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Volume 71 • No. 18 • 24 pages • HAWKESBURY, ON • Jeudi 11 mai 2017
Les infirmières se livrent
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Pour la Semaine nationale des soins infirmiers, qui a lieu du 8 au 14 mai, nous avons rencontré quatre infirmières qui nous ont raconté leur parcours . À LIRE EN PAGES 4 ET 5
FINI LES MAUVAISES HERBES!
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Témoignages de sinistrés PAGE 2
SPECTACLE - BÉNÉFICE Marie-Chantal Toupin ET SES INVITÉS SPECTACLE - BÉNÉFICE
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L'incertitude pour deux sinistrées de L'Orignal
Mme Williams et Mme Brunette, deux sinistrés de Hawkesbury, sont hébergées dans un motel de Hawkesbury —photo Élise Merlin
ÉLISE MERLIN elise.merlin@eap.on.ca
chef du Service des incendies de L’Orignal. « Les deux femmes vivaient seules chez elles. Elles ont été évacuées de leur domicile pour leur sécurité, leur maison étant au bord de l’eau », a-t-il ajouté. Mme Brunette et Mme Williams ne se connaissent pas, mais vivent la même situa- tion. Elles expliquent avoir peur et n’avoir jamais vu une telle situation se produire. À 72 ans, Mme Brunette exprime son angoisse si elle était restée à son domicile de L’Orignal. « C’est mon mur de protection dans la cour de la maison qui a eu une brèche à cause du vent et des vagues », a expliqué Mme Brunette. Je trouvais que l’eau montait de plus en plus rapidement et les pompiers sont venus voir. Ils m’ont dit de quitter ma maison par précaution, que c’était plus raisonnable. C’est la Croix-Rouge et les ser- vices sociaux qui m’ont trouvé un hôtel », a confié Mme Brunette. Elle restera trois jours à l’hôtel et partira ensuite chez sa sœur à Ottawa. « Ça fait peur. Je ne voudrais pas coucher chez moi non plus. Les dégâts vont
être nombreux au niveau de ma cour. » Quant à Mme Williams, sa maison de L’Orignal a été complètement encerclée par l’eau. Les pompiers ont d’ailleurs eu du mal à accéder à sa maison. « Les quatre murs extérieurs de la maison étaient entourés d’eau, les pompiers m’ont évacué avec leur gros camion, car je ne pouvais pas sortir de chez moi et en plus je suis handicapée, a révélé Mme Williams. Je vais aller habiter à la résidence Mc Gill après avoir séjourné au motel. J’avais les larmes aux yeux samedi quand j’ai vu toute l’eau. Sans les pompes à eau, l’eau serait rentrée dans la maison. C’est une situation tellement stressante, j’en pleure encore. Mes chats sont restés dans ma maison, je n’ai pas pu les emmener, c’est un pompier qui va les nourrir tous les jours », a-t-elle précisé. Les deux femmes se soutiennent et se réconfortent quand elles se croisent dans ce motel de la ville qui leur fournit égale- ment des repas à titre gratuit. Elles pensent dorénavant au futur et elles ne savent pas, à
l’heure actuelle, comment elles l’imaginent. Bernard Vinet vit depuis huit ans dans sa maison de la rue Montpetit à L’Orignal. Il avoue ne jamais avoir vécu une telle situation auparavant, sa maison se retrouve encerclée par l’eau depuis vendredi dernier. « Il faut TX¶RQSUHQQHOHVSRPSHVjHDXD¿QGHSRPSHU O¶HDXWRXWHVOHVGHX[PLQXWHV-¶DLSRFKHV GHVDEOHGHYDQWODSRUWH1RXVQ¶DYRQVSDVG¶HDX GDQVODPDLVRQSDUFHTXHQRXVXWLOLVRQV des pompes. Si on ne faisait pas ça, l’eau ren- trerait dans la maison », a indiqu é M Vinet. ¬O¶KHXUHDFWXHOOHLODSXUHVW er dans sa maison, mais de nombreux travaux sont à prévoir dans sa cour et de nombreux proches sont venus lui prêter main-forte. Les inondations ont également touché plusieurs autres municipalités ou commu- nautés de la région, dont Lefaivre, Clarence- Rockland, Grenville-sur-la-Rouge, Pointe- Fortune et Rigaud, etc. L’état d’urgence a été déclaré par quelques municipalités, dont le canton de Champlain.
