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Francis Drouin lorgne l’investiture libérale
de relations gouvernementales a"n d’at- teindre les objectifs de l’organisation. De- puis six ans, je travaille avec un organisme fédéral, alors je comprends bien la machine du gouvernement.» Outre ses compétences en "nances, domaine qu’il a étudié à La Cité avant de compléter un baccalauréat en sciences commerciales et en entrepreneuriat à l’Uni- versité d’Ottawa, M. Drouin témoigne d’au- tant d’acuité en communication. Il a été gérant de campagne pour le dé- puté libéral provincial de GPR, Grant Crack, lors des élections de 2014, rôle qu’il a joué
CHANTAL QUIRION chantal.quirion@eap.on.ca
HAWKESBURY | Francis Drouin, de Hawkesbury, compte être de la course à l’investiture libérale fédérale pour Glen- garry-Prescott-Russell (GPR). Sa candida- ture a été soumise en bonne et due forme et se trouve à l’étape de la véri"cation par le Parti libéral du Canada, une for- malité qui prend généralement quelques semaines avant que le prétendant ne reçoive le feu vert.
ROCQUE / BERGERON Hélène, née le8 juillet 1942, est lafillede Laurent BergeronetGilberte Lemay de la paroisse Saint-Joseph d’Orléans. Elle grandit à la ferme de ses parents et y habite jusqu’en 1963. Claude Rocque, né le 1 er janvier 1940, est le fils d’Arthur Rocque et d’Edwilda Franche, également de la paroisse Saint-Joseph d’Orléans. Il grandit à la ferme de ses parents à Orléans et y demeure jusqu’en 1963. Claude et Hélène s’épousent en l’église Saint-Joseph d’Orléans le 3 août 1963. Après trois ans d’enseignement au primaire, Claude fait carrière comme technicien chez Bell Canada de 1966 à 1997. Hélène participe à de nombreuses activités artisanales et travaille comme fleuriste dans la région. Claude et Hélène donnent naissance à trois garçons : Charles (1965), Jean-Marc (1966) et Martin (1974). En 1972 la famille Rocque habite à Cumberland et fait partie de la paroisse de la Très-Sainte-Trinité de Rockland. Les trois garçons déménagent ensuite de Cumberland pour commencer une nouvelle vie avec leur épouse et à leur tour fonder un foyer. Charles et Adèle Bélec, fille de Denis Bélec et Alberte Bonneville, ont trois enfants : Annie, Caroline et Vincent . Jean-Marc et Sylvie Godin, fille de Jean Godin et Jeanne Houle, ont deux enfants : Laurent-Olivier et William . Pour Martin, les chemins se croisent de façon providentielle. Une charmante jeune fille, Dania Duguay, fait irruption dans sa vie. Originaire du Nouveau-Brunswick, Dania est la fille de Roméo Duguay (de l’ascendance patrilinéaire d’Arthur, d’Honoré, d’Abby, de Guillaume) et de Georgine Larocque de la paroisse Saint-Jérôme de Shippagan au Nouveau-Brunswick. Née le 12 novembre 1969 à Caraquet, N.B., Dania arrive dans la région de la capitale nationale du Canada en 2000. Dania rencontre Martin. Le 7 septembre 2002, les deux tourtereaux échangent leurs vœux en la paroisse Saint-Jérôme de Shippagan. Depuis 2009, ils demeurent à Rockland et participent comme bénévoles à certaines célébrations eucharistiques à la paroisse de la Très-Sainte-Trinité. Dania fait carrière en vente, décoration intérieure et ensuite en éducation au service de l’enfance. Martin travaille à la fonction publique en graphisme, services d’éditique et de publications pour leWeb. 60$ OU 75$, C’EST ÀVOUS DE DÉCIDER ! Le livre-souvenir est présentement en pré-vente au prix de 60$/copie jusqu’à la fin décembre 2014. Dès le 1 er janvier 2015, le coût passera à 75$/copie. Les formulaires de commande sont disponibles à l’arrière de l’église près des «Prions en Église», au presbytère, à la Caisse populaire Trillium ou au Musée Clarence-Rockland. Faites vite si vous voulez économiser 15$.
également pour la candi- date libérale fédérale Julie Bourgeois, en 2011. Dans la même veine, il a occupé la fonction d’attaché de presse du député provincial Bob Chiarelli, lors des élections partielle de 2010. Francis Drouin se dit prêt à se battre pour sa région. Bien qu’il doive respecter la ligne du parti, il se voit comme quelqu’unqui n’aurapas peur de se faire entendre. L’emploi
Deux autres candidats sont dans la course. Il s’agit de Jacques Taillefer, de Rockland, qui a reçu le feu vert o!ciel du parti, et Es- telle Patenaude qui, comme lui, attend de franchir cette étape. «J’ai toujours voulu me pré- senter et, avec l’arrivée de M. Trudeau qui amène une cer- taine jeunesse, je pense que le temps est venu. Son dis-
Francis Drouin
cours me parle, à moi et à ma génération.» Issu d’une lignée d’hommes politiques, M. Drouin compte lui aussi laisser sa marque. Son grand-père, Jean-Claude Drouin, a évolué sur la scène politique municipale pendant 41 ans et son père, Yves Drouin, pendant 14 ans. Pour sa part, Francis Drouin estime être en terrain familier avec les struc- tures gouvernementales provinciales et fédérales. Il a travaillé pour le bureau du premier ministre ontarien avant de devenir consul- tant en relations gouvernementales pour Startup Canada, une organisation à but non lucratif dont l’objectif est de tisser des liens entre les communautés a"n de promouvoir l’entreprenariat. «Mon rôle consiste à créer des stratégies
est sa priorité comme son désir d’œuvrer à la prospérité. À son avis, la classe moyenne est de plus en plus exclue et la qualité de vie n’est plus la même qu’elle était. «Si l’on avait un gouvernement qui par- lerait assez fort, on serait plus compétitif. On dirait que la classe moyenne ne fait plus partie de l’économie. Pour moi, les qualités principales d’un député c’est de comprendre la machine du gouvernement. Parfois, il faut parler plus fort pour notre ré- gion. Il faut brasser le bateau. Je comprends bien comment positionner un projet pour qu’il soit accepté et je suis capable de ras- sembler les di#érentes parties prenantes ensemble. Par exemple, M. Lalonde (Jean- Marc), il s’est battu pour la route 174. Ça prend ce style de leadership-là.»
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Photo fournie
Feather Weight Farm Inc., de Sars"eld, a été récompensée du Prix de la première ministre pour l’excellence en innovation agroalimentaire. L’entreprise avicole s’est distinguée pour ses contributions innovatrices, en instaurant un système de traçabilité totalement informatisé. Le nouveau système de traçabilité automatisé que l’entreprise a déployé élimine le papier et les erreurs d’introduction sur clavier. Grâce aux codes-barres imprimés et aux lecteurs de données, il est simple de suivre chaque lot de poulets et de transférer les documents d’un bout à l’autre de la chaîne d’approvisionnement. De plus, ils ont ainsi réduit le coût de l’enregistrement des données des bandes. Ci-dessus, Robert Laplante de FeatherWeight Farm Inc reçoit le prix de la députée d’Ottawa-Orléans Marie-France Lalonde
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