du mois précédent. Mme Portelance et M. Thibodeau ont af- firmé que M. Berthiaume ne respectait pas le règlement de procédure parce qu’il a atta- qué des membres du conseil. «Je constate, je n’attaque pas», a répondu M. Berthiaume. Les sujets de sa constatation n’ont pas répliqué alors que le maire a soutenu que les erreurs qui ont crée les déficits sont le résultat d’un mauvais système informa- tique et «d’une mauvaise gestion» au cours des années précédentes. M. Berthiaume et le conseiller Alain Fraser ont critiqué M. Thibodeau pour avoir semé des doutes quant à la compétence de l’administration.
RICHARD MAHONEY richard.mahoney@eap.on.ca
HAWKESBURY | Un autre dossier chaud souligne la dissension au sein du conseil de Hawkesbury. La Ville est dans l’eau chaude alors que les officiers tentent d’absorber l’encre rouge face aux déficits anticipés dans les départe- ments d’aqueduc et d’égouts. Le maire René Berthiaume accuse la con- seillère Johanne Portelance et le conseiller Michel Thibodeau de «jouer à la petite poli- tique» dans le débat. Lors de l’assemblée du conseil lundi soir, M. Berthiaume a dit que les «adversaires politiques» placent les gains politiques personnels en avant du bien-être de la municipalité. «Empoisonné de négativité, les deux
Fraser accuse Thibodeau d’etre « alarmiste »
Richard Mahoney
reprises tenté de discréditer publiquement certains cadres de la municipalité». M. Fraser a mentionné que M. Thibodeau était trésorier municipal dans les années où la Ville a commencé à connaître des déficits dans les services d’eau et d’égouts. Un logiciel est blâmé pour les manques à gagner. En parlant à M. Thibodeau, le con- seiller Fraser a déclaré: «N’aviez-vous pas I’obligation de voir à ce que les différents programmes informatiques nous donnent les données les plus fiables possibles de manière à préparer les budgets avec le plus d’exactitude possible?» «M. le conseiller Thibodeau, vous semblez être un alarmiste qui prend un vilain plaisir à semer l’inquiétude dans la communauté. Vous n’avez jamais appuyé les budgets du présent conseil parce que vous ne vouliez pas supporter les critiques. Ça prend du courage politique pour gouverner une mu- nicipalité et parfois les choix sont difficiles et vont à I’encontre de notre propre agen- da politique. Vos intentions tout au cours du présent mandat semblent bien claires: déstabiliser le conseil municipal et faire du capital électoral à la moindre occasion, nuisant ainsi au bon fonctionnement de notre conseil. Que nous ayons des opinions qui s’opposent, c’est démocratiquement correct. Mais lorsque notre but est de tenter de faire de I’opposition à bien des initiatives, ce n’est plus de I’opposition mais davantage une malsaine stratégie nuisant à I’image de notre municipalité et à ses efforts pour con- struire ou bâtir le présent et I’avenir.»
RICHARD MAHONEY RICHARD.MAHONEY@EAP.ON.CA
HAWKESBURY| Le conseiller de Hawkes- bury Alain Fraser a châtié un de ses col- lègues lors de la dernière assemblée du conseil, fustigeant le conseiller Michel Thibodeau pour des gestes qu’il a qualifié « d’irresponsables». Dans une déclaration préparée, M. Fra- ser a dénoncé l’attitude que M. Thibodeau avait démontrée lors d’une réunion au su- jet des hausses des frais de services. «Tout au cours de la soirée», M. Thibodeau «semblait prendre un vilain plaisir à écouter les commentaires des contribuables. Vous sembliez content de la tournure de la soi- rée et plus les commentaires étaient dé- sobligeants, plus vous sembliez heureux de les entendre. Vous sembliez aussi prendre un malicieux plaisir à voir M. le Maire tenter de contenir I’humeur des citoyens!» Il a lancé que M. Thibodeau «a démon- tré très peu de respect pour le rôle que nous devons jouer en tant que conseillers municipaux. L’apparence d’enchantement et d’excitation à voir le déroulement de la soirée est tout à fait irresponsable et inap- proprié». «Vous semblez très souvent être I’incarnation de la bisbille au sein du Con- seil municipal. Vous faites constamment preuve d’opposition systématique; vous semblez valoriser le recul en arrière; vous retardez la préparation du budget à toutes les années et vous avez aussi à quelques
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