Des résidents de L’Orignal ont dû quit- ter leur domicile, samedi, à cause des violentes inondations. Certains d’entre eux ont été pris en charge par les ser- vices sociaux de Prescott-Russell et par la Croix-Rouge, afin d’être relogés dans différents établissements, tels que des hôtels. Nous sommes allés recueillir leur témoignage. Mme Williams et Mme Brunette (elles ont préféré ne pas dévoiler leurs prénoms) sont résidentes de L’Orignal, dans leur maison respective, depuis 30 ans. Elles ont toutes les deux connu l’enfer, samedi, quand elles ont dû quitter leur domicile principal. Nous les avons rencontrées dans un motel de la ville de Hawkesbury où elles sont logées à titre gracieux depuis samedi soir dernier. En effet, à cause des inondations, elles ne pouvaient plus habiter chez elles. « Cela devenait trop dangereux », a expliqué Richard Sincennes,
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Avec ses chaises et sa table d’été au milieu de l’eau, Bernard Vinet prévoit de nombreux ouvrages afin de réparer les dégâts causés par les inondations. Plus d’une centaine de sacs de sable ont été installés devant la porte de son sous-sol pour que l’eau ne passe pas à l’intérieur de sa maison de L’Orignal —photo Élise Merlin
Chaises, tables, troncs d’arbres, plusieurs objets ont été emportés dans les violentes inondations. —photo Élise Merlin
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Plusieurs personnes ont installé des pompes à eau afin de pomper l’eau pour qu’elle ne rentre pas dans leurs résidences, comme cette maison de la rue Montpetit à L’Orignal —photo Élise Merli
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Les hauts et les bas du métier d'infirmière
À l'occasion de la Semaine nationale des soins infirmiers, Julie Lefebvre, 33 ans, Sonia Cloutier, 41 ans, Priscilla Taylor, 22 ans, et Valérie Bellefeuille, 23 ans, toutes infirmières au sein de l’Équipe de santé familiale
du Bas-Outaouais, parlent de leur métier. —photo Élise Merlin
resté collé à sa maman jusqu’à son dernier souffle », a-t-elle relaté, la voix tremblante. Être infirmier, c’est soigner, accompagner les personnes qui vont mourir, accueillir les familles, expliquer les examens pratiqués. C’est également percevoir l’angoisse des malades, chercher à l’atténuer, faire face aux situations de crises et gérer l’imprévu. « Je travaille aussi aux urgences dans un hôpital du Québec et un jour, deux jeunes avaient retrouvé leur mère qui s’était donné la mort dans le sous-sol de la maison. La mère a été emmenée à l’hôpital pour que le décès soit constaté. Ils ont contacté leur père pour qu’il se rende à l’hôpital, en lui expliquant la situation. Le père a conduit trop vite pour se rendre le plus vite possible à l’hôpital. Il a eu un accident et il est décédé sur le coup. Toute l’équipe médicale était sous le choc ce jour-là », a expliqué Priscilla Taylor, infirmière de 22 ans. Les situations critiques qu’elles ont rencontrées dans leur carrière n’enlèvent pas la passion qu’elles vouent à leur métier. Certains disent que c’est une vocation d’être infirmière. Pour Julie Lefebvre, infirmière praticienne, qui peut donc faire des prescrip- tions, les soins infirmiers faisaient vraiment une différence chez les patients, la proximité des gens était un véritable atout. « Je ne savais pas trop quoi faire au début quand j’étais jeune. J’aimais les cours qu’une amie faisait en soins infirmiers et je me suis dit, je vais faire ça et je verrai bien », a-t-elle confié. « Finalement je suis restée, car j’ai vraiment aimé, surtout la santé mentale. Je voyais que ça faisait vraiment une différence chez les gens. » Sonia Cloutier, qui a le plus d’ancienneté au sein de l’équipe, a voulu en premier lieu devenir médecin, mais le contact avec les patients était plus important du côté des soins infirmiers. « Je voulais m’en aller en
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La Semaine nationale des soins infirmiers a lieu cette année du 8 au 14 mai. C’est pourquoi nous sommes partis à la ren- contre de quatre infirmières de l’Équipe de santé familiale du Bas-Outaouais, dans leur bureau de Hawkesbury. Ainsi, nous rendons hommage à cette profession, par le biais de témoignages dans lesquels ils parlent, entre autres, de leurs conditions de travail, de leurs doutes et de leurs aspirations. Les infirmiers aspirent à soigner leurs patients avec cohérence et intelligence, à les accompagner, à les écouter, à sauver des vies. Julie Lefebvre, 33 ans, Sonia Cloutier, 41 ans, Priscilla Taylor, 22 ans, et Valérie Bellefeuille âgée de 23 ans sont toutes infirmières au sein de l’ Équipe de santé familiale du Bas- Outaouais, dont les bureaux sont situés sur la rue Main à Hawkesbury. Elles font l’un des plus beaux métiers du monde, mais le quotidien est parfois difficile et quelques souvenirs refont surface quant aux situations difficiles qu’elles ont rencontrées dans leur carrière. « La seule fois où j’ai pleuré, c’était il y a huit ans, mais je m’en souviens comme si c’était hier, a raconté Sonia Cloutier. « Je travaillais aux soins intensifs d’un hôpital, il y a quelques années, et une jeune mère de 16 ans, qui avait un bébé de six mois, était venue pour un problème cardiaque, son cœur fonctionnait mal. Son état empirait et les parents ont dû prendre la décision de laisser partir leur fille, cette jeune mère de 16 ans. J’avais de la peine pour la famille. Je m’en souviens comme si c’était hier. La jeune femme est décédée. Son bébé de six mois était posé sur sa poitrine et le petit est
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Sonia Cloutier en pleine préparation de piqûre —photo
Julie Lefebvre se prépare à recevoir ses patients —photo Élise Merlin
médecine, mais j’ai préféré le contact que les infirmiers avaient avec les patients. J’ai fait mon bac en soins infirmiers et j’aime passer du temps avec les patients, faire l’éducation, voir l’amélioration, a-t-elle indiqué. Quand on était en stage, je voyais les résidents en médecine qui passaient très peu de temps avec les patients, je n’aimais pas la relation de ce côté-là » Valérie Bellefeuille, 23 ans et fraîchement diplômée des soins infirmiers, a tout d’abord voulu être orthopédiste. « C’est comme ça, j’ai perdu l’intérêt et j’ai changé pour les soins infirmiers. J’aime aider les gens et voir l’amélioration que l’on apporte à leur vie », a confié la jeune femme. Les quatre jeunes femmes ont trouvé un juste milieu en travaillant pour l’ l’ Équipe de santé familiale du Bas- Outaouais dans leur bureau de Hawkesbury. Elles se sentent chanceuses de bénéficier des jours fériés et d’avoir des horaires convenables, ce qui n’est pas toujours le cas pour certains de leurs confrères. « Dans les hôpitaux, les infirmiers n’ont pas forcément leurs fins de semaine ou que des horaires de jour, a poursuivi Sylvie Lefebvre. On est chanceux, on n’a pas ça ici. Nous sommes assez flexibles dans nos horaires. Le but est de faire 37,5 heures par semaine. Les fêtes et jours fériés, nous ne travaillons pas. Ça n’a pas toujours été le cas dans nos carrières. J’ai déjà été infirmière aux urgences et c’était difficile de concilier les horaires. Mais j’aimais aussi, on ne savait jamais ce qui allait passer par les portes. En 2017, de plus en plus, les médecins réalisent leur besoin des infirmières et la reconnaissance qu’ils leur portent. « Nous sommes leurs yeux et leur soutien constant, nous travaillons ensemble, nous leur appor- tons toujours notre aide », a confié Valérie Bellefeuille. Les occasions qu’offre le métier d’infir- mière sont diverses. « Tu peux travailler aussi bien à l’urgence, aux soins intensifs, en chirurgie, ou encore à la maternité; tu peux changer quand tu veux, c’est vraiment bien. La formation est la même pour tout le monde », a précisé Priscilla Taylor. Sonia Cloutier ajoute qu’elle a eu de la chance de pouvoir exercer aux États-Unis durant une dizaine d’années. « J’ai travaillé en Caroline du Sud, au Vermont, en Alaska. Je suis restée aux États-Unis durant 10 ans environ, pour travailler en tant qu’infirmière, c’était une très bonne expérience », a-t-elle conclu.
850, rue Tupper Street Hawkesbury, On K6A 3S7
T 613-632-6689 F 613-632-8603
AVIS D’INTERRUPTION D’ÉLECTRICITÉ RÉFECTION MAJEURE DATE : LE DIMANCHE 14 MAI 2017 HEURE : DE 5H00 À 8H00 L’Ouest de la ville subira une interruption d’électricité à partir et incluant : • Ouest de la rue Bertha (incluant la rue Bertha) • Côté nord du boul. Cécile à partir de la rue Edmond. • Le boul. Cartier au nord de l’avenue Spence • Le côté sud de la rue Principale entre la rue William et la rue McGill. Les principaux secteurs non touchés par l’interruption qui sont situés dans l’ouest de la ville • rue McGill au sud de la rue Nelson et de la rue Bon Pasteur • Avenue Spence • rue West, rue Rejane, rue Omer, est de la rue Chartrand, rue Rupert, rue Roxane
POWER INTERRUPTION NOTICE MAJOR REPAIRS DATE: SUNDAY MAY 14, 2017 TIME: BETWEEN 5 A.M. AND 8 A.M. The West bound of Hawkesbury will experience a power interruption from and including: • West of Bertha St. (Including Bertha) • North side of Cecile Blvd, West of Edmond St. • Cartier Blvd North of Spence Ave. • South side of Main Street, between William St. and McGill St. The following sectors, which are located in the west of the town hawkesbury, are not affected by the interruption • McGill St., South of Nelson St. and Bon Pasteur St. • Spence Ave. • West St., Rejane St., Omer St., East of Chartrand St., Rupert St., Roxane St.
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Lucien Campeau, un nouveau prêtre comblé
Le 25 novembre dernier, Lucien Campeau a été ordonné prêtre en l’église St- Pierre Apôtre de Hawkesbury. Dans sa nouvelle vocation, le nouveau prêtre est un homme tout simplement heureux. Il prend d’ailleurs ses nouvelles fonctions très au sérieux et avec passion. « J’apprends mon métier et j’ai plongé tête première. Je n’ai pas rencontré de difficultés depuis que je suis prêtre. Tout va bien de ce côté. Les gens sont merveilleux, ils m’ont tellement bien accepté. Franchement je suis heureux. » Lucien Campeau entrevoit d’apporter de l’aide à la paroisse de Vankleek Hill pour que le prêtre puisse se reposer. Il célèbre désormais les messes de 9 h, tous les mardis matins à l’église St-Pierre Apôtre de Hawkesbury. Au cours de la semaine, Lucien Campeau va aussi aux résidences pour personnes âgées afin de présider la messe avec Serge Faucher. « Le prêtre, c’est l’homme du bonheur. Je pense que j’ai atteint le bonheur auquel on ne s’attend pas, j’adore ce que je fais », a conclu Lucien Campeau —photo Élise Merlin
La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury Né d’une Hawkesbury
race fière
Bélanger Nicholas Bélanger, pionnier, naquit vers 1632 dans la paroisse de Saint-Thomas de Touques, évêché de Lisieux, Normandie. Il était présent à Beauport le 15 octobre 1655 lors de l'aveu et du dénombrement de la seigneurie. Le couple avait passé un contrat de mariage devant le notaire Paul Vachon le 12 novembre 1659 en présence des parents de la future mariée. Nicholas fut marié à Québec par le père jésuite Paul Ragueneau le 11 janvier 1660 avec la pionnière Marie Marthe Rainville, alors de Beauport. Les témoins étaient Jean Delauson, sénéchal, et Jean Guyon Dubuisson. Marie Marthe, la fille des pionniers Paul Derinville et Roline Poette, est née vers 1640 dans la paroisse Saint- Thomas de Touques, évêché de Lisieux, Normandie. Nicholas et Marie Marthe eurent douze enfants, dont dix qui se marièrent. Nicolas décède à Beauport le 19 octobre 1682 à cinquante ans et est inhumé le lendemain en présence de René Rémy, de Paul Vachon, notaire royal pour Beauport, et de son beau-frère Jean de Rainville. Le père Charles Amador Martin officiait. Marie Marthe meurt à Beauport le 6 novembre 1711 et est inhumée le lendemain en présence de son fils Paul Bélanger et de son beau-fils Jean Parent. Le père Boullard officiait.
Générations
12 e Kate et Alex Bélanger 11 e Maxime Bélanger – Robbyn Hermitage, m. le 2005-12-30 à London, Ont. 10 e Alain Bélanger – Johanne Desautels, m. le 1972-06-03 à Saint-Hyacinthe, Qc 9 e Yvon Bélanger – Lucille Biard, fille d’Aldéma et Victoria Dubeau, m. le 1943-06-29 à Sainte-Anne-de-Prescott, Ont. 8 e Omer Bélanger – M. Exilda (Maria) Séguin, f. de Joseph et Azilda Ranger m. le 1920-07-20 à Sainte-Anne-de-Prescott, Ont. 7 e Pierre Bélanger, fermier – Lya Vachon, f. de J.- Baptiste, fermier, et Marie Cardinal m. le 1883-07-02 à Saint-Eugène-de-Prescott, Ont. 6 e Pierre Bélanger – Anastasie Lebrun, f. d’Olivier et Émilie Fortier, m. le 1858-10-11 à Sainte-Scholastique, Qc 5 e Pierre Bélanger – Josephte Chauret, f. de Charles et Josephte Goyer, m. le 1817-10-27 à Sainte-Rose-de-Lima sur l’Île-Jésus (Laval), Qc 4 e Simon Bélanger (vf de M. Marguerite Lacasse) – Marguerite Chabot, f. d’André et M. Josèphe Lalande/Mauger, m. le 1777-09-15 à Saint-Vincent-de-Paul sur l’Île-Jésus (Laval), Qc 3 e Louis Bélanger – Élisabeth Paquet, fille de Jacques François et M. Françoise Nestyus/ Étienne, m. le 1735-11-15 à Notre-Dame, Québec 2 e Pierre Bertrand Bélanger (veuf de Marie Guignard) – M. Magdeleine Chevaudier, fille de Jean et M. Madeleine Mercier, m. le 1703-08-13 à Notre-Dame, Québec 1 re Nicolas Bellenger – Marie de Rinville, m. le 1660-01-11 à Notre-Dame, Québec
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*Chevaudier dit Lépine. Le nom de famille Chevaudier a été remplacé par le surnom « Lépine ». Nicholas et François Bélanger
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Existe-t-il un degré quelconque de filiation entre ces deux individus, ancêtres des Bélanger d’ici. François Bellenger (c’est ainsi qu’il signait) et Nicholas Bellanger (avec un « a ») sont arrivés à Québec à une vingtaine d’années d’intervalle. François a épousé Marie Guyon à Québec en 1637. Nicholas, pour sa part, s’est marié à Marie de Rainville à Québec en 1660. Les deux provenaient de la même région en Normandie. C’est pourquoi certains généalogistes ont conclu qu’il existait une filiation entre les deux et que Nicholas était le fils de François. Leur opinion a fini par devenir un argument d’autorité. Or, il n’existe aucune preuve directe (actes de baptême, mariage, tant civils que religieux) qui démontre que des membres des deux familles se côtoyaient en Nouvelle-France. François, en qualité de capitaine des milices de la Côte de Beaupré, reçoit en 1677 un territoire qui devient la seigneurie de Bonsecours,
Tél. : 1-613-632-4155 1-800-267-0850
ce qui lui confère le rang de noble. Collaborateur : Michel Laferrière
DENTUROLOGISTE SUR RENDEZ-VOUS 299-3, rue Principale, Grenville Qc J0V 1J0 1-819-242-3618 Anciennement Germain Charron Magalie Hüpfer d.d.
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Deux nouveaux élèves-conseillers au CSDCEO
Des délégués des sept écoles secondaires du Conseil scolaire de district catholique de l’Est ontarien (CSDCEO) ont élu Catherine Cadieux-Fredette, élève de 10 e année de l’École secondaire catholique de Plantagenet, et Jérémie Bonneau, élève de 11 e année de l’École secondaire catholique régionale de Hawkesbury, à titre de représentants à la table du conseil pour l’année scolaire 2017-2018. Catherine et Jérémie ont désormais un rôle de responsabilité et représenteront, à la table du Conseil, les élèves des écoles catholiques de langue française. Il est à noter que les candidats et les candidates ont impressionné leurs pairs par la qualité de leur exposé et leur expérience en entrepreneuriat. « Les commentaires des élèves conseillers à la table du conseil sont importants, car ils représentent l’opinion des élèves. Leur motivation, leur enthousiasme et leur professionnalisme impressionnent chaque année les conseillers et les conseillères scolaires. Nous avons bien hâte de travailler avec les deux nouveaux représentants », a annoncé François Bazinet, président du CSDCEO. —photo fournie par le CSDCEO
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Métier : barbier… depuis 60 ans
MAXIME MYRE maxime.myre@eap.on.ca
Michel ‘Blackie’ Lenoir est barbier depuis plus de 60 ans. Né à Montréal en 1938, il déménage avec son père, lui aussi barbier, à Hawkesbury dans les années 1940 et commence à cirer des souliers dans le commerce de son père, près de la rue Hampden, sur la rue Principale. C’est son grand-père, Théophile, qui a inspiré deux autres générations après lui à devenir barbier. Théophile Lenoir est décédé à un jeune âge et a forcé la grand-mère de Michel Lenoir à placer ses enfants chez les tantes et les oncles de ceux-ci. C’était à l’époque de l’épi- démie de grippe typhoïde. C’est la tante de son père qui a payé ses frais de scolarité afin qu’il puisse apprendre le métier de barbier, tout comme son propre père. À la sortie de l’école, Théodore Lenoir décrocha un poste de barbier dans un salon situé dans la gare centrale de Montréal. C’était pendant la Deuxième Guerre mondiale. « Il a dû y avoir des milliers de personnes par jour qui passaient là et dans ce temps-là, il n’y avait pas de bonnes lames de rasoir disponibles dans les magasins. Tous les hommes se faisaient faire la barbe. Alors tu peux t’imaginer que mon père, en sortant de l’école, a appris assez rapidement son métier ! », a expliqué Michel Lenoir, sur- nommé Blackie, qui a aujourd’hui 78 ans. La mère de Michel Lenoir est décédée en 1939, alors qu’il n’avait qu’un an, en raison de problèmes après l’accouchement, liés à sa condition, le rhumatisme inflammatoire. Elle était sportive et n’était pas censée avoir d’enfants. Quand elle avait accouché de sa sœur, tout s’était bien déroulé. Mais quand elle a accouché de M. Lenoir, c’était trop pour son corps. Elle est décédée un an après
Le père de Michel Lenoir, Théodore Lenoir, à droite, et M. Lenoir, chandail rayé, alors qu’il cirait des chaussures pendant que son père coupait les cheveux de ses clients. En mortaise, M. Lenoir aujourd'hui. —photo Maxime Myre
sa naissance. Quelques années plus tard, en 1947, son père rencontre une femme de Hawkesbury et décide de venir y vivre et de s’installer dans l’est de la ville, près de la rue Hampden. « C’était un gars qui avait beaucoup de cha- risme et il s’est fait bien des amis. Il était très populaire et il avait trois chaises avec un roulement incroyable. J’en ai ciré des souliers dans cette bâtisse-là ! » Michel Lenoir passait ses journées au salon de son père à cirer les souliers de ses clients. Alors adolescent, il informe ses parents qu’il ne veut plus aller à l’école. Pour son père, il était impératif que son fils ne traîne pas les rues à ne rien faire. Il l’envoie
donc à l’école commerciale de Montréal où il apprendra à son tour le métier de barbier avec son frère Raoul. Neuf mois plus tard, à sa sortie de l’école, son père n’a malheu- reusement pas de place pour lui et Michel Lenoir ne veut pas trop insister, car l’employé de son père, Roland, est un excellent barbier. « Quand j’étais jeune, il y avait un garçon, Roland, qui était sourd et muet. Il coupait les cheveux des autres jeunes dans l’orphelinat. Mon père lui a donc donné une job dans son salon. Il communiquait en tapant du pied pour avoir son attention, pour qu’il puisse lire sur les lèvres. Rolland a été avec mon père pendant des années et était un excellent barbier. » C’est pourquoi Michel Lenoir s’est pro- mené, vers la fin des années 1950 et début 1960, entre St-André-Avelin et Cornwall. Ce n’est qu’à la fin des années 1960 que Roland décide de se lancer lui-même en affaires dans la région de Pointe-Claire. Michel Lenoir peut finalement rejoindre son père dans son commerce, toujours sur la rue Principale dans l’est de la ville. « De 1967 à 1980 ont été de très belles années. Malheureusement, mon père est tombé très malade et il ne voulait pas laisser l’hypothèque à sa femme. Il a donc dû vendre son commerce à un monsieur Charbonneau. Quand M. Charbonneau a pris le commerce, il m’a gardé et on s’entendait bien. Mais peu de temps après, je voyais qu’il voulait me laisser aller. Il avait commencé à me rendre la vie dure. J’ai donc quitté. Le lendemain je me suis mis une chaise dehors et je me suis branché chez le voisin. J’ai coupé des cheveux drette en avant de son commerce. Il n’était pas content, mettons ! » Peu de temps après, en 1987, Michel Lenoir prend domicile coin Higginson et William, où il y est encore, tous les matins à 7 h 30, prêt à recevoir sa douzaine de clients
chaque jour. « Dans les années 1990, les coiffeuses, qui autrefois ne coupaient que les cheveux des femmes, ont commencé à couper les cheveux des hommes. Ça a pris du temps avant que les hommes optent pour les coif- feuses. Ce qui a fait le plus mal au début, ce sont les femmes qui amenaient leur fils chez la coiffeuse. Avant les pères arrivaient avec trois ou quatre petits gars et on pouvait passer une matinée à faire juste une famille. Aujourd’hui je suis venu à bout de me refaire une clientèle avec les gens de mon âge. Je survis en ce moment et si le Bon Dieu le veut, j’aimerais bien me rendre à 80 ans. À ce moment-là, je tirerai ma révérence. » Au cours de ses 60 années comme barbier, il a vu sa ville d’adoption changer drasti- quement. « Il n’y avait pas de taxes de vente en Ontario, alors plein de gens du Québec venaient faire leur magasinage ici, et là. Tu te bâtissais une clientèle. La ville vibrait dans le temps. Les bars des deux côtés de la rivière roulaient. On était tassé comme des sardines là-dedans. » Selon lui, les jeunes d’aujourd’hui sortent de l’école et ont de la difficulté à occuper leur temps. « Ils veulent tous faire 100 000 $ par année, mais ne veulent pas travailler pour se rendre là. Ils ont honte des petites jobs. Mon grand-père, mon père et moi-même, nous avons toujours été fiers de notre métier. C’est ça qu’il faut expliquer aux jeunes. Trouvez- vous un métier que vous aimez et faites-le fièrement. » Michel Lenoir est fidèle au poste tous les matins de la semaine, dès 7 h 30, pour servir une clientèle qui s’évapore, mais qui reste toujours fidèle. « J’ai encore des clients, très âgés aujourd’hui, qui font 25 minutes de char pour venir se faire couper les cheveux ici. J’ai grandi et vieilli avec eux. »
Publié le jeudi par : La Compagnie d’édition André Paquette Inc. Imprimé par : Imprimerie Prescott et Russell, Hawkesbury, ON # convention : 0040012398
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communautaire Le lien
Rassemblement des familles Normand/Norman
Organisé par l’Association des Normand d’Amérique, la fin de semaine du 22 septembre prochain à Casselman, soit à la Ferme Drouin et au Club de golf Casselview, ainsi qu’à Ottawa et Gatineau. RSVP : Suzanne Normand, 613-764-5493. Alfred : retrouvailles scolaires Toutes les personnes qui ont fréquen- té l’école #9, dans le rang Ste-Catherine à Alfred, ainsi que les professeur(e)s, sont les bienvenus pour une rencontre, le 22 juin 2017 (dernier jour de classe pour les élèves) au Camping Cedar Shade (autre- fois appellé la carrière de M. Rouleau). On apporte son lunch (comme dans l’temps), et vous pouvez amener vos conjoints. 125 e anniversaire de la paroisse Saint-Joachim de Chute-à-Blondeau Rencontre des familles Larocque - Roquebrune. Tous les descendants d’Augustin Larocque et de Scholastique Desjardins, les ancêtres des Larocque de la région, sont invités à une rencontre qui aura lieu le dimanche 21 mai au Centre communautaire de Chute- à-Blondeau. Renseignements : Guy Larocque au 613-363-2810. Maison des jeunes de Grenville et de Grenville-sur-la-Rouge La Maison des jeunes (MDJ) de Grenville et de Grenville-sur-la-Rouge organise encore sa vente de compost annuelle. Cette collecte de fonds aide à financer les activités/sorties des jeunes de la MDJ. La vente de compost aura lieu le samedi 13 mai 2017 au garage municipal de Grenville, entre 10 h et 15 h. Bazar Ste-Anne-de-Prescott La 41 e soirée tirage annuel aura lieu le 4 juin. Plus de 100 prix plus un prix spécial de 1000$ et un forfait voyage. Les portes ouvrent dès 13 h. Souper chaud au Centre d’Action entre 16 h 30 et 18 h 30. Le tirage commence à 20 h. Église catholique sur la rue Principale. Renseignements : 613-674-5434 / www. ste-anne.ca Le Lien communautaire est réservé uniquement aux organismes sans but lucratif de la communauté qui souhaitent annoncer des événements à venir. Dans la mesure du possible, veuillez nous faire parvenir l’information par courriel une semaine à l’avance à nouvelles@eap.on.ca.
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une franchise de 80 000 km sur 60 mois s’appliquent. Des frais de 0,12 $/km plus les taxes s’appliquent au kilométrage excédentaire. Les frais s’appliquant au kilométrage excédentaire sont sujets à changement, voyez votre détaillant pour obtenir les détails. 1 Jusqu’au 31 mai 2017, les résidents du Canada peuvent obtenir un boni du printemps de 750 $ applicable à l’achat ou à la location d’un Escape 2017 neuf (« véhicule admissible »). Une (1) seule offre peut s’appliquer à l’achat ou à la location d’un (1) véhicule admissible. Les taxes sont exigibles avant la déduction du montant de l’Offre. Cette offre n’est pas assujettie aux bons différés. †SYNC Connect inclut le service SYNC Connect pour une période de 5 ans après laquelle des frais sont exigibles. ‡Les caractéristiques/fonctionnalités varient selon le véhicule/modèle. Ne conduisez pas lorsque distrait. Utilisez les systèmes de commande vocale si possible ; n’utilisez pas les appareils portables au volant. Certaines caractéristiques peuvent être inactivées lorsque le véhicule est en vitesse. Les caractéristiques ne sont pas toutes compatibles avec tous les téléphones. Des frais de transmission de données et de messagerie pourraient s’appliquer. Les mises à jour cartographiques du système de navigation livrable ne peuvent être téléchargées via Wi-Fi et doivent être mises à jour séparément. ‡‡ Les caractéristiques d’aide à la conduite ne remplacent pas la conduite attentive, le bon jugement et le besoin de contrôler le véhicule. © 2017 Sirius Canada Inc. « Sirius XM », le logo SiriusXM, les noms et logos des chaînes sont des marques de commerce de SiriusXM Radio Inc. et sont utilisés sous licence. © 2017 La Compagnie Ford du Canada, Limitée. Tous droits réservés.
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Afin de procurer un look irréprochable à votre automobile ce printemps, laissez-vous guider par ces cinq étapes. 1. LAVAGE EXTÉRIEUR Attendez une journée nuageuse, puis nettoyez la carrosserie à l’aide d’un produit conçu à cet effet et d’un chiffon non abrasif. Rincez à fond, puis séchez soigneusement avec un linge en microfibre ou un chamois. 2. PARTICULES DE ROUILLE Vous remarquez de minuscules points orangés sur la peinture de votre véhicule? Pas de panique : il ne s’agit que de limaille de freinage, un phénomène normal. Utilisez simplement un produit prévu pour l’élimination des particules de rouille. 3. ROUES S’ils sont souillés ou ternes, vos pneus et vos jantes (ou vos enjoliveurs) peuvent gâcher l’apparence de votre véhicule. Par conséquent, assurez-vous de leur accorder le même soin que celui offert à la carrosserie. Cela dit, soyez prudent en ce qui a trait aux pneus, car certains produits puissants leur confèrent un lustre temporaire — tout en endommageant leur surface… 4. LAVAGE INTÉRIEUR Le nettoyage intérieur comporte les étapes suivantes : • Passer l’aspirateur; • Faire briller les fenêtres et les miroirs; • Laver les tapis en caoutchouc; • Éliminer les taches sur le cuir ou le tissu; • Astiquer le tableau de bord, les porte-gobelets, le volant, etc. 5. CIRE Votre véhicule est impeccable? Vous pouvez passer à l’étape finale, soit l’application d’une cire de protection. Suivez à la lettre les instructions afin de maximiser son élégant fini lustré. Voiture : une mise en beauté en cinq étapes faciles
Une avalanche de nouveautés chez KIA
Par Jean-François Guay Les nouveautés déferlent à un rythme endiablé chez Kia, qui accueille cette année les nouvelles générations de la Cadenza, de la Forte et du Sportage. Et le constructeur sud-coréen ne s’arrête pas là, puisqu’il présente égale- ment le tout nouveau Niro… et lève en plus le voile sur la Rio 2018 et le coupé Stinger à 4 portes! Le Niro est un véhicule multisegment à hayon dont la particularité est sa motorisation hybride qui en fait un concurrent direct de la Toyota Prius V et de la Ford C-MAX. Sous le capot, le 4 cylindres à cycle Atkinson de 1,6 litre et 104 chevaux est jumelé à un moteur élec- trique de 43 chevaux pour une puissance totale de 139 chevaux et un couple de 195 livres-pieds. Une motorisa- tion hybride rechargeable fait également partie des plans de Kia. Du côté de la nouvelle Rio 5, la carrosserie a été redessi- née avec une touche plus sportive. L’empattement a été allongé afin d’agrandir l’espace intérieur et de parfaire le comportement routier. Dans la même veine, le châs- sis a gagné en solidité, la suspension est plus ferme et la direction plus précise. Le 4 cylindres de 1,6 litre a été révisé pour rehausser le couple à mi-régime et diminuer la consommation. L’autre principale nouveauté est la Cadenza, qui a été refondue par le studio californien de Kia. Cette grande berline arbore une grille et des blocs optiques au look plus dynamique. Par ailleurs, la structure a été rigidifiée pour améliorer le confort de roulement et la tenue de route, alors que les passagers bénéficient d’un habitacle plus vaste. Le V6 de 3,3 litres a été modernisé et profite d’une nouvelle boîte automatique à 8 rapports. Quant à la spectaculaire Stinger 2018, elle rivalisera avec la Audi A4 et la BMW Série 3 et proposera 2 moteurs : un 4 cylindres turbo de 2,0 litres (255 che- vaux) et un V6 biturbo de 3,3 litres (365 chevaux). Les modes propulsion et intégral seront offerts.
Le Kia Niro
La Kia Stinger 2018
Qu’elle soit neuve ou âgée, votre voiture aura fière allure grâce à vos bons soins!
La Kia Cadenza
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